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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux Catherine et aux très Saintes Âmes du 25 novembre

Sainte Catherine d'Alexandrie
Vierge et Martyre
(† v. 307)

Catherine naît à Alexandrie, d'une famille de première noblesse. Comme elle ne se hâtait pas de recevoir le baptême, Dieu lui envoya une vision où la Ste Vierge la présentait au divin enfant qui détournait les yeux avec tristesse, et disait : « Je ne veux point la voir, elle n'est pas encore régénérée. » À son réveil, elle résolut de recevoir promptement le baptême. Quand elle l'eut reçu, Jésus lui apparut, lui donna mille témoignages d'amour, la prit pour épouse en présence de Marie et de toute la cour céleste, et lui passa au doigt l'anneau de son alliance.

Catherine, douée d'une haute intelligence, suivit avec le plus grand succès les leçons des plus grands maîtres chrétiens de l'école d'Alexandrie, et acquit la science des docteurs. Dans une grande fête du paganisme, célébrée en présence de l'empereur Maximin, elle eut la sainte audace de se présenter devant lui, de lui montrer la vanité des idoles et la vérité de la religion chrétienne. La fête terminée, Maximin, étonné du courage et de l'éloquence de la jeune fille, réunit cinquante des plus savants docteurs du paganisme et leur ordonna de discuter avec Catherine. Préparée par la prière et le jeûne, elle commença la discussion et fit un discours si profond et si sublime sur la religion de Jésus-Christ comparée au culte des faux dieux, que les cinquante philosophes, éclairés par sa parole en même temps que touchés de la grâce, proclamèrent la vérité de la croyance de Catherine et reçurent, par l'ordre du cruel empereur, le baptême du sang, gage pour eux de l'immortelle couronne.

Cependant Maximin, malgré sa fureur, plein d'admiration pour la beauté et les hautes qualités de Catherine, espéra la vaincre par l'ambition en lui promettant sa main. Il essuya un refus plein de mépris. L'innocente vierge subit alors le supplice du chevalet, et celui des fouets. Le lendemain, Maximin, surpris de la trouver plus belle et plus saine que jamais, essaya de triompher de sa résistance. Il la fit soumettre au terrible supplice des roues, mais les roues volèrent en éclats. Le tyran, confus de tous ces prodiges, ordonna de lui trancher la tête.
Avant de mourir, elle avait demandé et obtenu deux choses de son divin Époux : que son corps fût respecté après le supplice, et que l'ère des persécutions prît bientôt fin. Plus tard, son corps fut transporté par les anges sur le mont Sinaï.

BBx Luigi Beltrame Quattrocchi
et Maria Corsini, son épouse

Mémoire commune le 25 novembre: anniversaire de leur mariage.

Mémoire individuelle, selon le Martyrologe Romain (‘dies natalis’) :
>>> Luigi Beltrame Quattrocchi : 9 novembre
>>> Maria Corsini : 26 août

Luigi Beltrame Quattrocchi naît le 12 janvier 1880 à Catane en Sicile, Luigi est le fils de Carlo Beltrame et de Francesca Vita. Il portera aussi le nom de Quattrocchi à la suite de la demande d'un beau-frère de Carlo qui, n'ayant pas d'enfants, tenait à ce que son neveu porte le sien.

Maria Corsini naît le 24 juin 1884 à Florence. Son père Angelo Corsini était capitaine de grenadiers, sa mère était Giulia Salvi.

La vie commune de Luigi Beltrame Quattrocchi et Maria Corsini

S'étant rencontrés en 1900 ils se fiancèrent en mars 1905, et se marièrent le 25 novembre de la même année à la Basilique Sainte-Marie-Majeure. Leur vie était très pieuse, et très équilibrée. Tous les jours, ils assistaient à la Messe et y communiaient.

Maria expliquait : « La journée commençait ainsi: messe et communion ensemble. Sortis de l'église, il me disait bonjour comme si la journée ne commençait que maintenant. On achetait le journal, puis on montait à la maison. Lui à son travail, moi à mes occupations, mais chacun pensant sans cesse à l'autre. Nous nous retrouvions à l'heure des repas. Avec quelle joie j'attendais, puis je l'entendais mettre la clé dans la serrure, chaque fois bénissant le Seigneur de toute mon âme. Nous avions alors des conversations sereines qui se faisaient joyeuses et espiègles, la main dans la main. Nous parlions un peu de tout. Ses remarques étaient toujours perspicaces. Il était toujours bienveillant. ».

Ils élevaient tous les deux leurs enfants dans la piété mais aussi la joie et la détente, discutant ensemble très souvent, partageant à la fois des moments de prière et de loisirs. Tous les soirs, tous récitaient le chapelet. Tous les mois, ils faisaient une retraite ensemble à la Basilique Saint-Paul-hors-les-murs en compagnie d'Alfredo Schuster, proclamé bienheureux en 1996.

Mais ils faisaient aussi de longues promenades, et ouvraient l'esprit de leurs enfants par de fréquentes conversations artistiques et culturelles.
Leur maison était ouverte à tous, ils étaient toujours prêts à aider et à accueillir quiconque ayant besoin de leur sourire et de leur foi.
Maria faisait le catéchisme et participait à de nombreux mouvements d'action catholique.
Pendant la Guerre, elle s'était engagée volontairement comme infirmière de la Croix-Rouge pour porter secours aux blessés. Plus tard, elle servira pendant la Guerre d'Éthiopie, s'étant spécialisée dans les maladies tropicales.

Luigi, par son attitude, témoignait discrètement de sa foi dans son milieu professionnel. Il accompagnait sa femme dans son action au sein des mouvements catholiques et soutint le mouvement scout quand il se répandit en Italie.
Leur premier fils, Filippo, est né en 1906. Il deviendra prêtre à Rome sous le nom de Don Tarcisio.
Leur second enfant, Stefania, est née en 1908. Elle sera moniale bénédictine à Milan sous le nom de sœur Cécile, longtemps supérieure de son couvent, elle mourra en 1993.
Le troisième enfant, Cesare, est né en 1909, il deviendra moine, d'abord chez les Bénédictins, puis chez les Trappistes, sous le nom de Père Paolino.
La quatrième enfant du couple, Enrichetta, est née après une grossesse difficile. Luigi et Maria refusèrent l'avortement préconisé par le corps médical qui craignait pour la vie de la mère et de l'enfant. La petite fille naquit en bonne santé en avril 1914 et devint à son tour laïque consacrée.

Luigi Beltrame Quattrocchi meurt d’un infarctus le 9 novembre 1951.
Maria Corsini meurt le 26 août 1965 à Serravalle di Bibbiena dans une maison construite pour elle par son époux.

Maria Corsini et Luigi Beltrame Quattrocchi ont été béatifies ensemble (une première dans l'histoire de l'Église) le 21 octobre 2001, à Rome, par saint Jean-Paul II (Karol Józef  Wojtyła, 1978-2005).

Bienheureuse Béatrix d'Ornacieux
 

fondatrice du monastère d'Eymeux (Drôme) (✝ 1303)

Béatrix (ou Béatrice) naquit au village d'Ornacieux en Isère, dans le Dauphiné.
Elle entra à la Chartreuse de Parménie puis fonda la chartreuse d'Eymeux (Drôme) d'où elle gagna le ciel le 25 novembre 1303.
Béatifiée en 1869, elle est aussi fêtée le 13 février.
"Née au château d'Ornacieux, près de la Côte-Saint-André vers 1260, Béatrix entre à l'âge de 13 ans à la chartreuse de Parménie, non loin de Tullins. En 1300, elle fonde le monastère d'Eymeux où elle connaît le plus extrême dénuement. Elle y meurt un 25 novembre, sans doute en 1303. Une chapelle y perpétue son souvenir. La vie de Béatrix a été écrite par une moniale chartreuse contemporaine de la bienheureuse, Marguerite d'Oingt et elle atteste son ardent amour pour Jésus crucifié."
(Bienheureuse Béatrix d'Ornacieux - diocèse de Valence )
Dans le Valentinois, entre 1303 et 1309, la bienheureuse Béatrice d'Ornacieux, vierge, qui, saisie d'un grand amour de la croix, vécut et mourut dans la plus grande pauvreté dans la Chartreuse d'Eymeu qu'elle avait fait construire.

Martyrologe Romain

Autres Fêtes du Jour
 

Saint Alain de Lavaur de la région d'Albi (VIIe siècle)
Saint Alnoth (✝ v. 700)
Bienheureux Bernold (✝ v. 1050)
Bienheureux Conrad d'Heisterbach (✝ 1200)
Saint Ekbert Abbé bénédictin à Münsterschwarzach (✝ 1075)
Bse Elisabeth la Bonne religieuse du Tiers-Ordre de saint François (✝ 1480)
Bienheureux Hyacinthe Serrano Lopez  prêtre dominicain et martyr (✝ 1936)
Sainte Joconde  (✝ 466)
Saint Marcule évêque et martyr (✝ 347)
Bienheureuse Marie Corsini  Mère de famille (✝ 1965)

Saint Maurin  évangélisateur de la campagne agenaise (VIe siècle)
Saint Mercure  martyr à Césarée de Cappadoce (VIe siècle)
Saint Moïse Prêtre martyr à Rome. (✝ 251)
Saint Pierre d'Alexandrie  évêque et martyr (✝ 311)
Saint Pierre l'Hésychaste  (Ve siècle)
Saints Pierre Yi Ho-yong et Agathe Yi So-sa  martyrs à Séoul en Corée (✝ 1838)
Vble Rafaela de la Pasión Veintimilla Villacis religieuse équatorienne (✝ 1918)
Vble Raffaello Delle Nocche fondateur des religieuses disciples de Jésus Eucharistie (✝ 1960)
Saint Réol  évêque de Reims (✝ 698)

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