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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Gildas et autres Saints du 29 janvier

Saint Gildas
Abbé en Bretagne (✝ 570)

 

Ce noble breton voit le jour en Écosse vers la fin du Ve siècle, l'année où les Bretons romanisés battent les Saxons envahisseurs. D'après nombre d'hagiographes, il aurait étudié dans un monastère du pays de Galles, sous la direction d'un disciple de saint Germain l'Auxerrois. Ordonné prêtre en 518, cet apôtre, surnommé "le sage", convertit d'abord ses compatriotes par une éloquence sacrée aussi simple qu'efficace. Saint Gildas, pardon
Avec le même succès, il passe en Irlande

(saint Colomban d'ailleurs lui rendra hommage) pour aboutir en Armorique, la petite Bretagne continentale. D'abord installé dans l'île d'Houat, il va vivre en ermite dans la presqu'île de Rhuys qui ferme, au sud, le golfe du Morbihan. Il y fondera une abbaye qui porte aujourd'hui son nom et où on l'honore toujours. Abélard, le savant théologien du Moyen Age, en sera l'abbé au XIIe siècle. Troublé par l'effondrement de la civilisation romaine sous les coups successifs des envahisseurs saxons, il écrit: "De la ruine de la Bretagne" ouvrage qui connaîtra un grand succès durant tout le haut Moyen Age.
- Saint Gildas, dit "Le Sage", est né dans l'île de Bretagne; il y a reçu son éducation dans le sud-est du Pays de Galles actuel... Il s'établit sur le continent y fonda avec quelques compagnons l'abbaye de Rhuys, où il mourut vers 570. L'abbaye de Rhuys a conservé son tombeau et développé son culte... Saint Gildas est connu sous les formes bretonnes Sant Veltas ou sant Gueltas... (diocèse de Quimper et Léon - saint Gildas)
- L'abbatiale de Saint Gildas de Rhuys abrite la sépulture du saint mort en 570 sur l'île de Houat.
- Homélie pour le Pardon de St Gildas de Rhuys, Père Gildas Kerhuel.
- Voir aussi "l'ère des saints" de 600 à 800 environ 'les noms des grands moines ou pères spirituels: Gildas, Gunthiern, Gwénaël, Cado, Goal...' site du diocèse de Vannes.
En Bretagne, l'an 570, saint Gildas, abbé, surnommé le Sage. Il écrivit sur la ruine de la Grande-Bretagne en déplorant les calamités de son peuple et en reprochant avec véhémence la dépravation des chefs et du clergé. La tradition lui attribue la fondation du monastère de Rhuys en face de l'Océan et le fait mourir à l'île d'Houat.

Martyrologe romain

'Tu as réuni Seigneur en Saint Gildas
le zèle du pasteur
la science du théologien
et la vie de prière du moine.
Accorde-nous de savoir comme lui
te chercher dans le recueillement
et te rencontrer dans le service de nos frères,
nous te le demandons par Jésus Christ !'

Oraison de la messe de St Gildas dans le Propre de Vannes
Homélie pour le Pardon de St Gildas de Rhuys

 

 

Bse Bolesława Maria Lament
Vierge et fondatrice :
« Sœurs missionnaires de la Sainte-Famille »

 

Bolesława Maria Lament naît à Łowicz (Pologne) le 3 juillet 1862, première de huit enfants. Son père s'appelait Marcin Lament, sa mère Łucja Cyganowska.
Encore petite, elle eut la douleur d'assister à la mort de deux petites sœurs, Elena et Léocadia, ainsi que du petit frère Martin. Après avoir fréquenté l'école primaire et le collège, elle alla à Varsovie dans une école d'arts et métiers, où elle obtint le diplôme de tailleur. De retour à Łowicz elle ouvrit un atelier de couture avec sa sœur Stanisława. Pendant tout ce temps, elle vivait une vie intérieure intense, profondément marquée de spiritualité.

En 1884, elle décida d'entrer dans la Congrégation de la Famille de Marie, qui était en train de s'organiser à Varsovie, clandestinement à cause des persécutions tsaristes. C'était une sœur pleine de zèle ; elle se distinguait particulièrement dans la prière, le recueillement, le sérieux et la fidélité avec laquelle elle remplissait toutes ses tâches. Après le noviciat et les vœux simples, elle travailla comme maîtresse de couture, enseignante et éducatrice en différentes maisons de la Congrégation, disséminées dans l'empire russe.

Après neuf années, juste avant de prononcer les vœux solennels, elle eut une crise profonde : elle n'avait plus la certitude de sa vocation dans cette Congrégation, au point qu'elle la quitta pour rentrer chez elle à Łowicz, dans l'intention de rejoindre un monastère cloîtré, dès que possible ; mais sur le conseil de son confesseur, elle choisit plutôt les œuvres d'assistance auprès des sans-logis, activité qu'elle poursuivit à Varsovie, quand sa famille s'y transféra ; là, pour vivre, elle ouvrit avec sa petite sœur Maria un atelier de couture.

En 1894, une énième épidémie de choléra lui enleva son père, en lui ajoutant de nouvelles charges et responsabilités familiales ; elle prit chez elle sa mère et son frère Stephan âgé de treize ans, qui fréquentait le collège à Varsovie et désirait être prêtre. Mais en 1900, le jeune Stephan mourait à son tour ; devant son cercueil, Bolesława promit de revenir à la vie religieuse.

En octobre 1905, avec Leokodia Górczyńska et Łucja Czechowska, avec l'aide du père jésuite Félix Wierciński, Bolesława donna naissance à la Congrégation appelée « Société de la Sainte Famille », qui ensuite prit le nom de « Sœurs Missionnaires de la Sainte Famille », dont la première supérieure fut Bolesława.

À l'automne 1907, en compagnie des six sœurs de la communauté d'alors, Bolesława se déplaça à Saint-Pétersbourg, où elle déploya une large activité d'instruction et d'éducation, dédiée surtout aux jeunes, et dès 1913 elle pouvait étendre cette activité en Finlande, en ouvrant à Wyborg un collège pour jeunes filles.

Il y eut ensuite d'autres maisons dans l'archidiocèse de Vilnius et le diocèse de Pinsk ; en 1935, il y avait jusqu'à 33 maisons un peu partout en Pologne, et même une à Rome.

En 1935, mère Bolesława Maria Lament décida de renoncer à la charge de Supérieure Générale pour de graves motifs de santé et, en accord avec la nouvelle Supérieure, elle se retira à Białystok ; là, malgré son âge et sa pénible maladie, elle s'employa à ouvrir des écoles, des asiles, un hospice pour dames seules et une cantine pour les chômeurs.

En 1941, ce fut la paralysie complète : sa vie devint plus ascétique encore, tandis qu'elle communiquait de précieux conseils aux consœurs.

Elle mourut saintement à Białystok le 29 janvier 1946 à 84 ans ; sa dépouille fut transférée au couvent de Ratowo, et ensevelie dans la crypte de l'église Saint-Antoine.

La Congrégation des Sœurs Missionnaires de la Sainte Famille se répandit largement en Pologne, en Russie, en Zambie, en Lybie, aux Etats-Unis, à Rome.

Bolesława Maria Lament a été proclamée Bienheureuse le 5 juin 1991, par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005), durant son voyage apostolique en Pologne

Autres Fêtes du Jour
 

Saint Abib  Martyr de Samosate en Mésopotamie (IVe siècle)
Bse Agnès de Bagno  religieuse camaldule en Toscane, à Bagno de Romagne (✝ v. 1105)
Saint Aphraate le Perse  Anachorète à Antioche (IVe siècle)
Saint Aquilin de Milan  prêtre et martyr (date ?)
Saint Arnoul  Martyr (VIIIe siècle)
Sainte Blath de Kildare  religieuse (✝ v. 523)
Bse Bolesława Lament fondatrice de la Congrégation de la Sainte Famille (✝ 1946)
Bx Bronisław Markiewicz prêtre polonais, fondateur de la Congrégation de Saint Michel Archange (✝ 1912)
Saint Constance  Evêque de Pérouse en Italie (✝ 180)
Saint Dallan Forgaill  martyr (✝ 598)
Saint Dimitrios de Chios  Martyr à Chios (✝ 1802)
Bienheureuse Imaine de Loss  abbesse bénédictine (✝ 1270)
Saint Laurent de Kiev  Evêque de Tourov (✝ 1194)
Saints Papias et Maur  Soldats de l'armée romaine (IIIe siècle)
Vénérable Pietro Di Vitale  laïc italien (✝ 1940)
Saint Sarbel  et sa soeur sainte Barbée (IIe siècle)
Sainte Savine  Soeur de saint Savinien (✝ 313)
Saint Savinien  Martyr à Rilly, près de Troyes en Champagne (✝ 275)
Saint Sulpice  évêque (✝ 591)
Saint Sulpice Sévère  disciple de saint Martin (✝ 410)
Saint Valère  évêque de Trèves (IIIe siècle)
Bienheureuse Villana de Botti  Tertiaire dominicaine (✝ 1360)
Saints Vincent et Domnin  évêques (IVe siècle)

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