Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
30 Janvier 2022
Sainte Martine
martyre à Rome (✝ 226)
vitraux Sainte Martine
Dieu seul sait ce qu'elle a vécu. Elle fut en grande vénération à Rome pour y avoir subi le martyre.
Elle est la sainte patronne de l'église du XIIe siècle sainte Martine à Pont du Château (63430)
Illustration: vitraux - église Sainte Martine, Pont-du-Château 63430 - église de l'Assomption, Montpeyroux 63114 - photos Albert Thai.
- vidéo Sainte Martine, chant.
vidéo qui rend hommage à Sainte-Martine la Sainte Patronne de Rome. Elle fut martyrisée au 3ème siècle pour avoir refusée d'abjurer sa foi au christianisme; des photos de l'église Sainte-Martine à Pont-du-Château (Puy-de-Dôme) sont aussi à découvrir dans cette vidéo. Un grand merci Mr Tony.T.
auteur-compositeur-interprète du chant chrétien.
Sainte Martine, Atelier d'Art Martin
À Rome, commémoraison de sainte Martine, sous le nom de qui le pape Donus dédia une basilique sur le forum romain en 676 ou 678.
Martyrologe Romain
Les Trois Docteurs
Les Eglises d'Orient réunissent en une même célébration les trois saints "hiérarques" docteurs de l'Eglise : Basile le Grand, Grégoire le théologien et Jean Chrysostome.
Leur mémoire est également célébrée, pour chacun individuellement, à des dates différentes selon l'Orient ou l'Occident
30 janvier, Fête Locale pour les églises d'Orient
Saint Mutien-Marie Wiaux
Frère des Écoles chrétiennes
Mutien-Marie (dans le siècle Louis-Joseph) Wiaux naît le 20 mars 1841 à Mellet, en Belgique, et fut baptisé le jour même.
Ayant reçu de ses parents une éducation profondément chrétienne, appuyée d'exemples, il devint vite lui-même un modèle pour ses compagnons, particulièrement par sa dévotion à la Vierge. Après ses études primaires, il alla travailler à l'atelier de son père, forgeron de Mellet. Peu de mois après, le Seigneur l'appela à une vie toute consacrée à son service.
À quinze ans, le 7 avril 1856, il entre au noviciat des Frères des Écoles Chrétiennes. Le jour de la fête de la Visitation, il revêt l'habit religieux et reçoit le nom de frère Mutien-Marie.
Le champ de son premier apostolat catéchétique et pédagogique fut une classe d'enfants à Chimay. Pendant un an, il enseigne à Bruxelles. En 1859, il est transféré au collège de Malonne : il y restera jusqu'à sa mort survenue en 1917.
Ayant trouvé des difficultés d'ordre professionnel, attribuables à son jeune âge et à son inexpérience, il court le risque d'être écarté de la Congrégation comme inapte à l'apostolat de l'école. Après cette dure épreuve, il est affecté à des activités humbles et cachées dans des fonctions plutôt modestes : surveillances, leçons élémentaires de dessin et de musique, sans être particulièrement doué pour ces deux disciplines.
Toujours obéissant et serviable, il s'applique à l'étude du piano, de l'harmonium et des autres instruments, et il puise dans l'amour de Dieu, la force d'une constante assiduité au travail, et cela pendant plus de cinquante ans ! Se rappelant que sa Congrégation a été fondée pour l'éducation chrétienne des pauvres, il demande aux supérieurs la faveur de se rendre à l'école gratuite, annexée au Collège, pour enseigner le catéchisme aux enfants de la classe populaire, dont il se sent très proche : pendant de longues années, il se consacra avec une ardeur extraordinaire à leur faire découvrir les richesses de la foi.
Pour tous ses élèves, riches ou pauvres, grands ou petits, le frère Mutien-Marie est un modèle, un signe de la présence de Dieu et de sa bonté. Le bien qu'il réalise est incalculable : les jeunes dont il s'est occupé en témoignent.
Le trait caractéristique du frère Mutien-Marie est une obéissance, poussée jusqu'à l'héroïsme, à toutes les prescriptions de la règle. Un des Frères qui vécut de longues années avec lui en communauté donne de lui ce témoignage : « Prenez la Règle, du premier chapitre jusqu'au dernier, et, sous chaque article, écrivez : le frère Mutien l'a observé à la lettre ! Ce sera sa biographie la plus fidèle ! ». Dans une sereine et confiante adhésion à la volonté des supérieurs, pendant plus de cinquante ans, il exécute fidèlement les tâches qui lui sont confiées. Le frère Mutien-Marie s'est fixé un choix précis : faire en tout et avec la plus grande perfection, la volonté de Dieu.
Conformément aux enseignements de son Fondateur, il se laisse guider par la foi, qui lui fait voir Dieu en toutes ses actions ; il vit constamment avec le Seigneur sans jamais perdre le sentiment de sa présence. À quatre heures et demie du matin, il est déjà à genoux devant le Tabernacle. Puis, il se rend à l'autel de Marie. Pendant la journée, il égrène son chapelet : le mouvement de ses lèvres révèle sa prière continuelle. Ses visites au Saint Sacrement sont fréquentes pendant la journée ; il y ajoute les pèlerinages à la grotte de la Vierge de Lourdes et à d'autres lieux de dévotion.
Les élèves, témoins de son admirable piété, l'appellent « le Frère qui prie toujours ». Il leur recommande avec insistance la dévotion à l'Eucharistie et à la Très Sainte Vierge, et tous savent que l'invitation résulte d'une pratique personnelle journalière et persévérante. En toute humilité et avec une extrême gratitude, il dira, à la fin de sa vie : « Qu'on est heureux quand on est, comme moi, sur le bord de la tombe, d'avoir toujours eu une grande dévotion à la Très Sainte Vierge ! ». Ce fut le dernier message de sa vie, alors qu'il entrait en agonie.
Au matin du 30 janvier 1917, il rendit sa belle âme à Dieu. Le jour même de sa mort, on signalait des faveurs, attribuées à son intercession. Et, bientôt, ce fut un défilé de pèlerins venant prier sur sa tombe ; les miracles se multiplient.
Six ans plus tard, un tribunal ecclésiastique est établi pour la procédure canonique en vue de la béatification et de la canonisation.
Mutien-Marie Wiaux a été élévé à la gloire des autels le 30 octobre 1977 par St Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978).
Lors de sa canonisation le 10 décembre 1989, St Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005) le présenta comme modèle à tous les chrétiens et, tout particulièrement, à ses confrères et aux éducateurs, auxquels est confiée la tâche délicate de former des citoyens honnêtes pour les réalités terrestres et des élus pour le ciel.
Bse Maria Bolognesi
Laïque et mystique italienne
Maria Bolognesi naît le 21 octobre 1924 à Bosaro (province de Rovigo dans la région Vénétie en Italie), fille illégitime de Amedeo Gozzati et de Giuseppa Samiolo ; le père naturel se refusant de la reconnaître, elle fut enregistrée sous le nom de sa mère. Mais, en 1930, sa mère épousa Giuseppe Bolognesi qui donna à la petite son propre nom.
Dès sa plus tendre enfance, la piété rythme sa vie.
Ayant une santé fragile, sa vie fut toujours marquée par la souffrance et la maladie, mais elle unissait ses douleurs à Jésus crucifié et souffrant. Elle fut également favorisée d'expériences mystiques. Cette femme resta toujours un modèle pour tous ceux qui l'ont rencontrée.
Elle mourut à l'âge de 56 ans à Rovigo, avec une grande réputation de sainteté, le 30 janvier 1980.
Son procès en béatification est ouvert en 1992. Elle est déclarée vénérable le 10 mai 2012 par le pape Benoît XVI ; le 2 mai 2013, le pape François reconnait officiellement un miracle réalisé par son intercession.
Maria Bolognesi a été béatifiée le 7 septembre 2013 à Rovigo - Piazza XX Settembre - par le card. Angelo Amato s.d.b., Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, qui représentait le pape François (Jorge Mario Bergoglio, 2013-). Celui-ci, à l’Angelus du dimanche 8 septembre déclara :
« Je rappelle avec joie qu’hier, à Rovigo, a été proclamée bienheureuse Maria Bolognesi, une fidèle laïque de cette terre, née en 1924 et morte en 1980. Elle a passé toute sa vie au service des autres, spécialement des pauvres et des malades, en supportant de grandes souffrances en union profonde avec la passion du Christ. Rendons grâce à Dieu pour ce témoin de l’Évangile ! »
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