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26 Février 2022
Saint Alexandre
Évêque d'Alexandrie (✝ 326)
Saint Alexandre d'Alexandrie Évêque d'Alexandrie, après avoir vainement essayé de ramener à la foi orthodoxe, Arius, l'un de ses prêtres, il convoqua un concile pour condamner l'hérésie naissante.
Secondé par l'un de ses diacres qui deviendra saint Athanase, il fait triompher la vérité lors du concile de Nicée en 325.
Il était plein de miséricorde pour recevoir les "lapsi" ceux qui étaient tombés devant les tortures, avaient quitté l'Église et voulaient y revenir une fois la paix revenue. Il refusa les intégrismes soutenus par l'évêque Mélèce de Lycopolis, connut les débuts de l'hérésie arienne où le même évêque soutenait Arius. Saint Alexandre rencontra ainsi bien des difficultés tant devint grande l'extension de l'hérésie, grâce aux chansons populaires qui la traduisaient. Il put voir le concile œcuménique de Nicée et eut la joie d'être soutenu par saint Athanase.
Commémoraison de saint Alexandre, évêque d'Alexandrie, glorieux vieillard enflammé de zèle pour la foi. Devenu évêque de cette ville après saint Pierre, il chassa de la communion de l'Église Arius, son prêtre perverti par l'impiété hérétique, réfuté par la vérité divine, et que, plus tard, il condamna avec les trois cent dix-huit Pères du Concile de Nicée. Quelques mois après le Concile, en 326, il s'en alla vers le Seigneur.
Ste Paule de Saint Joseph de Calasanz
Religieuse et fondatrice des :
« Hijas de María, Religiosas Escolapias »
(Filles de Marie, religieuses scolopes)
Paule de Saint Joseph de Calasanz, (dans le siècle Paula Montal Fornés), naît le 11 octobre 1799 à Arenys del Mar (Barcelone) dans une famille chrétienne modeste. Elle est baptisée le jour même.
Aînée de cinq enfants, elle doit, dès l'âge de dix ans, aider sa mère qui est veuve et elle comprend que les filles, et les femmes en général, ont peu d'accès à l'éducation et à la culture. Elle se sent poussée par Dieu à agir en leur faveur. Son projet sera de « sauver la famille en éduquant les petites filles dans la sainte crainte de Dieu ».
En 1829, elle se rend à Figueras (Gerone, Catalogne) suivie de son amie inconditionnelle Inés Busquets, pour ouvrir une première école de filles fondée sur un vaste projet éducatif, lequel dépasse largement le système pédagogique de l'époque, même en ce qui concerne les garçons. Elle veut une éducation complète, humaine et chrétienne, des femmes, sachant que cela ne peut avoir qu'une influence bénéfique sur la société. Elle prévoit un quatrième vœu pour les religieuses à venir : celui d'enseigner.
En 1837, elle se transfère à Sabadel (Barcelone). Cette femme, cette « mystique enracinée dans l'action », déploie une intense activité. A partir de cette époque, elle s'identifie entièrement avec le charisme de Saint Joseph de Calasanz (le saint espagnol fondateur des Scolopes, qui s'est voué à la scolarisation des enfants pauvres à Rome au XVIIe siècle). Elle veut vivre selon la spiritualité de ce grand éducateur et selon sa règle qui se résume par la devise : « piété et instruction ».
Elle fonde une deuxième école à Arenys del Mar, sa ville d'origine, en 1842, puis une troisième à Sabadell en 1846. Elle est toujours en contact avec les Pères Scolopes et grâce à l'aide de deux d'entre eux, elle réussit à obtenir rapidement la structure canonique des Scolopes pour sa Congrégation naissante.
Le 2 février 1847, avec trois autres compagnes dont Inés, elle prononce ses vœux comme « Fille de Marie, religieuse scolope ». En tout, de 1829 à 1859, elle a fondé 7 écoles et aidé à la fondation de 4 autres. De plus, elle a été la formatrice de 130 sœurs de la Congrégation.
En 1859, elle fonde sa dernière école dans le petit village de Olesa de Montserrat, au pied du Monastère et de la Vierge de Montserrat à laquelle elle est particulièrement attachée. Là, pendant une trentaine d'années jusqu'à sa mort, elle mène une vie retirée. Elle donne alors la preuve de l'authenticité, du courage et de la tendresse de son esprit : un esprit modelé par Dieu. Dans ce collège qui bénéficie de sa présence et auquel va sa préférence, elle est entourée de l'affection et de la vénération de toutes ses Filles.
Lorsqu'elle meurt, très âgée, le 26 février 1889, la Congrégation compte 346 religieuses réparties dans 19 collèges en Espagne. Aujourd'hui elles sont 800, qui enseignent à environ 30.000 élèves dans 19 pays et sur 4 continents.
Paula Montal Fornés de San José de Calasanz a été béatifiée le 18 avril 1993, à Rome, et canonisée, toujours à Rome, par le même Pape, Saint Jean Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005), le 25 novembre
Bse Piedad de la Cruz
Vierge et fondatrice des
« Hermanas Salesianas del Sagrado Corazón de Jesús »
(Sœurs salésiennes du Sacré-Cœur de Jésus)
Piedad de la Cruz (dans le siècle Tomasa Ortíz Real), naît à Bocairente (Valence, Espagne) le 12 novembre 1842 et fut baptisée le jour suivant. Elle était la cinquième de huit enfants. Elle se distingua à l'école par sa grande piété.
A dix ans, elle fit sa première communion et cette rencontre avec Jésus Eucharistie la marqua pour toujours. Elle compléta sa formation au Collège des Religieuses de la Sainte Famille de Burdeos, à Valence. Lorsqu'elle demanda à entrer au noviciat de cette maison, son père, considérant la situation politique de l'époque, l'obligea à revenir à Bocairente. Cette période de sa vie fut caractérisée par l'esprit de piété et de prière, son dévouement pour les enfants pauvres, les malades et les personnes âgées.
Elle pensa alors réaliser le rêve de sa vie en entrant dans un couvent de Carmélites de clôture à Valence. Mais une maladie l'obligea à quitter le noviciat à plusieurs reprises. Elle comprit que Dieu ne voulait pas qu'elle emprunte cette voie.
Elle se rendit alors à Barcelone, où elle vécut une profonde expérience mystique, le Cœur de Jésus lui montrant son côté ensanglanté et lui suggérant de donner vie à sa propre Congrégation. A partir de ce moment, elle comprit le dessein de Dieu à son égard.
L'Évêque, Mgr Jaime Catalá, lui suggéra d'ouvrir son cœur à son confesseur et de faire ce qu'il lui indiquait. Elle orienta alors son choix vers la Murcia, où les inondations de 1884 avaient tout détruit et chassé les quelques Congrégations religieuses présentes. Avec trois postulantes, elle se rendit à Puebla de Soto, à un kilomètre d'Alcantarilla, où elle fonda avec l'autorisation de l'Évêque de Cartagena-Murcia, la première Communauté des Tertiaires de la Vierge du Carmel.
La zone étant encore sinistrée, elle fonda un petit hôpital où elle assista les malades et les orphelins. La communauté se développa, et elle dut acheter une maison à Alcantarilla, puis ouvrit une communauté à Caudete.
Mais des conflits eurent lieu au sein des communautés et elle se retrouva seule. Après cette épreuve, l'Évêque Bryan y Livermore l'envoya au Couvent de la Visitation des Salésiennes royales à Orihuela pour projeter une nouvelle fondation, sous la protection de saint François de Sales.
Le 8 septembre 1890, naissait la Congrégation des « Sœurs salésiennes du Sacré-Cœur de Jésus », à travers laquelle Piedad de la Cruz servit son prochain avec ferveur, jusqu'à sa mort, le 26 février 1916, considérée comme une sainte par la population.
Le 6 février 1982 fut ouvert le procès en béatification ; le 1 juillet 2000 fut promulgué le Décret sur ses vertus héroïques et le 12 avril 2003, le Décret sur un miracle.
Piedad de la Cruz Ortíz Real a été béatifiée le 21 mars 2004, dans la Chapelle Papale à Rome, avec trois autres serviteurs de Dieu (Luigi Talamoni, Matilde del Sagrado Corazón Télles Robles et Maria Candida dell’Eucaristia), par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005) >>> Homélie du pape saint Jean-Paul II.
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