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23 Mai 2022
Damien Abad accusé de viols, législatives... le premier Conseil des ministres, ce lundi, déjà fragilisé
Le premier conseil des ministres d'Elisabeth Borne ce lundi 23 mai promet d'être agité.
Alors que les ministres doivent se réunir aujourd’hui autour d’Élisabeth Borne, l’Élysée rappelle la règle : les battus aux législatives devront démissionner.
Le premier Conseil des ministres du gouvernement d’Élisabeth Borne va se réunir ce lundi 23 mai dans un contexte de crise, avec les accusations de viols portées ce week-end contre Damien Abad, le nouveau ministre des Solidarités. Ce premier acte du gouvernement devait être l’occasion de préciser le cap choisi par Matignon, tel que la cheffe du gouvernement l’a laissé entrevoir, lors d’une interview dimanche au JDD.
Le premier texte examiné par la nouvelle Assemblée nationale sera donc sur le pouvoir d’achat", indique Élisabeth Borne, qui détaille les mesures envisagées dans ce projet de loi de finances rectificatif : prolongation du bouclier tarifaire sur les prix du carburant, revalorisation des minima sociaux et des retraites, relèvement du point d’indice de la fonction publique, ou encore "triplement de la prime Macron."
L'incertitude des législatives...
La Première ministre insiste aussi sur la nécessité de la réforme des retraites et du départ à 65 ans. "Ce n’est pas un totem, mais il faut assurer le financement de notre modèle social. Annoncer aux Français qu’ils vont travailler moins, brandir la retraite à 60 ans, c’est leur mentir."
Mais avant de vraiment passer à l’action, le gouvernement Borne va devoir attendre le résultat des législatives, qui pourraient avoir des conséquences très directes sur sa composition. Dimanche, l’Élysée a confirmé une information du Figaro, en rappelant que la règle édictée il y a cinq ans par Emmanuel Macron et héritée de Nicolas Sarkozy reste en vigueur en 2022 : les ministres battus aux législatives devront démissionner.
Or parmi les 28 membres actuels du gouvernement, quinze sont candidats, dont deux pour la première fois : Élisabeth Borne elle-même et Clément Beaune, le ministre chargé de l’Europe. Parmi ceux qui se représentent figurent Damien Abad, qui sera doublement sous pression, mais aussi Gérald Darmanin, Olivier Véran ou Gabriel Attal. Selon le Figaro, Emmanuel Macron a anticipé d’éventuels échecs électoraux en prévoyant des ajustements dans le casting gouvernemental avant l’été.
Damien Abad accusé de viol : "Il est partout et tout le monde s'en fiche", le témoignage de Margaux, victime présumée.
Comment ne pas douter des tes accusations de ces femmes? Au vue de l'handicap du ministre, seules les femmes consentantes peuvent avoir des rapports sexuel avec lui. C'est tout simplement de la manipulation politicienne de l'opposition de bas étage!
Les commentateurs, et journalistes de l'opposition devrait faire un peu plus de réflexions. Car salir autrui, pour satisfaire sa libido, ou se venger, ou ne voir que des parfait physiquement n'apporte que le discrédit sur eux-mêmes au moment qu'ils ne s'attendent pas!
C'est la même chose pour le racisme.
Damien Abad, il n'est pas seulement handicapé suit à sa maladie orpheline, mais de nom à consonnance Juive!
Le racisme ambiant et malsain sous couverture antiracisme est perceptible lorsque nous voyons les difficultés de certains de nos ministres qu'ils soient anciens ou nouveaux!
Darmanin et Dupond-Moretti accusé de viol également, c'est la mode actuellement. Médiapart toujours lui, n'a de tirage que part des scandales politico-antigouvernementaux, vrai ou faux! seul les tirages comptent.
Education nationale:
Pap Ndiaye, histoire... de tourner la page Blanquer
Le racisme au coeur du sujet.
Déjà présenté comme l'«anti-Blanquer» ou un «intellectuel indigéniste», l’historien, spécialiste des minorités et jusqu’ici directeur du Musée de l’immigration de la Porte dorée, est d’abord un universitaire reconnu. Sera-t-il un politique habile pour réformer l’Education nationale ?
Cette nomination incarne la plus grande rupture de ligne entre ce nouveau gouvernement et le précédent.
D'où la levé de bouclier chez certains politiciens racistes en tous genre!
Conclusion:
La politique actuelle donne envie de vomir. Elle est une honte intellectuelle, par certains personnages se prenant pour des "intellos" pour des moralistes sans foi, ni loi. Le monde actuel marche sur la tête.
Mais ce qui est certain, le racisme est dans toutes les communatés, Blancs, ou couleur, politique droite et gauche, religieux intégristes, dans touste les religions, monotéïsmes et autres. La sagesse n'est plus à la mode! Le monde est devenu fou.
Le respect d'autrui n'existe plus, pire il ne se respecte pas eux même, car ils ne connaissent que ce qui leur à été leur vie hors de règles de vie ensemble.
Alumacom