Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
4 Décembre 2013
Mes larmes journalières espèrent
Seulement ce soir, elles sont sèches
Elles n’ont plus de force
Je me dois méditer, me projeter
Afin que notre amour
Reste comme au premier jour.
Il y a toujours quelque chose
Provoquant des pauses
Des choses que l’on ose
La cuisine n’est pas à son goût
Je gaspille selon lui
Il n’y a que lui qui fait bien
Pourtant sans ce que je suis
Nous ne serions plus ensemble
Nous traverserions le cauchemar
Jour après jour, il me fatigue
Ses reproches sans cri ni raison
A voix basse inaudible aux voisins
Il est doué pour me faire crier,
Si parfait dans sa vanité bien calculée!
Il connaît tout le monde ce grand bavard.
Il sait tout sur tout, le grand malin.
Mon cœur est fatigué et saignant.
L’usure morale est profonde.
Cette intelligence prétentieuse,
Est mon supplice journalier,
Je le vois dans cette triste réalité.
Quand pour réparer ses erreurs
De vanités je me dois payer ses dettes
Rééquilibrez le budget à tous moment.
Réparer ce qu’il casse
Par ses maladresses
Si ce n’est les remplacer
Faire la frappe des démarches
Qu’il dépose en en beau coq
Car çà aussi je ne sais pas faire!
Son argent de poche avec ses exigences
Son tabac, ses jeux, courses, grattages
Briller devant les copains, les voisins
Moi je ne peux en avoir ne serait-ce
Pour me déplacer, le coiffeur,
Pas de téléphone, factures impayées
Maintenant la nouveauté le vol
Pour satisfaire ces besoins
Dans mon portefeuille, ou ma carte
Pendant mon sommeil il se fait rat
Il est malade, il en profite
Où est la part maladie, ou comédie ?
Jour après jour, mon cœur se lasse
J’appelle mon départ éternel
J’en espère un monde meilleur
Je ne peux vivre loin de lui
Mais je ne peux vivre ainsi
Avec mon passé si douloureux.
Pour survivre je dois faire avec!
Seulement mon grand voyage, lui,
Se rapproche, sans pour autant arriver
Jour après jour, je m’accroche
À ce que j’ai de plus cher
Auprès de Celui Qui Est
Ma petite Kiwi, mes créations
Mes écrits, mes broderies
Mes tricots, mes amis virtuels
Ils sont là, présents, me soutenant,
Ainsi que mon amie secrète,
Combien de temps vais-je tenir ?
Concevoir, aère mon esprit
La douleur morale s’atténue
La douleur physique continue
Jour après jours
Je dis bonjour
Comme toujours
Monique Isope Macalou
25 septembre 2011