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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Quelques infos

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Gilets jaunes : Macron redécouvre les grands classiques

Si Emmanuel Macron ne change pas de cap et maintient la taxe carbone, il revoit sa méthode. Et recourt, pour sortir de la crise des Gilets jaunes, aux recettes préconisées ces derniers jours par le « vieux monde »

Des porte-parole des Gilets jaunes devaient être reçus mardi soir par le ministre de la Transition écologique et solidaire François de Rugy, quelques heures après l’annonce par le président de la République d’une taxe flottante sur le carburant et d’une « grande concertation » citoyenne.

Rien de tel qu’une mesure inventée par le vieux monde pour sortir de la crise qui menace le nouveau monde ! En 2001, le ministre de l’Economie Laurent Fabius mettait en œuvre une taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) dite « flottante », afin d’amortir les effets pour les automobilistes de la flambée du cours du pétrole. En 2018, Emmanuel Macron annonce que la hausse des taxes sur les carburants sera modulable en cas « d’envolée des cours mondiaux ».

Une réponse à la crise des Gilets jaunes qui lui a été soufflée par François Bayrou, l’un des rares représentants du « vieux monde » à le conseiller. Le président du MoDem préconisait, dans Le Figaro du 22 novembre, de « reprendre l’idée d’une modulation des taxes en fonction du coût du baril du pétrole, pour que le prix à la pompe ne subisse pas de fluctuations trop pénalisantes.» Message reçu, et immédiatement adopté par le nouveau monde. « On augmentera moins vite les taxes si le marché fait le travail », s’enthousiasme ainsi Roland Lescure, président LREM de la commission des Affaires économiques à l’Assemblée nationale. « Il se donne ainsi la possibilité de faire sauter la taxe carbone

L’OPINION

 

Gilets jaunes : Macron redécouvre les grands classiques

Si Emmanuel Macron ne change pas de cap et maintient la taxe carbone, il revoit sa méthode. Et recourt, pour sortir de la crise des Gilets jaunes, aux recettes préconisées ces derniers jours par le « vieux monde »

Des porte-parole des Gilets jaunes devaient être reçus mardi soir par le ministre de la Transition écologique et solidaire François de Rugy, quelques heures après l’annonce par le président de la République d’une taxe flottante sur le carburant et d’une « grande concertation » citoyenne.

Rien de tel qu’une mesure inventée par le vieux monde pour sortir de la crise qui menace le nouveau monde ! En 2001, le ministre de l’Economie Laurent Fabius mettait en œuvre une taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) dite « flottante », afin d’amortir les effets pour les automobilistes de la flambée du cours du pétrole. En 2018, Emmanuel Macron annonce que la hausse des taxes sur les carburants sera modulable en cas « d’envolée des cours mondiaux ».

Une réponse à la crise des Gilets jaunes qui lui a été soufflée par François Bayrou, l’un des rares représentants du « vieux monde » à le conseiller. Le président du MoDem préconisait, dans Le Figaro du 22 novembre, de « reprendre l’idée d’une modulation des taxes en fonction du coût du baril du pétrole, pour que le prix à la pompe ne subisse pas de fluctuations trop pénalisantes.» Message reçu, et immédiatement adopté par le nouveau monde. « On augmentera moins vite les taxes si le marché fait le travail », s’enthousiasme ainsi Roland Lescure, président LREM de la commission des Affaires économiques à l’Assemblée nationale. « Il se donne ainsi la possibilité de faire sauter la taxe carbone

 

Justice, police, corruption : la Roumanie préoccupe les Européens

Le Parlement européen réclame la mise en place dans l’UE d’un nouveau mécanisme de protection de la démocratie

Le gouvernement roumain sera reçu le 5 décembre par la Commission européenne afin de présenter les grandes priorités du pays pour la future présidence semestrielle de l’Union européenne, à partir du 1er janvier 2019. L’exécutif européen s’inquiète des pressions exercées par Bucarest sur l’indépendance du système judiciaire et des mesures compromettant la lutte contre la corruption. Les eurodéputés ont adopté une résolution mi-novembre pour dénoncer le recul de l’état de droit.

Les Vingt-Huit seront-ils entre de bonnes mains le 1er janvier 2019 ? Ce jour-là, la Roumanie prendra pour la première fois, et pour six mois, la présidence tournante de l’UE, après l’Autriche et avant la Finlande. Une échéance qui intervient à l’aube de rendez-vous majeurs pour les Européens, du Brexit aux élections du mois de mai, et suscite beaucoup d’interrogations. Le pays est en effet loin de respecter les standards européens en matière de valeurs et de droits fondamentaux, et a même tendance à faire marche arrière après une décennie de progrès.

La Commission s’en est émue mi-novembre

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