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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonjour les amis, bon dimanche Mes mots du mur

Jeu de mots

Le dépôt
 
Lord d’un dépôt de garanti
Son cautionnement servi de gage
A son stock de provision

Ce fut dans ce fameux dépôt
Qu’il dû faire une remise
Sur le prochain versement
 
Le magasin lui sert de couverture
Également d’une voie de garage
Son entrepôt étant boueux
 
La vase verdâtre au fond de l’étang
Emprisonne des carpes
Dans un bloc au son des violons
 
Le maraîcher aime les petites inondations
L’eau en se retirant dépose des alluvions
Ces sédiments nécessaires à ses légumes.
 
Il ne s’agit pas de boire jusqu’à la lie
Si l’eau de rinçage laisse le tartre
Dans le fut contenant la lie du Bordeaux
 
Alumacom

 
LE RETOUR DE NOTRE AMOUR
 
Tout au fond de moi,
Le réveil est venu
Devant ton exploit.
 
J’ai vu ton visage,
S’évanouir au virage
Renaître à la vie.
 
Papillons dans les yeux,
Valsent l’amour, 
 Joie des curieux
 
Plaisir frénétique,
Galope au ciel,
L’énigmatique.
 
Quittant l’ombrelle,
Sur la selle de la licorne
Il prend ses ailes.
 
Le blanc de la dentelle,
Câline, sensuelle
Chante la tourterelle.
 
Renaître à cette tendre,
Éternelle idée,
 Le flirt de la rivière.
 
Avec tes soupirs,
Blottis à ce désire,
 Pour me reconquérir.
 
L’âme comme le miel,
Vit le retour,
Du septième ciel.
 
Alumacom
 
Dis-moi, pourquoi tu restes ?
 
Pourquoi restes-tu accrochée
À ce qui ne semble pas t’intéresser ?
 
Pourquoi restes-tu attachée
À tous ces gens du passé ?
Tu sembles ne plus les estimer,
Hier, tu paraissais les aimaient.
 
Tu ne regardes pas mon émoi.
Enfin qu’attends-tu de moi !
Une action, ma bénédiction ?
Ta défection, m’ait affliction.
 
Ma valise souvent tu la fustige
Néanmoins elle fut mon prestige
Également devenue mon vestige.
Souvent, elle t’a donné le vertige.
 
Pourquoi restes-tu accrochée,
À ce qui ne semble pas t’intéresser ?
 
Que dis-tu de notre amour ?
Tant d’années de notre amour
Faut-il y renoncer pour toujours ?
Oserais-tu en faire de l’humour ?
 
Dans ce fatras de toutes ces choses,
Que suis-je pour toi, la chose?
Simple toit, ou saltimbanque !
Ne serai-je qu’une simple banque ?
 
Qu’attends-tu de moi en réalité ?
Où est réellement cette vérité.
La honte fait-elle partie de ton univers.
Je ne pense pas, ce serait trop pervers.
 
Pourquoi restes-tu accrochée
À ce qui ne semble pas t’intéresser ?
 
Terminé 27 août 2016
Alumacom
 
Le petit jardin secret
 
On a tous au fond de notre cœur,
Un petit coin de paradis,
Nous y retrouvons les critiqueurs,
Ce petit jardin prospère sans mot dit,
Au parfum jasmin enivre les moqueurs,
Le poète savoure les mots de la comédie.
 
Ce tout petit coin sans heures,
Son divertissement du bonheur,
La conscience tempérée sans heurt,
Se pose sur un nuage aérien polisseur.
Tous ces petits jardins servent l’illustrateur
Pour s’enfouissent dans le fond des cœurs.
 
Alumacom
 
Le jardin d’Ariette
 
Ce jardin de Peynet
Élaboré pour Ariette
Décore le fond de l’assiette
Des amours passés d’Ariette.
 
Certes la jeune fille,
Fabriquait les coquillettes,
Pour le collier d’Ariette,
Sa douce mère inquiète.
 
Ils étaient citadins
Un petit air badin
Ce plat léger et anodin,
En souvenir de ce jardin.
 
Alumacom
27 mai 2018
 

SI TU M’AIMES VRAIMENT
 
Si tu m’aimes vraiment,
Saurais-tu m’accepter 
Tel que je suis ?
Mon cœur tellement blessé,
Saurais-tu l’accepter
Avec les erreurs passées ?
 
Si tu m’aimes vraiment
N’as-tu rien dans ta besace !
M’as-tu prévu une place ;
Dans ton cœur tourmenté.
Rester ma vie à tes côtés,
Est-ce vraiment la réalité ?
 
Si tu m’aimes vraiment,
Tes promesses seraient prouesses
L’unité pas virtuelle, bien réelle
Ce ne serait pas un bateau ivre
Saurons-nous, nous aimer
Dans un serment proclamer ?
 
Si tu m’aimes vraiment,
N’as-tu rien à te reprocher ?
As-tu su briser tes tabous
Comme une plante hiémale ?
Ce malheur ne cesse,
 Il t’opprime sans discontinuer.

Met fin à ceux qui te laminent.
Si tu m’aimes vraiment,
Viens chanter avec moi,
 Laisse le bonheur nous visiter
Cherche l’amour enflammé
Près de moi mon bien aimé.
 
Si tu m'aime vraiment
Nous panserons nos plaies
Nous ne penserons plus aux écarts
Tendrement nous nous loverons
Nous oublierons nos différences
le bonheur nous le trouverons.
 
Alumacom
 
J’ai espéré un miracle, hélas…
 
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Vers le bonheur
Me faisant glaneur
Je prie en confiance
Sans défiance
La peur s’en alla
Perdue dans l’Au-delà
 
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Le chant monte
Le soleil remonte
Le ciel s’ouvre
L’âme se découvre
Devant la magie
Où je me réfugie
 
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
L’espoir n’est pas vain
Pour l’écrivain
Il a cet effroi
Qui lui fait froid
Le jugement du lecteur
Plus que de l’éditeur
 
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Comme l’artisan
Il est présent.
En se détournant
Caché par le paravent
De la rue des nues
Au bureau des ingénues
 
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Espoir de guérison
Sortir de sa prison
Vivre son amour
Sur le banc sans détour
Ce banc n’est pas accusé
Seulement un peu usé.
 
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Le banc d’incertitude
Le doute une habitude
Le cœur en chamade
C’est la promenade
D’un amour en altitude
Des mots en multitude
 
J’espérais un miracle
Hélas! ce fut la débâcle
 
Alumacom
 
 
Une histoire difficile à vivre
 
Cela est une bien curieuse histoire.
Que ce mets essaie de nous faire croire.
Il met chapeau bas devant la maie.
Les fromages ont cessé désormais,
De plaire allergie oblige en mai.
 
Mes amis sont tristement désolés
Mon compagnon prêtant tout savoir
Il encense sans vergogne le mausolée,
Pourfendre ses ennemis qu’il croit voir
Flatteur incorrigible bêtement se dévoile.
 
Son état de santé affaibli son attention,
Son caractère a changé devient coléreux,
Il réagit ne supporte pas sa condition,
Il voudrait redevenir le mari heureux,
Qu’il était, il a perdu ses ambitions.
 
Dans cet état maladif sa liberté est perdue,
L’état de grâce s’abroge de lui-même.
Son indisponibilité son esprit tordu
Fait de lui un pervers au passé idem,
Il s’est régénéré en voyant sa situation perdue.

Dans un ballon de bordeaux rouge
il rêve d’un voyage  en ballon à Bethléhem.
 
Alumacom
11 juin 2018.
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