I
QUE DIRE ?.......
ET POURTANT… !
Je me rappelle ce que fut l’histoire de la génération de mes parents :
Je n’ai pas vécu cette période, et pourtant elle me marque au crayon indélébile dans la tête. Ce temps est marqué dans ma chair virtuellement.
Pendant mes vacances d’été, ma grand-mère me racontait l’histoire de ma famille et elle me répondait à toutes mes questions. Je passais tous les ans trois semaines de vacances chez elle. Ce fut la seule période où je vivais à la campagne. Avec toutes les aventures qu’une citadine de l’après guerre, se ramasser à la campagne. J’aimais ces soirées entre nous. Toute les deux devant la cheminée. Pourtant c’était l’été, mais cette vieille bâtisse aux murs épais était fraiche l’été. Elle ne comportait que deux pièces. Pourtant la cheminée envahissait la pièce. Elle servait de cuisine, à l’ancienne. La cheminée haute et large rappelait l’époque révolue des anciens. Au fond sur le côté les vestiges d’un four à pain. Tout en discutant, nous dégustions toutes les deux un chocolat chaud préparé avec le lait des vaches du père Victor ! Les fromages frais des chèvres de la voisine séchaient sur l’avancement de l’antre, elle servait d’étagère.
Parmi les aventures de la famille il y a celle de la guerre de 1870, de 14-18 puis des années quarante. Celles des Pétainistes, celles des collaborateurs, celles aussi des résistants. Si bien qu’aujourd’hui, quand je vois des personnes de cette génération ou bien tout simplement lorsqu’il m’arrive de penser à cette période. J’ai cette envie de crier, oui de crier ma colère, mon dégout et aussi ma douleur pour ceux qui ont souffert avec tant d’inhumanité. Mes larmes se mêlent avec l’admiration pour ces victimes. Ce sont ces souvenirs que je n’ai pas connu qui font parti de mon patrimoine génétique.
Oui ma douleurs car je pense à toutes ces victimes qui ont subi à cause d’individus innommables le traitement digne de Dracula. Je ne sais pas ce que j’aurai fait, puisque pas née. Mais je sais en revanche, que si je n’avais pas eu de courage, j’aurai été comme des millions de français sans bravoure, avec cependant le sens de l’honneur de ne rien faire, de ne rien voir, de ne rien entendre et de rester anonyme le plus possible. Peut-être aurais-je été résistante comme le fut ma mère ? Mais ce que je sais je n’aurai pas dénoncé pour de l’argent, ou par vengeance, ni par idéologie ! Parce que la dignité et l’amour de tout ce qui vit prime.
La détresse devient colère
La colère n’est plus détresse
Elle devient souvenir amer
L’horreur reste dans l’ivresse
De cette ivresse du pervers
Dont les crimes font de l’ogresse
Le triste emploi de la bouchère.
La grande faucheuse bouleverse
Les habitudes pour offrir les enchères
Tout ça au nom de la controverse
La solution finale fut découverte
La chute fut comme l’averse
Entrainée dans l’enfer
La suprématie suprême des herses
Par ses victimes fut condamné sévère
Pas sous un réverbère
Mais aux tribunaux adverses.
Tout ça au nom de qui ?
La suprématie de quoi ?
Assurément pas, la race arienne !
Sûrement pas, l’idéologie du crime de masse
Lorsque je me remémore ces vacances grand-mère me raconter la vie de sa mère cuisinière au château du Lude. Sa vie dans les douves du château, son lieu privilégié pour jouer. Ses souvenirs de Monsieur et de Madame ! Puis la fierté qu’elle avait de sa fille apprentie couturière à Baugé ! Elle en était fière car telle la féministe de cette époque, elle payait l’apprentissage de sa fille. D’autant que mère avait était choisie par Madame de Broc pour broder ses robes, lorsqu’elle se rendait au château du Lude.
Grand-mère fut la pionnière des féministes familiale ! Vous, vous rendez compte elle osait en pleine campagne, prospecter en vélocipède de surcroît, pour vendre des machines à coudre ! Les livrer, apprendre à ses clientes à s’en servir ! Et en plus les réparer ou les régler toute seule ! Quel toupet cette femme ! Et moi je riais. J’imaginais les paysannes dans leurs robes noires, vertes de jalousies, contre cette femme libre ! Grand-père la laissait libre et lui faisait confiance. Il était souvent soit sous quolibets des hommes « Hé ! Mon gars ! « Tu répares la route pour ta femme ? » Ou bien plaint par les femmes ! « Ce pauvre homme trime, pendant que sa femme coure les routes ! »
A ce passage de la vie de mes grands-parents, je ne riais plus, je serrais les dents et les poings. Pauvre grand-mère elle eu le malheur d’être gravement accidenté sur la route menant à Broc. Elle rentait d’une mission, quand elle a été renversée. Si bien mère ne fut pas la brodeuse espérée. Elle devint la bonne à tout faire chez les parents de mon père !
C’est l’une des histoires que racontait ma grand-mère pendant mes vacances, je l’écoutais avec ravissement.
Fermons la parenthèse et revenons à nos moutons, comme le disent les bonne gens.
Cette période où la France à montrée son vrai visage. Elle a forgée la mentalité des générations suivante Alors….
Que dire :
Que dire de ces industriels français, pour ne pas perdre d’argent, et sûrement la vie se sont mit au service du gouvernement de Vichy ?
Que dire de ces gendarmes et policiers français, quand ils arrêtent, et font des Raffles au nom de la loi ! Cette loi si criminelle et soumise à l’occupant !
Que dire de ces concierges français dénonçant, les locataires ou copropriétaires pour s’approprier leurs objets de valeur !
Que dire de ces Français qui ont dénoncé par convoitise, voir par jalousie pour une femme riche ou un homme riche ?
Que dire de ces Français qui ont dénoncé à tort par vengeance personnel ?
Que dire de ces Français qui ont dénoncé faussement pour séparer des amoureux et s’approprier l’objet de leur désir ?
Que dire de ces Françaises usant de leurs charmes avec des soldats allemands, puis américain pour assurer le confort de leur famille ?
Que dire de ces Français qui ont pratiqué la délation mensongère après la guerre, pour cacher leurs actes ignobles sous Vichy ?
Oui ces Français là sont la honte de la France Libre.
Aujourd’hui ces judas, se cachent de leur passé honteux. Ils sont des grands pères et des grand-mères respectables en apparences.
J’espère que leur conscience (s’ils en ont une) les bouscule devant l’innocence de leurs petits-enfants
ET POURTANT…
Des gendarmes et des policiers au péril de leur vie ont sauvé le maximum de personnes qui leur fut possible. Qu’ils soient juifs ou résistants.
ET POURTANT
Des concierges ont caché, nourris, habillés, aidés à passer des juifs et des résistants
ET POURTANT
Des Français ont servi des réseaux, pour aider les résistants et les juifs sans poser de question, pour eux c’était naturel
ET POURTANT
Des entreprises françaises ont espionné pour Londres, protégé leurs employés en leur donnant de faux noms, qu’ils soient juifs ou résistants.
ET POURTANT
Des prostituées ont souvent été des résistantes, elles ont payé de leur vie dans les services de renseignements
ET POURTANT
Il est arrivé qu’un véritable amour entre français et Allemand soit vrai, et sans trahison envers leurs pays
ET POURTANT
Il y a eu des Allemands (peu il est vrai, mais plus nombreux que nous l’imaginons) ont lutté contre Hitler et le nazisme. Leurs actions ont été héroïques et de surcroît ils ont aidé les alliés, bien que n’ayant pas de contact avec eux pour la plupart, car pour eux il n’était pas question de trahir l’Allemagne. Mais de se délivrer d’Hitler et de ses acolytes.
NE LES OUBLIONS PAS
NOUS LEURS DEVONS CE QUE NOUS SOMMES
NOUS LEURS DEVONS LA LIBERTE
NOUS LEURS DEVONS LA DEMOCRATIE
NOUS LEURS DEVONS LA PAIX
NOUS LEURS DEVONS L’HONNEUR
2
LA CRUAUTE HUMAINE
Depuis que l’humanité existe, la cruauté existe.
Ce sujet n’est pas une leçon d’histoire. Même si cela peux vous le faire penser. Je ne fais que survoler ce sujet sur la cruauté humaine, depuis les temps les plus reculés connus.
Pourquoi en parler ? Par ce que la violence s’affirme de plus en plus dans nos quartiers, nos banlieues et même dans nos campagnes !
Connaître l’histoire c’est important. La vie est une histoire. L’histoire se raconte. Les historiens raconte avec détaille le sujet qui les intéresse.
La violence et la cruauté, c’est un sujet sensible et difficile. Elles ont côtoyées toutes les périodes, tous les continents.
La vie de la Terre n’a pas seulement subit les bouleversements qui ont provoqués les diverses transformations atmosphérique, météorique, et autres. Mais elle a également du subir la cruauté humaine.
Mon but c’est d’éveiller la curiosité de mes lecteurs, ou de leur rappeler ces réalités. Qu’ils n’oublient pas ce que nous sommes. Que mes lecteurs ouvrent les livres de vrais historiens.
Je ne suis pas historienne, mais j’ai la curiosité et la passion de connaître le passé. Ce sujet je le traite de façon succincte. Pour évoluer et trouver les solutions, il faut connaître la profondeur de ce problème.
La violence, la cruauté gratuite est toujours d’actualité. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faille se traumatiser. Mais seulement prendre conscience de ce fait, et faire en sorte que cela s’arrête un jour.
3
L’HOMME A INVENTE :
LA SOUFFRANCE
Il assouvi sa puissance sur la nature
C’est ainsi qu’il a recherché :
Pour le bien-être de certains hommes au détriment du respect de la nature ils ont pérennisés la terreur de génération en génération. Leurs perversité est telle qu’ils utilisent le confort créer par des humains cherchant à améliorer la vie de la planète :
Pour mieux communiquer = le téléphone, internet etc.…
Pour transmettre = l’imprimerie, les études, l’apprentissage
Pour le savoir = l’école, la FAC
Pour la maladie = médecine, chirurgie, recherche etc.…
Pour les secours = les pompiers la police et autres
Pour la défense = les armes (armes blanches, les armes mécaniques, puis nucléaires)
Pour s’enrichir = les usines, les grandes surfaces commerciales, l’exploitation des mines etc.….
Pour l’agriculture = des machines diverses au gasoil et autres
Pour le transport = air-terre mer des engins polluants
Pour coloniser l’univers = l’astronomie
Pour le confort = le plastique nécessitant le pétrole
Pour la mode = le cosmétique, et certains tissus dérivé des peaux d’animaux ou du pétrole
4
MAIS EN PLUS
ILS ONT AUSSI INVENTE LA BARBARIE !
Dans la recherche de la violence, les soi-disant êtres humains sont restés inchangés depuis des millénaires ! Ils n’ont d’humains que le physique.
La différence depuis plus cinq mille ans et plus…
La violence s’est « modernisée », si l’on peut dire. Ces individus sont de plus en plus raffinés dans leur démence. Les causes sont identiques depuis la nuit des temps (la jalousie, la soif du pouvoir, l’argent).
Cela à commencer ainsi :
Ce fut l’esclavage en Chine ils y a plus de cinq mille ans. Après il y eut la continuité dans toutes les civilisations, dans toutes les époques.
Les colons changent selon les époques. Ils colonisent, soumettent les races différentes, les ethnies. Ce qui est curieux malgré les époques différentes la considération sur les autres peuples est la même. En conséquence ils agissent toujours de la même manière dans la pensée, technologiquement cela diffère.
Ils avilissent les peuples selon la mentalité raciale ils les disent « sauvages ».
De ce qui n’est pas de leur « étique » ou de leur « race »
Du rang de la société « sang bleu » les « castes » et autres…
De ceux qui ont des handicaps, ont leur réserve des tâches selon leur possibilité. On exploite leurs besoins, ils sont mal rémunérés.
Les dit « civilisés » eux s’enrichissent et tirent gloire de leur « sens humanitaire !»
Il y a encore des pays ou l’esclavage existe, malgré son abolition mondiale.
5
ILS ONT TROUVES MIEUX:
LE DEPLACEMENT DES PEUPLES
ÇA C’EST UNE INVENTION FORMIDABLE DE LA VIOLENCE DITE HUMAINE !
La Torah, la Bible en parlent déjà, cela se reproduit épisodiquement.
Le déplacement des peuples ne se fait pas uniquement lorsqu’il y a désertification des sols, la famine, les épidémies.
Ceci était une nécessité à certaines époques, je ne parle pas de ces cas..
De nos jours cela ne devrait plus exister. Puisque nous avons des moyens techniques pour remédier sur place à leur problème. Il s’agit d’un peu de solidarité entre les peuples.
Il existe des ONG avec le commerce équitable. C’est la bonne solution. Mais il y a toujours ces rapaces, qui profitent et exploitent ce commerce qui redonne la dignité de ces peuples.
Mais malheureusement les déportations ethniques ne sont toujours pas démodées malgré les abnégations de certains chefs d’État.
Les motifs sont toujours aussi absurdes : Religions, politiques, races, ethnies, sexes, enfants orphelins etc. …
Depuis quelques décennies les soi-disant organisateurs sportifs font miroiter un avenir fabuleux dans le tiers monde. Lorsqu’ils arrivent en Europe, la France n’est pas en reste, c’est la terrible réalité ! Papiers n’ont renouvelé, contrat de travail inexistant, écoles sportives uniquement un trimestre. Seuls les meilleurs sont gardés. Les autres sont dans la rue ! Ils finissent soit avec des souteneurs, des dealers ou des familles les exploitants ! Et ce n’est pas systématiquement des blancs ! Quelques fois se sont leurs compatriotes voir la famille !
Et ce n’est pas uniquement le milieu sportif, certains bourgeois ont trouvé une occasion d’avoir du personnel peu onéreux.
Il faut se rappeler de l’existence de ces fait et de lutter contre cette forme d’esclavage. Mais on doit bien gardé en vu qu’ils sont minoritaires. Mais dangereux puisqu’ils se font passer pour des humanitaires. Des humanitaires qui n’ont rien d’humanitaire !
Ces individus font beaucoup de tort aux ONG officiel et Associations diverses pleines de bonnes volonté. Elles n’ont rien à voir avec ce trafic humain.
6
LE DESHONNEUR DES HUMAINS
Le déshonneur de cet être, que l’on appelle humain, on le trouve dans:
L’innovation des tortures que l’on s’imagine nouvelle, mais il n’en est rien.
L’idée maîtresse, c’est d’imposer son pouvoir, en instituant l’effroi. Exemple Kadhafi en Lybie et autres sanguinaires.
Les tortures actuelles sont les mêmes, qu’aux époques de l’Égypte ancienne, la Chine ancienne, de la mythologie grec ou romaine, seulement elles sont modernisées technologiquement.
On remplace le nom du supplicié, ou du prisonnier, par celui du maître, ou d’un numéro, comme pendant la Shoa.
7
LA DESHUMANISATION EST L’ARME DU BOURREAU
L’Europe oublie volontairement ces propres horreurs.
La France n’est pas en reste. Le plus criant c’est le génocide vendéen en mille sept cent quatre-vingt-douze/quatre vingt quatorze, et de la Provence pour la même période.
Qu’elle ne reconnaît toujours pas.
On a condamné les résistants chouans de la Vendée, comme des brigands.
Bien sûr parmi les vendéens chouans, il y avait des brigands, qui profitaient du combat politique des chouans loyalistes.
Aujourd’hui on trouve les mêmes complications dans les manifestations de rue. Ce sont nos casseurs, ils cassent, dévalisent, brûlent tout sur le passage.
Pourtant, les manifestants ne font que défendre leur droit, et ne sont cependant, pas des brigands pour autant.
LA FRANCE S’ENORGUEILLIT D’ÊTRE LE PAYS DES DROITS DE L’HOMME
DEPUIS LE VINGT SIX AOUT MILLE SEPT CENT QUATRE VINGT NEUF !
En mille sept cent quatre vingt douze, le directoire commande le massacre de la Vendée. Les soldats de la république mettent le feu dans tous les villages considérés chouans, pour réprimer la contrerévolution.
C’est çà le droit de l’homme ?
8
AUJOURD’HUI QU’EN EST-IL ?
AU VINGTIEME SIECLE ET VINGT ET UNIEME SIECLE OÙ EN SOMMES-NOUS DE CETTE REALITE ?
Pour l’Europe ce sont les Arméniens au début du XXème siècle,
Puis ce fut les juifs, les Témoins de Jéhovah, les « Gays », les Tsiganes, les communistes, les handicapés en Allemagne de mille neuf cent trente-trois à mille neuf cent quarante-cinq,
Les antis communistes en URSS (goulag, lavage de cerveau) à Cuba, Cambodge, les Khmers rouges, la Chine etc.…
Les pays arabes et africains ne sont pas en reste. Ceci date depuis l’Égypte des pyramides.
Quant à l’Amérique cet état de chose est beaucoup plus connu. Car l’esclavage fut la base de la réussite des migrants de souches européenne.
Le brave Christophe Colomb, quand il fit la découverte de l’Amérique ne pouvait imaginer l’importance de sa trouvaille, ni les conséquences.
Les colons devinrent rapidement riches. Les esclaves amérindiens étaient trop réfractaires. Ils ont donc éliminé les tribus indiennes au maximum, et pris leurs terres !
Les colons d’Amérique sont des Européens venus pour s’enrichir, ou se refaire une vie hors des prisons d’Europe pour la plupart. Certains ont migrés pour des raisons religieuses et de misère (Irlande, écosse) (les français chouans fuyants la révolution) pour les premiers arrivages. Ensuite de fut différent
Ce n’est pas ce qui est enseigné aux jeunes Américains. Ils croient que leurs ancêtres sont venus à cause des guerres à répétition entre nation, de la famine, d’autres pour évangéliser.
C’est vrai pour quelques-uns. Cependant il y en a eut beaucoup, c’était pour la ruée de l’or, qui les avait attirés. De nombreux migrants assoiffés d’aventures et de richesse, croyant trouver le paradis avaient également migré
Beaucoup d’entre eux perdirent la vie avant d’arriver à leur destination ! C’est de cette vie-là, que proviennent le Far West et les armes individuelles pour se protéger.
Avec eux est venu le plus grand trafic d’esclaves du monde. Ils ont organisé les déportations d’humains, (hommes, femmes, enfants) ils ont acheté et vendu des humains comme leurs vaches et leurs chevaux ! Leurs animaux étaient mieux traités, que leurs esclaves !
D’abord ce fut des Asiatiques, trop faible, trop intelligent, ils ne leur furent d’aucune utilité.
Alors les Français, espagnols, portugais, Royaumes Unis, Turc etc.…ont inventé les négriers. C’était la manne, la fortune pour ces marins négriers. L’Afrique bien que loin est leur meilleure main d’œuvre.
Que de chose horrible pour ces peuples fiers ! Trahi, vendu, parfois par leur propre chef de tribu ! ils sont aussi, prisonniers dans des batailles inégales. (Lances, contre fusils).
Conduits à l’ile du Cap Vert pour l’Amérique du Sud, ou l’ile de Gorée pour l’Amérique du Nord. Via la mort et le viol selon le bon plaisir des négriers.
Certains capitaines prenaient soin de leurs marchandises, car le prix des esclaves est fonction du bon état. Il y avait aussi des déchargements d’humains sur les îles de passages, car ils avaient peurs des maladies contagieuses. Ça c’était pour les chanceux, car la plupart du temps, ils étaient jetés à la mer !
Leur quotidien, lorsqu’ils avaient la chance d’aller chez de « bon maître », ils devaient travailler douze heures avec un repas alléger « pour qu’ils ne soient pas gênés par la digestion » !
Les colons en règle générale, ou plutôt « les bons blancs » se croyaient être une espèce humaine supérieure, une caste suprême.
(Certains le croient toujours, toutefois cela se produit de moins en moins chez ces peuplades). Ces fameux colons leur infligeaient des traitements infâmes, et interdisait leur pratique religieuse (les dieux de leurs pays).
C’est ainsi que le Jazz fut créé et devint une musique internationale avec ces dérivés.