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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Regard sur la vie en poésie

En ce temps de grève et d'hiver il est bon de rêver d' soleil même si c'est la canicule

Un matin de canicule

 

Le pinson chante l’arrivé du soleil

Une fraîcheur agréable me réveille,

Mon esprit encore embrumé s’éveille

La porte-fenêtre ouverte me défie,

L’air frais du parc entre et me suffit.

Son chant mélodieux me revivifie.

 

La température prélude l’arrivée,

D’une chaleur anormale à enivrer

Je marche sous les arbres verts lessivée.

Aux chants des pinsons, pies, et tourterelles

Se mêle le sifflet plaintif au merle.

Le parc est tout près de la tourelle.

 

Ce sacré ciel parisien il devrait être bleu,

Il n’est malheureusement que d’un gris-bleu

Les allées du parc sont sableuses, parbleu !

Mes pieds brulent dans mes espadrilles

Résultat mes jambes partent en vrille,

Bon sang ! La sortie, vite ! Enfin la grille.

 

Poème prophétique ?

Pourquoi n’avons-nous pas écouté la Voix

 

Le jour où nous, nous en sortirons.

Le soleil sera si haut que nous brûlerons.

Les arbres, l’herbe, les fleurs,

Aiment et craignent cette chaleur.

L’alizé caressera les cheveux trop secs,

Le héron, ce pêcheur fier au long bec,

Le chant des oiseaux accompagne,

Au-dessus du lac de notre campagne.

Il va à son retour vivre en bon larron,

Il en sera ainsi lorsque nous, nous en sortirons.

 

Un jour, Il n’y aura plus d’ombre.

Les tracas se feront dans les décombres.

Des séismes se produiront sur le retour.

La montagne de l’univers au détour,

Éclatera dans la douleur du monde.

Son accouchement transformera la mappemonde.

Au commencement, elle éternuera dans l’ombre,

Toussera aux heures suivantes vers ce nombre,

Déterminera le temps explosif du pouvoir

Pour enfin cracher le feu de tout son savoir.

 

La tendresse mutée voilée derrière les larmes.

Retrouvera l’unité en laissant les armes.

Dans la cité elle s’abritera sans être dépassée.

Elle cherchera l’harmonie d’un certain passé.

Les félins rôderont impuissants devant l’amour

Les faibles gagnent dignement avec humour,

Sur cette basse-cour aux regards dépassés.

Comme des lycaons amis d’un autre passé.

En estivants prisonniers des évènements,

Pour eux ils s’interrogeront trop tardivement.

 

Pourquoi n’ont-ils pas écouté la Voix

 Celle qui est parvenue sur la voie

 De l’amitié sincère respectueuse.

Celle qui dirige la ligne affectueuse,

L’amour, la pitié accompagnent le partage.

Quelquefois l’effroi, entraine à l’outrage,

Par inadvertance la joie dans le malheur,

La victoire et l’espérance n’est pas un leurre.

La question lancinante des cris nous envoie ;

Pourquoi n’avons-nous pas écouté la Voix ?

 

6 mars 2017

 

Madame la Lune

 

Ce soir dans la fraîcheur, madame la lune,

Avec sa face blafarde éclaire la dune.

Les arbrisseaux épineux clairsemés frissonnent,

Leurs feuilles rougeâtres s’envolent les cloches sonnent.

Elles sont les seules à produire de la couleur,

Elles emportent au loin la jeunesse de la douleur.

Les animaux deviennent gris dans la pénombre,

De cette nuit d’été fraîche où tout est sombre.

 

Au centre de sa cour lustrée, madame la lune,

Joue avec les nuages se faisant poisson-lune.

De même avec les nymphes et leurs consonnes,

Les nues révèlent sa façade de polissonne.

Elle aime cultiver les pièges de ces leurres,

Elle les drape malicieuse d’un voile enjôleur.

La faune diurne se tapie dans l’ombre

Les nocturnes s’épanouissent dans la pénombre.

 

10 juillet 2015

Dire ou ne pas dire ?

 

Ecclésiastique

20 :18 à 20

Mieux vaut un faux pas sur le pavé qu’une incartade de langage ;

C’est ainsi que trébuchent soudainement les méchants.

Un homme grossier est comme une gaudriole

Ressassé par des imbéciles

De la bouche du sot on n’accepte pas un proverbe

Car il ne le dit pas à propos

  

Certaines choses ne peuvent se dire

Sans vraiment s’ébaudir

Ou parler sans mot dire

Encore moins sans maudire.

 

Pourquoi devraient-elles rester secrètes,

Si elles sont discrètes

Pour une simple amourette

Elles ne peuvent que devenir indiscrètes.

 

Certains pensent on ne doit pas se taire,

Ceci est-ce le caractère

Tout naturel du protestataire

Ou bien seraient-elles d’un esprit délétère.

 

Dire ou ne pas dire mais l’écrire

Pourrait-on décrire

Si ce n’est y souscrire,

Dans la situation se trouvant à transcrire.

 

Là c’est toute une question d’examen

Qui n’est pas d’un gamin

Mais venue d’un humain

À l’esprit torturé pour la transcrire sur son chemin.

 

28 janvier 2017

 

Rêves des stars fabriquées

 

Les acteurs vivent dans leurs personnages

Ils s’ingénient dans leurs rôles de faussaires

Ils aiment être le contraire de ce qu’ils sont

Pour le plus grand bonheur de leurs fans.

 

Ils rêvent de voir leurs noms en lettres d’or,

Scintiller à l’entrée des salles de spectacles

Ils sont star reconnus pour leur jeu de rôle.

Hélas, ce n’est que trop souvent un rêve.

 

Les stars du passé jouaient des scènes d’auteur,

Les stars actuelles jouent leur corps pour les médias.

Y trouvent-elles leur bonheur sans être dans l’erreur,

Trouvent-elles ce qu’elles recherchent réellement.

 

En espérant un vrai rôle d’acteur théâtre ou ciné,

Elles se contentent de jouer devant les paparazzis,

Satisfaisant leurs appétits malsains et sans scrupule,

Pour seulement vendre au plus offrant leurs images.

 

17 juillet 2015

 

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