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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Les réflexions sur des citations

Lire un livre

 

Fermer un livre et s'endormir c'est souvent ainsi que cela se passe.

Mais avons-nous retenu quelque chose de notre lecture.

Au réveil en voyant le livre fermé sur la table de nuit, les images des mots sont présentes. La journée commence avec bonheur. L’auteur a su écrire des mots frappants l’imaginaire, ou sensés selon la catégorie de l’écrit.

Mais un livre dont on ne se souvient pas même un mot, après l’avoir fermé, nous fait regretter de l’avoir acheté ou loué ou emprunter. C’est exactement comme si l’on ne l’avait pas lu.

Cela fait dire à Antoine Albalat :

« Un livre qu’on quitte sans en avoir extrait quelque chose est un livre qu’on n’a pas lu. »

 

6

Désir de mariage des prêtres

 

« Aujourd’hui, il n’y a plus que les prêtres qui veulent se marier. »

À la princesse Bibesco   Louise de Vilmorin

La question : pourquoi se marier ?

De nos jours c’est la question récurrente.

Auparavant, c’était une garantie pour la vie. A ma génération, l’amour était un plus, le mariage servait de garanti d’éternité.

Souvent les parents choisissaient, c’était un hasard si l’amour était au rendez-vous. Mais, il y avait le respect entre époux et finissait souvent par une grande amitié et complicité.

Les années la fleur au fusil a changé, l’amour se devait être prioritaire. Le mariage était une conclusion de normalité. Seulement, la liberté de la femme, changea le cours des choses.

Les années quatre-vingt, ce n’était plus pour la vie. « Le divorce n’est pas fait pour des chiens ! »

Plus tard, les mœurs changent à nouveau. Le couple ne parvient « à régulariser » qu’après des années de vie en couple. Les enfants nés de ces couples sont des demoiselles et des garçons d’honneur à leur mariage !

Ors, Louise parle des désirs de mariage des prêtres.

Doivent-ils se marier ? Ils ont plusieurs années pour déterminer leur ligne de vie.

Leurs questions sont :

1 - doivent-ils être diacre marié ou diacre célibataires ?

 Auparavant, comme pour le mariage c’était la famille et la coutume qui obligeait un fils soldat et le dernier prêtre. Les conséquences c’était des soldats couramment sans conviction et fêtard, et des religieux également croyant, mais également des fêtards comme leurs frères ainés.

2- la foi doit diriger leur choix. La ligne de l’église catholique est différente des autres mouvements chrétiens, même chez les orthodoxes.

Louise de Vilmorin avait raison, dans sa remarque à la princesse Bibesco.

7

Le bonheur ne dépend que de nous

 

"Le Bonheur ne dépend d'aucun être,

D’aucun objet extérieur,

Il ne dépend que de nous."

D’Alaï Lama

 

Cette pensée doit faire réfléchir.

 Cette vérité et simple et véridique, et pourtant, il arrive, que c’est difficile de trouver le bonheur.

Nous cherchons un bonheur inconnu, cela nous permet de toujours le chercher.

Et pourtant au milieu de graves problèmes, certains trouvent un certain bonheur.

Pourquoi?

Seulement, ils savent que le bonheur se trouve dans les petites choses :

Un malade en fin de vie, n’attend plus rien de la vie. Il a l’espérance de l’au-delà, grâce à un sourire de l’infirmière, un petit mot doux d’un enfant, ou d’un adulte, un baiser sur le front ou bien la main dans la main avec son conjoint. Toute ces petites choses, donne au malade en fin de vie, un certain bonheur.

Mais sait-on donner ou accepter ces instants de bonheur ?

Il y a aussi des choses beaucoup moins graves, nous avons le bonheur, mais nous ne savons pas  en reconnaître les prémices qui sont en nous.

Nous ne savons pas voir le bonheur qui est en nous, et nous disons le bonheur est où ?

Parce que nous voulons voir que ce que nous désirons sans se préoccuper des autres autour de nous. Tout tourne autour de notre soit, et évidemment sans s’ouvrir à l’extérieur.

Le D’Alaï Lama a raison, le bonheur ne dépend que de nous.

 

Alumacom

 

 

 

8

Tout ce qui est écrit

 

Tout ce qui est écrit continue de vivre dans l’absence.

                                                                       « Louis Aragon »

 

L’écrit est une preuve de notre vécu, de nos pensées.

L’écrit est la mémoire humaine. Qu’elle soit historique, ou bien notre vie à transmettre à nos descendants ou héritiers.

Il y a nos lettres attendues et reçues, elles sont un pont vers l’au-delà,

Le plaisir et nos émotions à lire et relire le courrier que nous avons gardé. Il est mémoire de nos êtres si chers. Ces êtres ne sont pas forcément nos parents, nos aïeuls mais aussi des amis, des frères ou sœurs d’armes de la vie. De ceux qui nous ont côtoyés un temps ; c’est le retour sur le passé.

Tous ces écrits nous permettent d’avancer, de se remémorer nos engagements, dans une certaine mesure nous rappelle nos erreurs à ne plus commettre. Encore faut-il avoir l’esprit d’admettre nos erreurs passées et présentes.

Il est aussi important puisque par les écrits, ils sont preuves et témoins. L’histoire humaine n’est connue que grâce aux écrits des célébrités. Car eux-mêmes font l’histoire par leurs œuvres, leurs actions, leurs décisions. Chaque humain écrit une ou plusieurs pages dans la vie. Puisque chacun de nous quel que soit notre rang social participe à la construction de l’histoire. Et par de la même nos différences et ceci depuis la création.

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