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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

L'espace et le temps (suite 19)

 

Toi et moi

 

Sur le rocher de ma montagne.

Dans le pays de cocagne,

Ton nom et le mien,

Sont gravés pour la postérité.

 

Tu ne peux oublier ces instants,

De bonheur et d’assurance,

Qu’un jour notre union,

Serait célébré dans la joie.

 

Malgré le temps et les drames,

Nous avons tenu côte à côte.

Les déchaînements n’eurent pas de prises.

À ce jour rien ne nous a séparés.

 

Nos noms gravés sur ma montagne,

Devient notre coin secret.

Personne ne peut effacer,

Notre promesse d’un amour éternel.

 

 

L’événement surprise

 

L’évènement est une surprise ;

Hou ! Hou ! Venez au pays d’Hollande.

Ouverture en silence pour les conscrits,

Médiatisation prudente sophistiquée.

Multi faces réfléchies, suivant circonstances,

Enivre tout simplement son panache.

 

Difficile le grand écart des idées,

Encouragement venu d’un état-major.

 

Politique hésitante toujours en attente.

Avis du maître à penser sous-jacent.

Il leur en est redevable.

Locutions toujours recherchées.

Limpidité d’apparence nonchalante.

Enveloppe l’étude de ces dossiers.

 

Détermine le sens directorial.

Superposant la gestion des idées.

Kermesse orchestrée de main de maître.

 

Mêlant la joie du chef d’orchestre.

Osant sans ambages les honneurs.

S’offrant la surprise du chef supposé,

Copinant sans réserve pour une place.

Ouvrant la route fleurie,

Victorieuse sans aucun doute.

Incluant le reste des faux-amis.

Continuant d’y croire, hélas...

Impossible sera le challenge !

 

Dur sera la descente,

Souvenir, souvenir devenu,

Karaoké des mots et des gestes.

 

 

Si le soleil était…

 

Si le soleil était un appareil

Il est la source de l’éveil

Il est l’heure du conseil

Il serait un magnifique réveil

 

Si le soleil était dans le cœur

Il serait celui du semeur

De graines d’amour en flâneur

La source du bonheur

 

Si le soleil était l’âme

L’onde de ses flammes

Dans l’alvéole de cire acclame

La butineuse dans l’oriflamme

 

Si le soleil était dans le cœur

La lumière éclairerait le labeur

Sans chercher sa douce chaleur,

De s’unir, et ne faire qu’un cœur.

 

Si le soleil était dans la tête

Nous écouterions son cœur en fête

Nous danserions au son des castagnettes

Nous chanterions près de l’escarpolette

 

 

Trouver son soleil

 

 Trouver son soleil, c’est trouver sa voie

 

Aimez c’est avoir trouvé le soleil,

Dans son plus simple appareil,

Il n’y a pas son pareil,

Car, il est à son oreille.

 

Nous avons reçu l’or de l’abeille,

Elle a butiné dans la corbeille,

Son grand ami la surveille,

Lui, il a trouvé son soleil.

 

Le miel d’or est la grande promesse,

D’un chant glorieux et doux à la messe,

Elle ressemble à la Kermesse

Pour, trouver le soleil d’Hermès.

 

Un parfum aux odeurs du soleil

Celui de la Provence sous la treille

Cette prophétie d’une vieille,

Sur, c’est un bon conseil.

 

Trouver le soleil de notre future vie

Ce trésor-là est toujours inassouvi

Il est le soleil noir d’une autre vie,

Car, celui de l’Eternel est la vie.

 

Nous passons tous notre temps à chercher

Celui qui est près de nous toujours percher

Il nous entend s’évertuer d’ébaucher,

Les, plans et plantations rechercher.

 

Nos diverses recherchent pour notre soleil

Se soldent par l’échec suite aux sommeils

Toujours plus puissant que l’éveil

Car, notre écoute n’aime pas le réveil.

 

L’unité du départ

 

Le vol des oiseaux dans la frénésie,

Se posent en enchanteurs des poésies.

Tous alignés sur le fil la cacophonie

Le départ se prépare en harmonie

Ils attendent fébriles toute la colonie.

 

La fébrilité atteint son paroxysme

Quand ces petits chanteurs de l’égoïsme

Décident sans sentiments spécial

Leur chant du départ semble cordial

Ce n’est que la réunion familiale.

 

L’hiver est à la porte loin de la Laponie

Pourtant il siffle tout proche de l’agonie

L’unité est obligatoire et cérémoniale

La survie découle de leur unité collégiale

L’étrange cérémonie leur est primordiale.

 

Le soleil les attend sans ce fameux discours

Combien vont mourir sur le parcours

La raison les oblige à agir avec courtoisie

Sans vraiment un petit brin d’hypocrisie

Leurs sentiments atteignent l’amnésie.

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