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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Le miracle des mots d'un esprit libre

Ce mois impétueux

 

À l’arrivé de ce mois impétueux

La jeunesse de la nature est fébrile

Elle revient  pour le défilé onctueux

Du retour de nos petits chanteurs subtils.

Les nids reprennent la vie en vertueux

Leur fidélité demeure l’inconnu docile. 

 

 

Dans une idée subtile tel un volatile

L’inquiétude pour  son petit si fragile

Dont la chanson plaintive venue des îles,

Est célérité dans l’espoir d’une   compile.

S’ils sont très nombreux ils seront des serviles

Vivants dans le froid des bidonvilles

Tremblant de froid sous la voix gracile

De ce souffle persifleur si souvent vil.

 

Combien sont-ils, ou seront-ils demain ?

Ils filent derrière le vigile

Les fleurs se balancent vers les lendemains

Devant cette dame nature indocile.

Cependant le crocodile inhumain,

Les coursent comme volatiles pour son grill.

 

Ces animaux humains se croyant virils

S’éveillent à l’arrivée du roi Avril.

Leurs audaces acérées loin d’être stérile

Mais seulement suffisants assez subtils

Pour ne pas être livré dans un asile.

Des terres de la grande France habile

Fixe leurs ressources de façon indélébiles

Pour ne garder qu’une voix volubile.

 

29 mai 2015

  

Ce mois vivifiant

  

Ce mois vivifiant entre en chantant

Au milieu des baies naissantes

Des bourgeons veloutés croissants

Des boutons éclosent éblouissant

Aux parfums envahissants

Enchantent nos jardins verdissants.

 

Les oiseaux sifflent leurs retours,

L’hymne à l’amour aux alentours

C’est un mois de petites attentions

Entre dans les et les commémorations.

Ils sont dans toutes les conversations,

Ils se parent de leurs plus beaux atours.

 

Les fleurs entrent dans la danse

Leurs fragrances en abondance

Rejoignent les arbres en fleurs,

Parterres et massifs sont bonheur

Les jardins sèchent nos pleurs.

En mai nous sommes en renaissance

 

La nature chante sous la pluie,

La joie des branches du buis

Communique sa joie au muguet

Leur clochette sonne aux aguets

La marche humaine subjuguée,

Sous le parapluie ils sont distingués.

 

Ce mois de mai

N’a pas tous ces Mes

Mais il est un met

A lui tout seul il met

Les temps du gourmet

Au plus haut de son sommet

14 mai 2016 

Le soleil de juin

 

 

Au mois de juin le soleil vient

Ce n’est pas le maréchal Juin

Ce soleil se fait roi et survient

Avec la force du marsouin.

La pie rieuse voleuse se subvient.

La corneille se fait chafouin

La mésange bleue dans la futaie revient

Il et elles annoncent juin avant les foins.

 

En juin la lune s’habille de vermeil   

Protège la ruche de ses abeilles

Elle miroite au-dessus et surveille

La futée surveille la treille.

Son frère soleil se réjouit en Juin

Les citrons se dorent près du gardien

Celui-ci les surveille à Halluin

Dans le secret enfoui chez les indiens.

 

En juin le soleil se lève très tôt

« L’alcoolo » entre dans son bistrot

Il enlève brutalement sur le paletot

Ne peut sortir à cause du cuistot.

La pluie frappe au rythme de la pendule

Ravive les feuilles au crépuscule.

Se veulent voluptueuses en conciliabule

La noblesse charme les branches en fibules.

 

Le soleil de juin se voit charmeur,

Les nuages blancs de nos fumeurs,

Portent les têtes amusées des verrières,

Dans l’humidité de  la clairière.

Il s’amuse le roi selon son humeur.

Son regard plonge en dompteur   

Se divertit de ces espiègles trouvères

Sur la trame tissée de mots et vers.

 

15 mai 2016 

 

Ce mois de juillet

 

En ce mois sacré pour les vacances

Les classes n’ont plus leurs pétulances

La Fête Nationale se lance

Dans les défilés sur toute la France

Les marches militaires en cadence

La musique du régiment en stance

Dans leurs  uniformes de prestance

Leurs engins ronflent leurs dominances

Suivant le porte-drapeau d’obligeance

Tous en un seul homme la résistance

 

Ce mois de vacances on rêve

Allongés sur les plages sans trêve

Grimper montagne et mer sur la grève

Dans les campagnes les randonnées brèves

Certains font un  retour sur leur sève

Le bonheur de revoir ses souvenirs

Nos anciens fatigués et leurs sourires

Nos compagnons vigilants à prévenir

Les enfants jouent avec eux sans ternir  

Leur découverte de la ferme pour finir.

 

Ce mois de juillet dans notre Paris

La banlieue historique devenus un pari

Balade dans les jardins publics fleuris

Et leurs animaux en rêvant de safaris

La paix des musées hors des hourvaris

Les sorties en bateau-mouche romanesque

Découvrent la Seine et ses fresques

Redécouvrir le Paris inconnu picaresque

Ces rues, ces impasses cachées pittoresque

Les quartiers des artistes burlesques

Juillet vacances souvent rocambolesques.

 

15 mai 2016

Ces périodes d’abandons

 

Certaines périodes sont celles des abandons

Cela peut –être l’abandon dans les arts,

Dans un livre pendant la sieste,

Sous les lunettes de soleil sur le front

Une plage au sable chaud tout blanc

La peau rougissante avant d’être dorée.

 

Il y a les abandons cruels sans moralité.

Celui de nos compagnons

  • Qu’ils soient à quatre pattes
  • Qu’ils soient ailés
  • Qu’ils soient à nageoires

Seulement ceux qui abandonnent les animaux

Sont ceux qui abandonnent lâchement,

Dans la pire des hypocrisies

  • Le bébé dans la voiture sous un soleil de plomb,

Prétexte bien commode, l’oublie de son enfant !

  • La personne âgée gênante ? elle rappelle le souvenir de la morale

Puisqu’ils sont libres de leurs actes, pourquoi s’encombrer ?

 

Avant les vacances, pour certains d’entre eux

Ce sont leur compagnon

En cause, le financement des vacances,

Ou bien ce qui est courant, la compagne encombrante,

  • La mémère et ses marmots
  • Ou peu appétissante physiquement

Peu importe son intelligence

Peu importe son cœur d’amour.

La cruauté de ceux qui abandonne n’a pas de limite.

 

C’est périodes sont toujours les vacances,

Également les fêtes nationales ou personnelles.

  • Que ce soit Noël et Nouvel an
  • Les vacances d’hiver en montagne
  • Celles de Pâques ou le printemps

Mais les plus spectaculaires ce sont celles d’été.

 

Ceux qui abandonnent tout ce qui les dérange sont des ;

  •  Cupides,
  • Prétentieux
  • Lâches

Pire ils vivent dans la peur du lendemain,

En conclusion se sont des pauvres êtres,

Sans consistance malgré leurs prestances,

Ils ne sont qu’une apparence sans espérance.

 

                        25 mars 2015

 

 L'histoire de miaou, en mi-août…

Épouvanté, miaou, miaou

Ce cri vibre à la belle étoile

Une petite boule de poil,

Perdue désemparée sous le voile.

D’une nuit royale étoilée

Les voitures projettent des cailloux.

 

Le soleil se lève, miaou,

Terrorisée sous sa mère elle appelle.

Sa mère est froide pas de pelle pour elle,

La faim la terrasse près d’un fossé

Soudain soulevée par une tractopelle,

Ces cris avertissent l’agent Agaou.

 

C’est à la mi-août, que miaou,

Notre chère minouche est arrivée.

Toute la maisonnée s’est activée,

Que ce soit dans le jardin privé,

Ou dans l’appartement l’activité,

Émerge au rythme du biniou.

 

19 mai 2015

 

Le cèpe tendre

 

Sous les feuilles mourantes mi- vertes mi- jaunes

La griffe ramifiée nourrie le cèpe tendre

Au pied du cep et de ses raisins blancs et ambre

Ce cèpe se perd sous les racines de l’aulne.

 

C’est en ce mois de septembre sous la mousse

Le cep se fait la tendresse de l’enjôleur

Il parfume jusqu’à l’ivresse de l’ensorceleur

Le cep tendre son bulbe d’or charme dans la brousse.

 

Il ne pense pas à sa fin de vie en souffrance

En cause des cueilleurs une sorte d’engeance

Des inconnus ignorants même la provenance

Moqueur par son poison il en fera sa vengeance.

 

Son bol est d’être en grâce avec le gourmet

Son parfum enivre l’odorat du cuisinier

La sauce s’accouple d’un Grave princier

Ce cèpe est ainsi dégusté en simple met

 

22 mai 2015

 

Être sobre en octobre, oui mais pour qui ?

 

Octobre c’est le temps de rester sobres

Le dessin rime avec destin

Les verres verts sans les sous-verres

Ne peuvent être une musique sans opprobre.

La sobriété c’est la monotonie de la vie

Monotone le croyez-vous !

Les papillons nous quittent,

Les passereaux font de même,

Les ours se préparent à hiberner.

Les feuilles des arbres se colorent,

Elles virevoltent, dansent avant d’atterrir,

Sur le sol refroidi et humide,

Elles couvrent le parfum particulier des bolets,

Dans les forêts les cerfs brament.

Enfin ce mois se termine avec les fantômes

Une fête païenne venue d’Ecosse ou d’Irlande

Promu aux États-Unis pour raison commerciale.

Les sorcières et leurs balais s’envolent dans l’imaginaire.

Les malheureuses citrouilles sont transpercées,

Des bougies les rendent lumineuses,

Sur des sourires flamboyant de la sorcellerie

Les adultes font aller les enfants au porte à porte

Ils apprennent ainsi à faire la quête pour des bonbons,

Mais plus tard que devra de cet enseignement,

A part les caries dentaires ?

C’est aussi les retours pour tous les étudiants.

 

La politique ? Parlons-en !

Elle est comme la vigne

C’est le temps des vendanges

Des petites vengeances indignes

Ah non ! Pour son éthique.

La treille attire les curieux

Le raisin est-il à point ?

Les champs en sont au labourage,

Les éleveurs se préparent au retour de l’hiver

Pour certains à descendre de la montagne.

 

Les politicards déballent de beaux discours

Avec toujours les mêmes tics.

Les mêmes piques, les mêmes philosophies,

Incapables de trouver des solutions neuves.

 

Le politicien lui reste souvent dans l’ombre

Trop libre dans leurs pensées,

Trop libre dans leurs paroles,

Trop gênant dans les vérités,

Trop proche de la réalité,

Trop préoccupé pour les petites gens,

Trop, trop, trop…Sobre ?

 

Les journaleux alliés des politicards,

En octobre s’activent se démènent,

Ils préparent dans l’ombre le futur.

 

Les journalistes et les politiciens,

Ont en commun d’être omniprésent.

Mais très souvent dans l’ombre,

En conséquence peu écouter

Il est vrai sagesse et vérité

N’ont pas la lumière des lampions,

Pourtant sagesse et vérité

Sont la source du vrai bonheur

Cela est parfois difficile à entendre.

Car la sagesse et la vérité,

Ont la rudesse et la chaleur de l’amitié,

Dans l’humilité et la fidélité.

 

Ce mois ne doit pas être seulement un octobre sobre,

C’est toute l’année que nous devrions être clairvoyants.

  

31 octobre 2017

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