XV
C’est l’heure de vérité
Le Repos est terminé
Après ce repos imprévu, mais nécessaire pour se remettre de leur émotion. Ce fut une collation.
A la suite de cette collation, ce furent des envies pressentes, la queue comme au confessionnal, ou aux caisses des magasins.
A la suite de cet évènement des souvenirs de leur passé récent remonte. Il n’y a pas d’argent liquide comme au bon vieux temps, mais la queue aux caisse existe toujours. Pourtant, ce n’est qu’un simple contrôle sécuritaire en raison des voleurs dans les rayons. Les chariots passent dans la cabine de contrôle et le tout est encaissé sur le compte du client avant d’être livré directement à l’adresse indiquée. Ce sont les rails qui mènent directement au bâtiment du client. Les rues se sont des pistes pour les piétons, véhicules de livraisons sur rails et les véhicules d’urgences et les divers véhicules solitaires, ou deux personnes ont leurs garages spécifiques. Pour les vaisseaux volants au-dessus des routes magnétisées. Elles sont le contrôles, et régularisent la circulation, les accidents sont rares. Même l’alcoolémie n’est plus cause d’accident, car les véhicule détectent le taux à la montée dans les véhicules qu’ils soient particuliers, ou transports en commun ou utilitaires gros volumes. Ils sont de quatre à soixante places et ils ont leurs parkings spécifiques, car le sol ne sert que pour les piétons sur trottoirs comme depuis des lustres, et les véhicules de petits calibres pour les livraisons qui eux sont sur rails. Tous les autres véhicules sont solaires et survolent les routes Les véhicules des clients volent sur coussins d’air.
Maintenant, les jeunes gens s’inquiètent, au retour comment va être leur vie ? Les chrétiens et les juifs, acceptent l’idée de revenir à l’ancien temps, et s’en remettent à Dieu. Mais les athées sont dubitatifs et inquiets. La chance, pour ces jeunes gens, ils ont compris que s’ils sont soudés, tout ira bien.
Heureusement, Souvanna avait trouvé un trou éloigné du coin cuisine lorsqu’il avait inspecté son secteur. Cette salle devait être un lieu de vie pour la dernière tribu de ce lieu. Ce trou en fait était un creux assez profond. Il y versa son eau de toilette pour voir s’il était profond. Sa surprise l’eau stagnée quelques instants, puis s’évaporée doucement. Il était allé chercher Macha et Daniel. Après le constat, il a été décrété que c’est le point d’aisance. Un rideau a été installé grâce à Mamadou et la toile de tente de Brigitte. Daniel avait fait déplacer la partie cuisine. De ce fait, ce trou ne servait pas uniquement pour les besoins personnel, mais également pour jeter l’eau sale des toilettes matinale. C’était la seconde raison que les odeurs ne restent pas.
Enfin les deux groupes sont prêts à partir.
L’équipe de Daniel
Il a été décidé que le groupe de Daniel partirait en premier, Ils se retrouve au pied de cette fameuse fente. Les jeunes gens sont impressionnés en voyant la déchirure de la roche. Elle forme un grand Y, près du plafond il semble y avoir une niche assez importante. Chacun s’interroge. Est-ce la sortie possible ou un cul-de-sac provoqué par l’explosion ? Ils sont décidés, ils vont aller voir si c’est la sortie.
Le groupe de Hans trouvera-t-il quelque chose de mieux ? En attendant le retour de l’autre équipe ils vont grimper, et pour certains apprendre le métier d’alpiniste à l’ancienne. Dans la pensée de tous, ils espèrent que Hans trouvera un chemin meilleur. Pour savoir, il faut explorer les deux possibilités, en espérant qu’elles mènent à la sortie toutes les deux. Ils se regardent et se lancent à l’assaut de cette gouttière.
Au. Début l’escalade est facile, car monter dans une gouttière qui a des trous pour poser le pied c’est facile. Ce sport leur semble agréable. Mais avec des néophyte baptisé alpiniste d’occasion, ce n’est pas qu’une sinécure.
Katia et Souvanna font leur toute première escalade. C’est leur baptême d’alpiniste ! lorsqu’ils arrivent à mi-chemin de la gouttière ils doivent utiliser les mousquetons. Au troisième mousquetons, se détache de la roche. C’est la panique des deux jeunes gens. Ils n’ont pas de chaussures crampons, mais des chaussures de randonneurs. Cependant, c’est mieux que des baskets Ils redescendent en rappel !
Daniel décide l’encadrement des deux randonneurs.
Daniel explique pour les nouveaux
Rire nerveux des cinq jeunes gens.
Il est soulagé, il a moins peur. Il est avec le chef et il est d’une force herculéenne pour Souvanna. Daniel prend un temps pour respirer et reprend
Courageusement l’équipe repart.
Katia et Souvanna suivent les conseils de leurs responsable. La montée malgré sa pénibilité, se fait plus facilement. Ils arrivent à la pente qu’ils avaient aperçue. Ils découvrent avec soulagement, qu’elle sera plus facile qu’elle n’en avait l’air. C’est le soulagement. Ils arrivent à cette fameuse niche aperçue. C’est une autre salle ! Ils vont pouvoir prendre leur respiration quelques minutes. La joie est dans le cœur à tous, pour Katia et Souvanna c’est plus marquant, ils sont parvenus jusqu’en haut !
Mylène et Daniel inspecte ce qui leur avait semblé être une niche ? Vers le bord de droite, ils ont la surprise de voir les trois techniciens en bas entrain de de remplir leur mission. Ils sont heureux de découvrir cet opportunité. La sérénité revient dans l’équipe. Ils arpentent dans ce qu’ils avaient crus être une niche. En réalité ils découvrent une nouvelle salle. Le problème elle est coupée par une lézarde d’environ cinquante centimètres de large. Craquelure probablement dû au à cette catastrophe. Cependant, ils sont intrigués par cette découverte. Il leur faut traverser cette faille, pour voir le fond de la salle. Ils s’assoient en cercle pour déterminer leur future avancée. La question : Que peut-il bien y avoir, là-bas au fond ?
Katia rompe le silence
Le calme revient. Ils avaient cru que ce lieu était un genre de niche, en réalité c’était une salle profonde. Enfin ils repartent, la curiosité est plus grande que la crainte de la découverte. En file indienne, encordée en prévision de monter ou descendre en fonction de ce qu’ils allaient trouver. C’est aussi sécuriser les apprentis vulcanologues. Ils avancent en silence, pas un mot ils suivent scrupuleusement les consignes du chef. Malgré l’angoisse, ils espèrent toujours. La crevasse passée sans difficulté, ils font quelques mètres. Ils arrivent au pied d’un mur, jusqu’à une autre issue probable. En longeant ce mur ils trouvent enfin, ce qui leur parait-être un couloir. Il leur semble, qu’il faille monter. Ils s’engagent à la fois heureux, et craintifs. Est-ce la bonne voie ? Quelque chose les angoisse, les préoccupent ils montent doucement, il fait de plus en plus chaud. Ils avait parcouru environ une dizaine de mètres avec cette chaleur de plus en plus étouffante. Cette pente vers le haut n’est pas aussi raide , qu’ils l’avaient craint. Cependant il fait de plus en plus chaud. A croire qu’ils vont droit sur le volcan.
Enfin, un mur se dresse. La roche est brûlante. Elle gronde. Ce mur tremble comme une feuille morte, sous la brise d’u vent. La roche est si brulante, que la conclusion s’impose, ils vont droit sur le cratère, peut-être le fond du foyer.
Ce n’est plus l’escalade, au contraire la descente, elle est ouverte sur une descente. La roche est en fusion leur semblent-ils. Elle tressaille comme un poumon qui respire. Pour eux pas de doute ce chemin mène au cœur du volcan. En d’autres circonstances, Mylène et Daniel eurent été envahi de bonheur. Mais, …dans cette situation, c’est la catastrophe !
Il faut refaire le parcourt en sens inverse, avec une mauvaise nouvelle à annoncer aux autres. Leur espoir reste avec l’équipe de Hans, et aussi sur Erhard et sa radio.
En redescendant, ils entendent un bruit étouffé. Un éboulement ? un craquement ? Bof, qu’est-ce que cela peut-faire ? Il n’y a pas de sorti pas ce chemin. Sur le chemin du retour, le danger s’éloigne. Enfin, ils arrivent dans leur salle. Ils rejoignent le trio resté sur place, et ils attendent l’autre équipe. C’est le bonheur des retrouvailles.
Le trio les accueille soulager, ils craignaient tellement pour leur vie. Maintenant il leur faut attendre la seconde équipe.
Daniel et son équipe sont harassés. Ils espèrent de bonne nouvelle avec Hans et son équipe.
Mamadou joue de son tam-tam, de plus en plus fort, et s’arrête. C’est alors que l’harmonica de Katia lui répond, et un sifflet pour confirmer qu’ils sont toujours là, et sur le retour. C’est à nouveau un instant de bonheur. Leurs signaux fonctionnent.