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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonjour mes amis voici mes mots du mur

Le devoir
 
Le devoir n’est pas un sentiment
Pourtant il vient de ce sentiment
Du devoir rempli même fragile,
Celui d’une conscience tranquille.
 
Le devoir c’est le savoir,
De devoir prévoir un avoir,
Pour ne pas se faire avoir,
Par la famille de notre avoir.
 
L’écolier doit faire ses devoirs,
Le respect à ses parents est un devoir,
Comme il est de son devoir de revoir,
La question sur ce qu’est le devoir.
 
De même les parents ont des devoirs
Chaque instant est L’exemple du devoir.
L’amour de ses enfants n’est pas un devoir,
Il est l’éducation pour faire leur devoir.

 
Enfin le droit de concevoir ce qu’est le devoir,
C’est d’Être convaincu du vote est un devoir,
Réfléchir au bien de tous est aussi notre devoir,
La générosité est une grâce de notre devoir.
 
Servir son pays et revêt l’une des formes du devoir.
La guerre c’est l’échec de ceux qui ne font pas leur devoir,
La responsabilité en toute chose est notre devoir
En amour, il est l’accomplissement d’un bon devoir.
 
Il y a une autre ligne qui se dit du devoir
C’est le torchon dit journal peu connue du Devoir,
Il est bon de se faire avec courage un devoir
De dénoncer cette fausse libre pensée du Devoir.
 
Seulement ce qui est à revoir c’est un devoir,
Pour ne plus devoir avoir un avoir sur le devoir,
Il est bon de répondre sans en avoir l’air du devoir,
Il va falloir être en état de faire ce sacré devoir.
 
5 juillet 2015
Le soupir de la prière
 
 
Au gré des vents
Au gré des nuits
Au gré des saisons
Au gré de la journée
Tant de pauvres gens Soupir en priant pour …

Le soupir du souhait non exaucé
Le soupir de l’enfant loin de sa mère
Le soupir de ce que nous aurions voulu
Le soupir du malade attendant l’espérance
Leurs prières recherchent le bonheur.

Peut-être désirent-ils seulement la paix.
Le soupir une espérance vers l’avenir
La prière même inconsciente apaise nos soupirs
Sur les situations que l’on doit accepter,
Puisque rien ne peut changer la douleur.

Le coeur n'accepte pas forcément une chose simple.
La rancœur d'un pardon non accordé.
Celui que nous aurions dû accordé
Il empoisonne notre conscience
Pourtant, il est si facile à donner sans l'orgueil.

Il y a tant de peine pour une injustice qui s’est faite.
Il y a tant de chagrin pour la perte d’un être aimé.
Il y a tant de sanction pour une erreur incomprise.
Il y a tant de labeur pour  le bien-être du foyer.
Le soupir pour tout cela se fait prière.

Cependant la prière d’amour accorde la paix.
Quelle soit consciente ou non,
Que nous soyons croyant ou non,
Tous nous soupirons, ah si….
Les soupirs se font un chemin vers la lumière.
 
 
Les mots papillonnent
 
 
La sensibilité du poète est intérieure.
Il cherche l’inspiration
Ne la voyant pas venir
Il ouvre son livre préféré.
Les mots papillonnent.

Soudain, ils surgissent, chantent.
Rien à voir avec le texte,
De cette œuvre si sérieuse
Seulement elle est inspirante.
Elle lui évoque le temps révolu.

Celui de l'insouciance de son enfance.
L’enfant courant à travers la prairie,
Cueillant, humant les fleurs sauvages.
Pâquerette minuscule indomptée
La libellule allant de fleurs en fleurs
D'un arbre à l’arbre où l'enfant s'assoit.

A la fraîcheur d’un matin d’été
L’abeille bourdonnante sollicite,
Les boutons entrouverts pour un baisé matinal,
Coure de l’un à l’autre fébrile toujours pressée.
Le poète se remet à rêver devant sa feuille blanche.
 
Soudain,  son crayon coure sur la page
Il ne s'arrête même pas pour respirer
Les mots se posent, se déposent, s'entreposent.
Les mots papillonnent devant le regard,
Au poète l’inspiration lui est revenue.
 

 
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