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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

L'espace et le temps (suite 18)

 

Pourquoi nous ?

 

Quand nous sortirons.

Sous le soleil, nous brûlerons.

Nous reverrons le soleil.

Les arbres, l’herbe, les fleurs.

Le vent caressant les cheveux.

Le héron, ce pêcheur au long bec.

Le chant des oiseaux, nous accueillerons.

Nos familles exploseront de joie.

La question restera ; pourquoi nous ?

 

Il y eut un jour.

Il y eut l’ombre.

Le tracas fut l’ombre.

Le séisme fut la tour.

Le mont de l’Etna éclata.

La douleur du monde fut.

 

Tendresse mutée.

Trouve l’unité.

Elle s’y abrite.

Il y eut la cité.

Cet « habilité »

Devient l’antre harmonieux.

 

Ce furent des félins rôdeurs.

Ces êtres faibles et fiers.

La basse-cour sans regards.

Les lycaons amis de ces êtres.

Estivants prisonniers s’interrogent.

Pourquoi nous ?

Ce fut l’amitié sincère.

Il y eut la pitié, le partage.

Parfois l’effroi, et l’entraide.

Souvent la joie dans le malheur.

La victoire grâce à l’espérance.

La question lancinante pourquoi nous ?

 

 

Le temps du pouvoir

 

Il est venu un temps du passé

Remet face à face nos dilemmes

Ce pouvoir fut un temps dépassé.

 

Il s’acquiert par une suite de vie

Ce temps si éphémère il montre

Qu’un léger semblant d’envie

De jalousie et rancune obscène.

 

Ce pouvoir tous le cherche

Et tous l’ont à des degré différend.

 

 

 

9

La table du gourmet

 

Elle n’a pourtant que peu de mets

Cette table finement décorée

D’une poularde fumée

Et d’un entremet dorer

 

 

Ce soupir de la prière

 

Au gré des vents

Au gré des nuits

Tant de pauvres gens

Soupir en priant.

 

Le soupir du souhait non exaucé

Le soupir de l’enfant loin de sa mère

 

Le salut attendu

Celui qui soulage

Tant de souffrances

Le soupir en priant

 

Le soupir du souhait non exaucé

Le soupir de l’enfant loin de sa mère

 

Pourquoi ce soupir,

Tendresse non reconnue

Violence toujours actuelle

La faim grandit dans ce monde

 

Le soupir du souhait non exaucé

Le soupir de l’enfant loin de sa mère

 

Rien ne change croit-on

Et pourtant sans prendre garde

Le futur avance chaque jour

Inexorablement il marche sans s’arrêter.

 

Le soupir du souhait non exaucé

Le soupir de l’enfant loin de sa mère

 

L’espoir reste toujours

Sans cette espérance

Pourquoi doit-on vivre

L’espoir reste sans savoir pourquoi.

 

Le soupir du souhait non exaucé

Le soupir de l’enfant loin de sa mère

 

 

Qui êtes-vous Madame la Lune

 

Madame la lune qui êtes-vous ?

Un astre merveilleux à rendez-vous

Avec le soleil si elle n’est pas infirme.

Seulement, rien ne nous l’en confirme.

 

Madame la lune qui êtes-vous ?

Une dame sans âge mon esprit renoue

Mon passé et mon histoire s’affirme,

Evidemment je ne suis pas une firme.

 

Madame la lune qui êtes-vous ?

L’astre bien-aimé des poètes

Ils rêvent le pinceau en l’air

En vérifiant les interlinéaires.

 

Madame la lune qui êtes-vous ?

Les jours d’équinoxes je renoue

Le passé de mes amours se réveille,

J’ai rendez-vous avec le soleil.

 

Madame la lune qui êtes-vous ?

Pourquoi faites-vous la moue ?

Les rois mages ne sont pas encore là,

Et les bouddhistes admirent votre mandala.

 

La joie dans le cœur

 

Aujourd’hui, je chante,

Chante au soleil, je chante

La joie dans mon cœur

Je chante, la vie en rose

 

Les oiseaux gazouillent

Les fleurs du balcon sourient

Le soleil en fête rayonne

La joie, est dans le cœur

 

Je chante, la joie de l’univers

Je chante, pour les étoiles

Je chante, ce bleu royal flamboyant

Je chante, l’étoile filante du bonheur

 

Aujourd’hui, je chante

La lune s’incline, sourie

Son univers est jour de fête

Jour de chance, et de paillette

 

 

Le courage obtient justice

 

Gaspard le renard, le grand farceur

Se persuade qu’il est le meilleur

Assurément il sera un bon chasseur

La ruse est l’atout de son labeur

 

Charles le loup la force et le courage

Du haut de sa chaire sous l’éclairage

Goguenard écoute les commérages

Il sait faire taire les menteurs du pâturage.

 

Souvenirs, preuves et photos truqués

Cèdent la place à d’immondes perroquets

L’amer certitude d’une affaire reluquée,

C’est l’incertitude d’un projet arnaqué.

 

La vérité se découvre tardivement

Louis le Grand-duc juge activement

Les deux compères dubitativement

Par un jugement dit préventivement.

 

À travers les querelles des belligérants

Les menteurs s’affrontent en conquérant

Ce théâtre aux comédiens plus exubérant

Applaudit le plus malin des incohérents.

Les menteurs avaient convoité un trône

Ils n’avaient pas reçu les bons neurones

Ils logèrent au voisinage de l’aérodrome

Au grand damne de ces beaux cicérones.

 

 

 

 

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