2
Le lendemain
Le lendemain, l’enthousiasme les réveille frénétique et près de bonne heure. Ils s’organisent frénétiquement heureux et cependant un pincement pour leur avenir. Ce déménagement est plus facile que précédemment, car ils n’étaient pas installés comme la première rencontre. L’inquiétude les gagne, pourtant l’espoir de revoir les leurs, les motive. Ils sont assis et font leur prière journalière. Daniel leur fait le topo sur la maladie de leurs hôtes et sur leur guérison apparente. Quelques questions se posent à eux. Mylène commence.
Daniel se lève, frotte machinalement les jambes de son pantalon et s’adresse à ses amis.
S’étonnent les amis. Notre ami Erhard a inventé le moulin à eau et Mamadou a dessiné son installation. Mylène interroge.
Daniel lui répond
Luciano s’interroge et demande
Erhard explique :
Explique celui qui est interpellé
Demande Mylène en regardant Daniel.
Réplique Hans.
L’installation de fortune de Mamadou est une réussite. Cette rivière tumultueuse est maitrisée. Il n’y a plus ce bruit assourdissant qui animait la grotte de sa musique naturelle. À cause de se calme soudain, tous accourent pour rejoindre Daniel. Ils sont impressionnés et inquiet en n’entendant plus ce bruit qui bercé tout le monde.
C’est l’heure de gloire pour Mamadou et Erhard. L’eau est devenue claire et douce. Le sel est récupéré pour la cuisine. Mauricio et Erhard apporte leur aide à Mamadou. Devant le certitude qu’ils vont sortir de ce sacré volcan, n’hésite plus à déchirer quelques draps de camping et quelques tentes pour filtrer l’eau. Ils installent deux barrage de toiles pour filtrer l’eau et la rendre douce et pure. Soudain des cris de joies. La roue fonctionne, la lumière aussi. La joie envahi tous les acteurs voyants et non-voyants. La joie est dans le cœurs de tous. Et la tribu s’étonne de tout ce brouha !!!...ils découvrent l’électricité, par deux réchauds qui se sont allumés dans le premier servira pour la cuisine, le second pour la stérilisation pour les soins médicaux.
Alex, Sarah et Pietro s’étonnent de tout ce remue-ménage. Ils observent à la fois étonnés, inquiets et admiratifs. Lorsque la roue se met en marche, elle enlève avec ses gamelles beaucoup d’immondices. Elles arrachent des plantes avec les racines à demi décomposées, de petits animaux morts.
Alex dit à Pietro
La tribu accompagne Mamadou, Erhard Mauricio, et Robert à leur jardin, et ils leur montrent où sont les détritus pour compost. Pendant que la tribu accompagne les jeunes gens, Alex explique :
Enfin la première explication pour tous les légumes qui sont cultivés dans cette immense salle, légèrement humide. Les habitants de la grotte sont impressionnés par le travail que font les jeunes gens du nouveau monde. Grâce à eux, ils boivent de la bonne eau, et se lavent normalement. Ils observent toutes les actions, les opérations, surpris et admirent les jeunes gens. Ils apprennent toutes ces nouvelles choses en aidant les jeunes gens, et ils sont heureux.
Des pierres creuses sont apportées aux jeunes gens, pour transporter les légumes à Souvanna et Catarina. Des sacs que les anciens siciliens ont tressés pour tous transports d’articles divers. A ce moment ils transportent du sable nécessaire à Erhard pour la filtration et l’épuration de l’eau. Tous travaillent ensemble et font la chaîne. Ils vacillent par le poids, mais vaillamment chacun s’acquitte de cette chaine d’entr’aide. Ce qu’Alex et ses compagnons ont compris ; ces jeunes gens font tout pour leur sauver la vie et les emmener avec eux. Mamadou a lui-même des difficultés. Chacun emploie toute leur énergie pour survivre. Ils ne désespèrent pas. Pourtant, ils doivent tout faire à la main, comme à l’époque des pharaons, pour l’installation des chambres et de tout l’appartement. Le temps est long, mais ils ne se découragent pas. Combien de temps cela dure-t-il ? Ils n’en ont pas conscience. Ils ne regardent plus leurs montre calendrier, ils ont perdu la notion du temps.
Le temps du constat est arrivé, c’est l’heure de vérité. Côte à côte un verre à la main, les jeunes et la tribu déguste le premier verre d’eau naturel propre. La joie éclate, aucun d’entre eux n’avait bu une eau aussi bonne fraîche et dessalée. Les jeunes gens restent émerveillés de leur réussite. Ils apprécient cette nouvelle rivière qu’ils ont créés. L’eau glisse à leur pieds, sur le roc, deux mètres cinquante au-dessus de la plage. Ils ont réalisé une canalisations presque au mur du volcan. L’eau de ce ruisseau, chute pour rejoindre la plage et de de cette manière rejoindre la mer à l’extérieure. L’eau de la plage s’éclaircie, la vie marines apparait progressivement. Des poissons frétillent heureux, ils sont délivrés eux aussi de la boue, de la vase.
Les jeunes gens prennent enfin un vrai repas. Quel bonheur ! Il est pris les yeux fermés par le bonheur. Ils n’ont même pas vu, ni réalisé ce qu’ils ont absorbé. Ils sont si heureux, que du repas ils n’en reconnaissent pas l’odeur, ni le goût ! ils sont si fatigués. Seuls les lycaons ont non seulement apprécié les morceaux de poulet crus que Catarina leur a lancé. Ils ont compris qu’en étant amis avec les nouveaux venus, ils pourront sortir à nouveau, il suffisait d’attendre. Sarah apprend à Catarina à comprendre ces chiens sauvage.
Finalement, tout le monde retourne dans leur chambre respectives, font leur prière journalière et se couchent. Les lycaons deviennent les gardes du corps de tous les humains de la grotte. Ils ont un sommeil si profond, qu’ils ne se sont pas rendu compte d’un soubresaut du cratère a alerté la tribu, et les lycaons