XXVI
L’orchestre des survivants
Pendant qu’Alex et ses compagnons cherche la fameuse sortie, chacun vaque à leur occupations, qu’ils se sont attribués. Le temps passe, passe, passe. Enfin ils attendent sur la plage. Souvanna frappe sur le tam-tam de Mamadou, cela le rassure. C’est un bruit de fond doux et apaisant. Katia est transportée par ces sons doux, elle sort son harmonica et se met à jouer en fermant les yeux un air que personne ne connait.
- Katia, que joues-tu ?
- Oh ! quelques notes, pour nous remonter le moral, lorsqu’il nous lâche. Je laisse mon inspiration guider mon souffle.
Robert se mit à écrire au son de Katia
Un jour, la lumière fera des ronds,
Nous irons,
Sous le soleil, nous brûlerons.
Nous reverrons,
Les arbres et nous, nous chanterons.
Un jour la lune verra le soleil,
Le réveil.
Nous rêverons, aux merveilles,
Du sommeil,
Au bourdonnement, de l’abeille.
Un jour, on a trouvé l’amitié,
Sans pitié.
Il y a eu, de grands effrois,
Aussi la foi,
L’unité et l’espoir d’autrefois.
Rosario arrive avec sa mandoline. Il veut participer avec Souvanna, Katia, et Robert. Tous trois l’accueil avec joie. Tous les quatre reprennent ce chant nouveau, en guise de refrain, ils accordent les trois refrain, en suivant Katia. Car c’est elle qui a composé la planche musicale, et Robert a placé les mots sur les notes de Katia. Rosario avec sa mandoline accompagne la voix cristalline de Katia.
L’orchestre des survivants vient de naître. Souvanna cherche une de ses marmites et la transforme en tambour, et deux cuillères en bois font l’affaire. Cela est possible, car les deux peuples vivent unis.
Le temps passe sans qu’aucun des spectateurs ne s’inquiètent des prospecteurs. Ils sont envoutés par ces jeunes gens.
Enfin, Alex fatigué, et ses compagnons arrivent dans leur salle commune, la joie éclate. Ils sont enfin de retour.
Deux voies masculine s’esclaffe :
- Que c’est beau !
- Vous ne vous êtes pas ennuyés pendant notre mission.
- Alors ?
Interroge tous en cœur en se levant. L’assemblée est à la fois inquiète et pleine d’espérance à la fois. Daniel et Alex annoncent :
- Nous partons après- demain. Ce soir c’est détente, demain la préparation du départ.
Daniel annonce
- Demain nous allons, mobiliser les bras solides, pour nettoyer la route. Macha, Mauricio, Hans, Robert, vont nettoyer le passage pour que la route ne soit pas glissante. Tout le monde doit préparer ses bagages, car ce départ est définitif. Après-demain il nous faudra suivre Alex.
- Quand tu dis tout le monde, cela veut dire tous nos amis et les animaux ?
- Oui c’est le vrai déménagement, c’est pourquoi, tous prendront part selon leur possibilité à la préparation, même leur chevaux, ânes, et les lycaons, vont nous aidez. Hans est leur chef de meute, c’est à cela qu’il va les préparer.
C’est l’effervescence la joie, emporte sur la prudence. Pas de doute, tout sera prêt avant l’heure. Ils pourront se reposer avant le départ. Pour eux c’est sans aucun doute.
Seulement, il leur fat parlementer avec la tribu. Soutenir Alex. Car la peur de l’inconnu, il faut parlementer pour leur réserves alimentaires, expliquer comment ramener leurs animaux. Seul Alex, Sidonie, Isabella, Francesca, Giuseppe et Bruno sont enthousiaste. Rachel, Sarah, Pietro, Lorenzo sont inquiet pour leur devenir, pourtant ils se laissent convaincre.
Pour Daniel, tout peut être emporter, il suffit d’être organiser et bien expliquer, pour permettre le départ sans problème, avec la sortie pour