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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

L'espace et le temps (suite 20)

 

 

Sans la culpabilité.

 

Il arrive parfois ne pas me sentir bien.

Pourtant, rien ne semble nous arrêter.

Aucune fatigue, des remords, combien.

Personne n’est coupable, pas d’anxiété.

 

Je referai assurément ce qui me plaît.

Sans loi, personne ne mettra un terme,

La fatigue, l’épuisement, sans chevalet

Le peintre est démuni, part à Palerme.

 

Il est évident sans cette culpabilité,

Pourquoi, ce sentiment non défini ?

Les questions, l’amour, l’ambiguïté,

Les sens variés de la vie, quitte le nid.

 

Chacun pense à sa perfection,

Pourtant, quelque chose perturbe,

La superbe, la jouissance, l’action

Ce sentiment bizarre, sans un tube.

 

De quelle culpabilité s’agit-il ?

Sans cette curieuse sensation,

A définir, à l’esprit, si agile

Ce malaise indéfini, avec variation.

Cette impression de culpabilité insaisissable.

Serait-ce, son esprit intraitable dans ce mépris,

 L’inconnu, le maquillage, envers le semblable

Cette indisponibilité pour autrui, serait incompris ?

 

Cette absence d’écoute des autres ?

Selon, toute vraisemblance caractérielle.

Sans cruauté, sans témoignage, pour les nôtres

C’est l’indécence de l’actualité, catégorielle.

 

Sans la culpabilité, on ne s’interrogerait pas,

Du sort, de la faim dans le monde tertiaire,

la voisine, l’amie, violée, sans même un repas,

Du couple âgé sans défense, qu’on veut taire.

 

Ce sentiment de culpabilité le pourchasse.

Son ami, si fidèle est mort à cause de lui.

 Bien sûr, un chat, un animal, on a plus l’audace !

Un malaise le poursuit, il n’a plus son parapluie.

 

Sans la mort de son ami, on n’aurait pas connu,

Cet amour, si simple et si vivace dans le cœur,

Larmes, cris, solitude, tout lui est inconnu.

Il s’interroge sur lui-même, découvre son horreur.

 

 

L’Esperance, fleur du cœur

 

Ce jour d’espérance,

Est le fer de lance,

D’action sans ambivalence.

Donnant l’ambiance,

Sans suffisance.

Contre la désespérance.

 

L’espoir du cœur.

La fleur aux lèvres

J’avance sur ce sentier.

De gravier et d’herbe.

Glands et champignons.

Parsème le sol humidifié.

 

Ce musc du sous-bois monte.

Chatouille mes narines,

Les yeux à l’orée du bois,

Se posent sur ces petites fleurs,

Toutes simples, souriantes,

Elles espèrent la vie en moi.

 

Une caresse amicale sur les pétales,

Respectant sa tendresse, son espoir,

Je savoure le bonheur d’être son amie,

Elle ne demande qu’à vivre,

Devant tant de candeur,

J’exauce son espérance.

 

 

Vivre, je veux vivre

 

Vivre, je veux vivre

 La vie en liberté

Vivre, oui je veux vivre

 

Vivre intensément chaque instant

Le cœur en joie du printemps

 En été

À l’automne

En hiver

Chaque jour de l’année

Mon retour à la vie

Sans maladie

Sans dispute

Sans larmes

 

Vivre, je veux vivre

 La vie en liberté

vivre, oui je veux vivre

 

Retrouver

Cheveux aux vents

La joie de vivre

Le dynamisme du partage

De la musique

Des mots

De l’amour de la nature

Des autres

Sans à priori

Sans arrière-pensée.

 

 

Mon océan à moi

 

Mon océan à moi

Il est sans frontière

Sans tabou,

Tout au moins je le crois.

 

Mon océan ce n’est pas,

Seulement un flux et reflux

De l’eau salée

C’est aussi la puissance

 

Il est mythologique

Celui de Poséidon

Avec ses colères

Également sa protection

 

Mon Océan à moi

Ce sont les profondeurs

De la pensée,

L’amour emporté par le vent

 

 

La paix, oui la paix

 

Le ciel de mes jeunes années

Rêvait d’amour, de paix

La  mélodie du parfait bonheur

 

Celui où la paix règne

En reine de l’univers

A chaque instant

 

Sur les rives de mon ruisseau

Aux eaux joyeuses et limpides

Je rêve d’un monde à édifier

 

Celui où la paix règne

En reine de l’univers

A chaque instant

 

Dans ce près de coquelicots

De colchiques et de pâquerette

Une abeille vrombit à mes oreilles

 

Celui où la paix règne

En reine de l’univers

A chaque instant

 

Loin du monde des affolés

Près de mon arbre centenaire

Je chante mon rêve de paix.

 

Celui où la paix règne

En reine de l’univers

A chaque instant

 

La paix dans mes pensées

La paix dans les familles

La paix dans le voisinage

 

Celui où la paix règne

En reine de l’univers

A chaque instant

 

Le respect entre les religions

L’acceptation de nos différences

Pour vivre ensemble dans la paix

 

La paix, oui la paix

Le règne de l’univers

Utopie de l’homme

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