XVIII
Le grand jour est arrivé, c'est le départ
La Journée précédente avait été si éreintante, qu’ils ont dû mettre un réveil à chaque tête de lit à six heures. Au réveil, c’est le tintamarre assourdissant, chaque réveil ayant un son différent. Tous se sont levé d’un bond, dans ce concert que personne n’avait réalisé, à quel niveau cela aller être.
Claironne Macha à peine réveillée. Eclat de rire de tout le monde ! Ils étaient tous debout ! Seulement, s’étant réveillé en sursaut ils baillent. Souvanna se dépêche pour préparer le café. Ce fut une toilette rapide, car il faut économiser l’eau. Le repas léger, toujours en prévision d’économie.
Enfin ils s’habillent pour le départ, chacun s’affaire autour des bagages. Tous les sacs à dos sont remplis. Deux heures plus tard ils sont prêts.
La veille ils avaient tous passé la fin de la journée à désinstaller leur campement. Ils ont démonté, pliés, rangés. Macha a retrouvé ses gestes et commandement de l’armée. Elle organise, ordonne, partage les denrées. Personne ne dit mot. Chacun met ses chaussures à crampons, de randonneurs, ou volcanologues, ou alpiniste.
Elle vérifie également la fameuse ceinture SOS inventé et réglé d’Erhard. Quelques-uns prennent leur I Phone, qui ont été chargé, grâce Erhard, qui a su transférer en découvrant un énergie, venu de la lave refroidie, mais encore tiède... Certains ont été sacrifié, pour avoir trois radio-secours puissant. Elles sont en prévision des séparations des groupes. Chacun vérifie s’ils ont tout ce qui leur faut et leur état.
Ils sont rassurés. Ils contrôlent leur SOS, les ayant faits en même temps, le vacarme a déclenché la chute de quelques pierres. Des éboulis roulèrent jusqu’à leurs pieds. Malgré ce roulement de gros cailloux, ils sont soulagés. Le tremblement de terre n’avait rien brisé, ni changé, ni déréglé leurs outil de survie.
Ils prennent leurs cordages, leur pics et leurs cordages, les crochets, les mousquetons, la perceuse à batterie. Ils sont fins prêt, d’après leurs regards, sérieux et volontaire. L’espoir, ils en ont pleins le cœur ! cet élan les lance vivement et gaiement ils annoncent :
Leur assure Daniel. Hans muni de sa sonde improvisé par Erhard, prend la tête du groupe. Daniel lui se place au centre dans le cas ou le groupe serait soit obligé de se séparer une nouvelle fois ou s’il y a un problème ou un accident Ingrid et Brigitte ferme la marche. Macha Intervient.
Intervint Mylène tous répliquèrent
Répond Daniel et il informe
S’esclaffe Marie.
Répond l’assemblée admirative. Assis en rond autour de la mini radio. Mauricio règle. Luciano et Catarina sont enlacés ? Il a capté la RAI, Luciano traduit les informations.
Les journalistes Lorenzo et Martinât annoncent
Daniel éteint cette mini radio, et la range dans son sac à dos. Ils sont tous pensifs. Un silence s’installe quelques instant. Brigitte prend l’initiative, se lève et prend son mini-portable, et son doigt est sur la touche musique. Soudain une musique douce de Mozart diffuse ses notes dans la douceur. Beaucoup préfèrent la musique moderne pour se défouler. Cependant ces notes douces du concerto réconfortent les jeunes gens. En les rejoignant, Brigitte leur propose :
Intervient Erhard le fougueux
Suggère Katia
Répond soucieuse Brigitte. Hans ajoute
Répond simplement Brigitte en plaçant son miniportable à sa ceinture. Il a la taille d’une tablette pliante.
C’est enfin le départ, ils avancent vers le fond de la salle de cette grotte. Là où cet animal est passé. Vu sa taille, le passage est suffisant se remémore les jeunes gens. Hans rassure l’équipe de Daniel. La taille du passage est suffisante pour tout le monde. Les deux équipe se mettent d’accord pour former deux équipes différentes du précédent voyage d’excursion. à suivre...