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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

La révolte dans la basse-cour

La révolte dans la Basse-cour
 
Un jour d'été ensoleillé, dans un petit village de la Champagne, habituellement si calme, l'orage semblait y être passé. Il y régnait la révolte dans la basse-cour. Ce n'était pas parce que le soleil était trop haut, ou qu'il manquait de quelques chose. Les habitants y sont bien traités.
Seulement les propriétaire ont accueilli un paon magnifique. Il est devenu la coqueluche du poulailler. Le roi coq ne régnait plus sur ses femmes.
Le jard eût la même mésaventure, quand au dindon, il fut le plus mal loti.
Si bien, que les plus belles épouses sont subjuguées. Pire la plus jeune et belle poulette, parmi ses douze épouses est si admirative, que le magnifique roi dindon en est ulcéré. Cette péronnelle tournoie autour du nouveau venu. Lui susurrant des mots tendre, accompagné d'un regard langoureux. Arthur, comme l'appelle la fermière, est bouffi d'orgueil, méprise et dédaigne ses femelles, lorsqu'il n'est pas en manque.
Cette petite dinde se prenait pour la princesse de la bassecour, elle péjore en se dandinant. Elle palabre autour du paon. Son mari ne convenait pas à sa petite personne si précieuse. Son mari en fut le dindon!
Une voiture pétaradante perd un joint de culasse et reste immobile, en entrant dans une flaque d'eau boueuse près de la miss. Elle en fut éclaboussée. Ce fut l'horreur pour cette dinde! Ce cris injurieux firent rire la basse-cour. Un col-vert passe à ce moment au-dessus d'eux riant aux éclats lui dit:
  • La voiture à péter une culasse, les belles de jours ont leurs pistils entachée de boue à cause de la voiture. Mais au moins aux fête de fin d'années des humains, elles ne sont pas, sur la table des hommes, le ventre fourré de marrons, entourées d'une guirlande de boudins blancs aux truffes parfumées au cognac, pour la saveur prétendent-ils. Auparavant ils se sont gavés de petits fours au caviar, c'est à dire aux œufs d'esturgeons, ou de foie gras de canard ou d'oie. De poisson en sauce. Ils complètent leurs orgie gargantuesques en finissant par des desserts super décorés. Celui dont je me souviens, c'est un traineau en caramel dur décoré d'amande décortiquées, transportant une bûche de mousse aux fruits exotiques. Il était tiré par des rennes en chocolat blanc et noir.
La petite en larme interroge.
  • Comment tu sais tout çà?
  • Parce que, j'avais une amie épagneul qui me racontait ce qui se passait dans la maison de son maître.
  • Mais tu étais où?
  • Chaque jour je venais voir mon amie dans la marre, jusqu'au jour où je ne l'ai plus vue! Ils l'ont mangée! Si elle m'avait suivi elle serait peut-être toujours en vie et je ne passerai pas voir mon copain Filou l'épagneul, pour qu'il me raconte les plaisirs et déception de ses maîtres. Lui au moins ne risque pas de finir à la casserole.
  • Pourquoi font-ils cela?
  • Parce qu'ils font la fête ensemble. Pour eux, c'est un jour important. C'est pour cette raison qu'ils mangent, ils boivent, ils dansent et chantent, beaucoup plus que d'habitude, des mets exclusivement pour ce jour, également les alcools. Ce jours-là, il fait froid, il neige, il gèle dans ton pays.
Il s'arrête devant l'étonnement de la dindonette
  • C'est pourquoi souvent ils nous  écrasent, ils ne sont pas dans leur état normal. Souvent leur vision est double.
 Ajoute Léon, le paon.
  • Comment est-ce possible?
  • Parce que non seulement, ils vous mangent, mais ils boivent des jus de fruits , qu'ils font distiller en grande quantité, pour être joyeux. Certains d'entre-eux appellent cela faire ripaille.
  • Quelle horreur!
  • Comme tu dis, Non seulement, ils nous tuent sur la route, mais également leurs enfants, les copains, des inconnus et parfois eux-mêmes. De plus il leurs arrivent de se blesser, voir assassiner nos amis les arbres bordant les routes.
  • tu peux nous dire pourquoi ils font cette fête?
  • A Noël pour fêter la naissance du Christ. Il est la lumière spirituelle du monde. Mais , les humains pour la plupart se sont des fêtards non croyants, alors ils ont besoins de s lumières artificielles. Le premier janvier pour eux, c'est le premier jour de l'année. Alors ils fêtent la nouvelle année.
  • C'est pourquoi ils nous mangent et boivent beaucoup?
Le col vert reprend
  • Ils ne font pas que boire et manger, ils décorent et illuminent leurs maisons de guirlandes scintillantes. Les humains coupent les sapins dans les bois. Ils les décorent, les illuminent pours leur fêtes fête de Noël et le nouvel an. De plus, ils cueillent le gui, pour le nouvel an. En s'embrassant dessous à minuit, lord du passage de la nouvelle année, ils croient que cela leur portera bonheur!
 Léon le paon ajoute.
  • Quand les fête sont passées, le sapin sert de bûche dans la cheminée. Les flammes crépitent joyeusement. Le malheureux sapin pleure. Tous le reste de la fête va dans leurs boites qu'ils appellent poubelles!
 Les criaillements, les nasillement, les caquètements, les cacardements, les glougloutonnements, les piaulement, les cacabent, les couinement fusent dans la basse-cour. Un ange apparut et leur dit:
  • Pourquoi tant de courroux?
  • Ne dis-je point la vérité à cette péronnelle?
  • Si, Fait! Cependant, ils se font des ampoules en avant des huître qu'ils avalent cru!
  • Beurk! Quelle horreur!
 S'écrit-elle en faisant le grimace. La clameur s'amplifie, c'est une véritable symphonie discordante. La fermière sort, faisant tournoyer son balai en les injuriant.
  • Voulez-vous bien vous taire espèce de chenapans à plumes!
 C'est alors, que la basse-cour se révolta. Tous s'enfuyèrent dans les bois. Ils étaient guidés par leur ange.
Ils apprirent à vivre en liberté, loin de la ferme. Leurs plumes coupées repoussèrent, et ils purent s'envoler hors de porter des humains. La fermière ne les revit jamais.
 Pourtant, aux jours venus, elle fit ripaille comme il est convenu dans la tradition, avec d'autres animaux accompagnés du champagne de sa récolte.
 
Alumacom
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