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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

L'espace et le temps (suite)

QU’EST-CE LE DEVOIR ?

 

Le devoir n’est pas un sentiment

Pourtant il vient d’un sentiment

D’être fait pour un devoir

Celui d’une conscience tranquille.

 

Le devoir c’est le devoir,

De prévoir un avoir,

Pour ne pas être l’avoir,

De sa famille à revoir.

 

L’écolier doit faire ses devoirs,

Il a le devoir de respecter ses parents,

Comme il est de son devoir de revoir,

La question qu’est-ce le devoir.

 

De même les parents ont des devoirs

Leur exemple est un devoir de chaque instant

Aimer ses enfants et le reste de la famille,

C’est le devoir fondamental de l’éducation.

 

Enfin le devoir celui que tous concevoir,

Être l’adepte du devoir électorale,

Notre devoir, réfléchir au bien de tous,

Le devoir s’appelle aussi générosité.

 

Servir son pays revêtit de nombreuses formes,

La guerre c’est l’échec des parlementaires,

C’est être responsable en toute chose.

Le devoir c’est aimer de ce fait être solidaire. 

 

Lorsque notre pays est agressé

Notre devoir c’est d’être :

Non seulement UNI avec notre pays

Mais également réfléchir et actif.

 

 RECEVOIR LA CLEMENCE

 

Se souvenir de bons moments.

Oublier les mauvais garnements.

Nos dilettantes amateurismes.

On se croyait de grands altruismes.

 

Méditer sur certains de nos actes.

Sans chercher à se voiler la face.

Ne pas occulter, la page préface.

En se fixant en coquin un pacte.

 

Pour se donner bonne conscience.

Nous échafaudions des satyres.

Sur un pauvre un gamin martyr.

Puisque, il est de parfaites différences.

 

L’inoubliable partage dut regretter,

Passé simplement sous le silence,

Pour ne pas voir notre insolence,

Cacher, les intrigues à le maltraiter.

 

Qu’elle soit digne d’un amour éternel.

Ou d’un bonheur craintif immatériel.

Notre mémoire influence le souvenir.

Entretien confirme, notre devenir.

 

Quelquefois, elle revient à la charge.

Apporter l’eau pour le partage.

Se chargeant de nos sentiments.

Souvent fébrile à chaque moment.

 

Ce souvenir de notre enfance,

Nos frasques de l’adolescence,

Nos aventures sentimentales,

Ramènent à cet âge fatal.

 

Oublier la plupart de nos souvenirs.

Ne changera en rien notre avenir.

Se souvenir de nos bons gestes,

Oblige à demeurer bon, modeste.

 

La culpabilité permet la défense,

De ne plus être ce qui fut l’offense.

Notre pardon empêche la démence.

Ainsi, l’esprit reçoit enfin la clémence.

  

 JE ME CROYAIS….

 

Ce matin-là, à l’aube,

Le ciel est sombre

Le parapluie à l’épaule

La petite valise roule.

De mon pas cadencé,

Rapide presque paniquée

J’arrive à l’arrêt du bus

C’est le dernier bus nocturne !

Bien sûr trop en avance

Enfin ! Il arrive,

Moi qui me croyais en retard !

 

A la gare d’Austerlitz soulagement

Mon train m’attend

Disons que je suis en avance

Je me croyais  en retard

Je trouve ma place, Ouf je m’assois

Déception ma place côté vitre

Ce n’est pas sur le paysage

Mais sur le couloir, à la place senior !

 

Je sors mon bloc note de mon sac

Seule dans la cabine

Je croyais avoir l’inspiration !

Page blanche, tête vide

Je me suis endormie

Premier arrêt la cabine se remplie

Plus de sommeil, pas plus de pensées

Pas même pour mon oncle qui nous a quittés

Tout est vide, triste, sans larme.

Enfin une prière monte dans ma tête

Je descends mon cousin m’accueille

Je croyais écrire seule cette page vierge

Je dû refouler mon désarroi

30 juillet 2011

 

L’AMOUR EST UN JOYAUX

L’amour est un joyau

Il nous extirpe le noyau

De la cerise juteuse sur le paillot

 

De ma fenêtre mon arbre est là

Imperturbable tel un prélat

Il me fait face c’est son apostolat

 

Il m’évite tant de chagrins

Je n’y vois qu’un grain

Pour chantonner son refrain

 

Pourtant j’avoue que quelquefois

Ou plutôt bien des fois

Je remets en cause ma foi

 

Mes joyaux sont une multitude de couleur

Parfois je les prends pour des leurres

Leurs éclats me font pâleurs

 

Maudits soient ces sentiments

Tant de fois et fabuleusement

Semblable à un enfantement

 

L’important c’est d’aimer

Ton affection est finalement

Le don d’un amour absolu

 

Nous fêterons notre amour

Ce jour avec un certain humour

Marchant sur le tapis rouge

 

Après tout l’amour n’a pas de mesure

Même si à l’usure il rapetisse

Il reste toujours un éclat dans le cœur

 

A la Saint Valentin la recherche d’un joyau

Sonne les cloches de sentiments loyaux

D’une union dont le futur ne peut-être vieillot

 

Alumacom

13 février 2018

 

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