Non à la solitude !!
Oui je relève le défi
Que jamais ici-bas je finirai ma vie ici
Alumacom
Vivre intensément
Vivre intensément en trombe,
Avant que le rideau ne tombe.
L’œuvre s’achève sans bombe,
Puisque la voûte céleste surplombe,
Ce silence assourdissant de l’ombre.
Ceci-dit l’œuvre est dans l’éphémère
De toute cette foutue stratosphère,
Il est dit souvent que l’atmosphère
Se dit courage lorsqu’elle énumère
Tous ces belligérants qu’on défèrent.
La vie ne serait-ce qu’un instant,
N’imagine pas prendre le temps
D’un spoliateur se prétendant
Etre le roi des représentants
D’une dynastie des combattants.
Le visage
Le visage voilé
De longs cheveux blonds
Cache le regard
Mais aussi le visage.
Le visage voilé,
Un foulard brodé le cache,
Seul le regard rieur,
Est actif, expressif.
Le visage se dévoile,
Une note de curiosité
L’éveille il s’interroge
De son regard moqueur.
Le nez trousse l’ambiance
Les lèvres se retroussent
Les oreilles battent pavillons
Le menton donne le ton
Le visage miroir de l’âme,
Refléter la dignité,
La tristesse de la faiblesse.
Il est parlant, il ne fait face.
La voix sur la voie
La voix de la radio
M’entraîne sur une voie,
Celle que l’on ne voit pas.
L’écoute est son domaine.
Parfois, elle nous emmène,
Sur la route de Philomène.
Sur la route à double voies,
La voix dirige sur l’axe,
Des voies en extinctions
Gare à la voie d’eau,
Des rocades doubles à voies
Leur danger se voit de loin.
S’il s’agit de préparer la voix,
Selon notre voie de chance,
La voix se fait difficile.
La voix c’est aussi notre voie,
Le doute amène nos voix,
Dans l’urne des voix à valoir.
Ce qui est certain la voix,
Dirige dans l’intemporel,
Téléporte sans voix sur la voie.
Sans vous, je ne suis rien
Les oiseaux chagrinés ne chantent plus,
Ils se cachent.
Ne me quitte pas, ne me quitte pas,
Sans vous je ne suis rien.
Les étoiles se mettent à l’abri,
Elles ont peur.
Reste avec moi, reste avec moi
Sans vous je ne suis rien.
Les poissons s’enfoncent dans la vase,
Ils sont craintifs.
Pourquoi vous enfuir ? Pourquoi vous enfuir ?
Sans vous je ne suis rien.
La terre tressaille sous mes pieds,
Sauve qui peut !
Ne m’oubliez pas, ne m’oubliez pas
Sans vous je ne suis rien.
Mon ciel à moi
Mon ciel à moi
Ce n’est pas le tien.
Pourtant nous avons le même.
Sans pourtant se le partager.
Mon ciel à moi
Ce n’est pas le tien.
Nous respirons le même air
Sans pour autant être le tien.
Mon ciel à moi
Ce n’est pas le tien.
Nos cœurs battent à l’unisson
Le tien et le mien sont réunis.
Tous parlent de modernisme.
Tous parlent de modernisme.
Derrière ce mot que nous dit ce mot
L’orgueilleux veut s’entendre dire
Que ses actions sont modernes
Qu’ils s’adaptent aux idées modernes
Et pourtant que se cache-t-il derrière ce mot
Tous nos maux que nous cachons
Pour paraître in devant nos jeunes
Ces quinquagénaires s’imaginent être jeunes,
En imitant ces gosses turbulant.
Ils imaginent qu’ils sont mieux que nous
Parce qu’ils savent utiliser leur tablette
Certains sont éblouis par cette jeunesse
Qu’ils aient éduqué n’importe comment
Parce qu’ils sont libres sans connaître le but.
Cependant est-on sûr qu’ils aiment cette liberté
L’âge diffèrent avec les mêmes élans