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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

EUTHANASIE & SUICIDE

 La définition du dictionnaire  -Petit Robert-:

« Usages des procédés qui permettent de hâter ou de provoquer la mort de malades incurables qui souffrent et souhaitent mourir. »

De ce fait :

Chacun de nous doit s’interroger devant ce problème devenu une mode dit humanitaire.

Dans la vie rare sont les personnes n’ayant pas connus chez soit ou parmi ces proches, des malades en fin de vie avec des souffrances atroces, tant physique psychique que morale. Des handicapés de différentes causes, diverses maladies mentales, physiques ou sensoriel souffrent atrocement eux aussi. Il arrive de plus en plus souvent que le malade dans ses moments de conscience demande, supplie à l’être le plus chère de mettre une fin définitive à ses souffrances. Parce qu’elle ne veut pas subir la déchéance physique.

D’autres c’est par amour pour la personne qui lui est prunelle de ses yeux demande au médecin ou pratique d'ex-même l’euthanasie. Parfois c’est un commun accord mais pas toujours. Il y a également tout simplement un cœur qui n’en peut plus de voir souffrir l’amour de sa vie.

Mais devons nous répondre à cette demande ?

Que dit notre conscience lorsque cela frappe à notre porte ?

Notre conscience ne s’arrête pas au constat du diagnostique médicale, important certes, mais absolument pas suffisant pour décider à mettre fin à une vie. Je ne parle pas de la spiritualité. La position des religions est claire et nette à ce sujet. Pour un laïque la question est plus complexe.

Car c’est une question de conscience. Que dois-je faire pour cet amour ? Au dernier moment le désire-t-il vraiment ? N’a-t-il pas peur de faire de faire le grand saut ? Doit-on faire abstraction de nos sentiments pour accomplir une promesse ?

La conscience c’est notre MOI face à ce dilemme.

 

Ce qui est certain :

L’euthanasie c’est le suicide par personne interposée.

Doit-on ce suicidé dans certains cas ?

Chacun est libre de son choix en toute conscience.

Il n’est pas question de faire le procès de l’euthanasie ou du suicide, mais de réfléchir du pourquoi et à ce à quoi cela entraine psychiquement auprès des siens.

La maladie, l’accident et l’handicap ont la même finalité, ils produisent la dépendance d’un humain à un autre.

Pourquoi imposer à une personne qui nous est chère, de devenir notre assassin ?

Chacun est libre de son choix perso, mais on ne peut pas imposer à un être cher, ce qui va démolir psychiquement l’être aimer. Bien sur c’est une preuve d’amour. Est-elle nécessaire ?

Evidemment il y a des cas ou la mort physique est préférable à la déchéance. Mais qui sommes nous pour décider à la place du malade ? Un souffle de vie accroche celui qui aime.

Ce que nous pensons lorsque nous sommes bien portants, est totalement différent de ce que nous réalisons quand l’handicap ou la maladie nous touche.

Il y a ce temps où l’on veut mourir, puis vient le temps où l’on veut revivre, avec des rechutes et des retours à l’espoir. Il y a des pertes de consciences, puis des temps de consciences sans pouvoir parler.

Le chantage de l’amour est-ce valable dans ce cas ?

 

L’euthanasie est une forme de suicide

Seulement c’est par procuration

Mère pourquoi m’as-tu fais çà ?

Mère toi qui fut une femme formidable

Tu as soignée les voisins

Tu as secouru le pauvre

Tu as participé à la résistance

Tu m’as soignée

Tu m’as soutenue

Tu m’as aidé avec mon fils

Tu l’as protégé des violences

De se beau-père fou dans ses ivresses

Tu l’as préservé de tout

Pourquoi m’as-tu fais çà ?

Dans ce couloir si froid

Malgré cet été si chaud

Seule devant les médecins

Seule devant la famille

Trop lâche pour décider

Il m’a fallu t’obéir

Prononcer ces mots si durs

A tes dernières volontés

Pourquoi m’as-tu faits çà ?

Combien d’épouse

Combien de mari

Combien d’enfant

Combien d’ami

Ont dû par amour

Accepter d’être des assassins ?

Par humanité dit-on

Chacun est maître de son esprit

Euthanasier son être cher

C’est punir son cœur

C’est lui laisser le doute

A-t-il bien agit ?

Ce doute qui ronge en silence

 

15 janvier 2010

 

LA LOI DOIT-ELLE PERMETTRE CET ACTE ?

 

La chambre des députés et les sénateurs sont suffisamment nombreux pour réfléchir, délibérer et arrêter une loi.

 

Si elle l’autorisée. Il lui faudra prendre en compte tout les paramètres du sujet. Prévoir une enquête pour déterminer si la personne agit pour le mieux par rapport au demandeur. Vérifier s’il n’y a pas d’arrière penser par rapport à un héritage ou se faire attribuer la responsabilisée des enfants dans le cas de séparation de couple.

Auquel cas cela serait un crime crapuleux, sous couvert d’euthanasie !

 

Oui doit-on légiférer ? Et comment l’établir ?

C’est là, la question qu’il faudra bien faire face un jour.


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