Une signature, il ne fait que…Confirmer un sentiment
Au point qu’il suppose que tout peut-être renier dit-on ! »
Nous liant sans équivoque
A un amour qui se veut bienveillant
Surtout volcanique, bouillant.
De toute part assistant
La jeunesse de cette gamine
Qui ne paye pas de mine.
Elle est souvent persécution
La fougue fait des ravages
Selon les temps du mariage
Les problèmes d’une certitude
Est la sécurité de l’habitude
Trompe souvent cette exactitude.
N’est pas une signature coloriée
D’écritures officielles sans considérations
Qui ne demandent pas la confession.
A deux dans un amour résolument fiable
Les problèmes et les joies se sont alliés,
Cherchant où se trouve le bon escalier.
Se consume vers l’avenir proche d’autrefois
Il résiste aux tempêtes celles d’un désert,
L’amour dans la foi n’est pas la misère.
J’ai réfléchi sur nous sans pour autant
Rien n’est enlevé de notre intimité
Sans confondre foi et loi pour l’éternité.
Un amour comblé avec toute la spontanéité,
De la jeunesse fougueuse dans la foi reste,
Célébré uni devant D.ieu à la promesse céleste.
Je construirai ma maison de confiseur
Son toit sera en nougatine décorée
Portes et volets verts en macaron
Les vitres en feuilles de gélatines
Les murs en dragées aux amendes
Les pieds de table en bêtise de cambrai
Le dessus de la table en nougat
Les montants du lit en nougatine
Le matelas en cherry
Les draps de dentelles blanches
En ferait un lit douillé.
La fête sera grande ce jour là
Sans s’enivrer, ni forniquer
J’y donnerai tout mon amour
J’y abolirai tous les détours
Il y aura la lumière du plaisantin
Les rires du pantin
Les dansent des elfes
Les chants des anges
Il n’y aura que de joyeux lurons/
Quand j’aurai trouvé mon âme sœur
Le bonheur sera indélébile
Et cette maison trôner sur la cheminée
A côté de la gondole de Venise
Le lampadaire illuminé la fera briller
Cette maison sera le lien de notre amour
Pourtant il vient d’un sentiment
D’être fait pour un devoir
Celui d’une conscience tranquille.
De prévoir un avoir,
Pour ne pas être l’avoir,
De sa famille à revoir.
Il a le devoir de respecter ses parents,
Comme il est de son devoir de revoir,
La question qu’est-ce le devoir.
Leur exemple est un devoir de chaque instant
Aimer ses enfants et le reste de la famille,
C’est le devoir fondamental de l’éducation.
Être l’adepte du devoir électorale,
Notre devoir, réfléchir au bien de tous,
Le devoir s’appelle aussi générosité.
La guerre c’est l’échec des parlementaires,
C’est être responsable en toute chose.
Le devoir c’est aimer de ce fait être solidaire.
Notre devoir c’est d’être :
Non seulement UNI avec notre pays
Mais également réfléchir et actif.
Oublier les mauvais garnements.
Nos dilettantes amateurismes.
On se croyait de grands altruismes.
Sans chercher à se voiler la face.
Ne pas occulter, la page préface.
En se fixant en coquin un pacte.
Nous échafaudions des satyres.
Sur un pauvre un gamin martyr.
Puisque, il est de parfaites différences.
Passé simplement sous le silence,
Pour ne pas voir notre insolence,
Cacher, les intrigues à le maltraiter.
Ou d’un bonheur craintif immatériel.
Notre mémoire influence le souvenir.
Entretien confirme, notre devenir.
Apporter l’eau pour le partage.
Se chargeant de nos sentiments.
Souvent fébrile à chaque moment.
Nos frasques de l’adolescence,
Nos aventures sentimentales,
Ramènent à cet âge fatal.
Ne changera en rien notre avenir.
Se souvenir de nos bons gestes,
Oblige à demeurer bon, modeste.
De ne plus être ce qui fut l’offense.
Notre pardon empêche la démence.
Ainsi, l’esprit reçoit enfin la clémence.
Le ciel est sombre
Le parapluie à l’épaule
La petite valise roule.
De mon pas cadencé,
Rapide presque paniquée
J’arrive à l’arrêt du bus
C’est le dernier bus nocturne !
Bien sûr trop en avance
Enfin ! Il arrive,
Moi qui me croyais en retard !
A la gare d’Austerlitz soulagement
Mon train m’attend
Disons que je suis en avance
Je me croyais en retard
Je trouve ma place, Ouf je m’assois
Déception ma place côté vitre
Ce n’est pas sur le paysage
Mais sur le couloir, à la place senior !
Seule dans la cabine
Je croyais avoir l’inspiration !
Page blanche, tête vide
Je me suis endormie
Premier arrêt la cabine se remplie
Plus de sommeil, pas plus de pensées
Pas même pour mon oncle qui nous a quittés
Tout est vide, triste, sans larme.
Enfin une prière monte dans ma tête
Je descends mon cousin m’accueille
Je croyais écrire toute seule