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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Mes mots du mur

Le mariage une formalité ?
 
« Le mariage civil n’est qu’une formalité, un simple carnet officiel,

Une signature, il ne fait que…Confirmer un sentiment
Au point qu’il suppose que tout peut-être renier dit-on ! »
Il y a cette promesse réciproque
Nous liant sans équivoque
A un amour qui se veut bienveillant
Surtout volcanique, bouillant.
Il jaillit à chaque instant
De toute part assistant
La jeunesse de cette gamine
Qui ne paye pas de mine.
La réserve n’est pas passion
Elle est souvent persécution
La fougue fait des ravages
Selon les temps du mariage
Le cafard mène à la lassitude
Les problèmes d’une certitude
Est la sécurité de l’habitude
Trompe souvent cette exactitude.
Avoir le désir de se marier
N’est pas une signature coloriée
D’écritures officielles sans considérations
Qui ne demandent pas la confession.
Il s’agit d’assurer une vie à conciliable,
A deux dans un amour résolument fiable
Les problèmes et les joies se sont alliés,
 Cherchant où se trouve le bon escalier.
L’amour qui s’uni dans la joie et la foi
Se consume vers l’avenir proche d’autrefois
Il résiste aux tempêtes celles d’un désert,
L’amour dans la foi n’est pas la misère.
Finalement ce document est important
J’ai réfléchi sur nous sans pour autant
Rien n’est enlevé de notre intimité
Sans confondre foi et loi pour l’éternité.
Le mariage administratif n’est qu’une formalité
Un amour comblé avec toute la spontanéité,
De la jeunesse fougueuse dans la foi reste,
Célébré uni devant D.ieu à la promesse céleste.
 
Alumacom
 
La maison du confiseur
 
Lorsque j’aurai trouvé mon âme sœur
Je construirai ma maison de confiseur
Son toit sera en nougatine décorée
Portes et volets verts en macaron
Les vitres en feuilles de gélatines
Les murs en dragées aux amendes
Les pieds de table en bêtise de cambrai
Le dessus de la table en nougat
Les montants du lit en nougatine
Le matelas en cherry
Les draps de dentelles blanches
En ferait un lit douillé.
La fête sera grande ce jour là
Sans s’enivrer, ni forniquer
J’y donnerai tout mon amour
J’y abolirai tous les détours
Il y aura la lumière du plaisantin
Les rires du pantin
Les dansent des elfes
Les chants des anges
Il n’y aura que de joyeux lurons/
Quand j’aurai trouvé mon âme sœur
Le bonheur sera indélébile
Et cette maison trôner sur la cheminée
A côté de la gondole de Venise
Le lampadaire illuminé la fera briller
Cette maison sera le lien de notre amour

 
Qu'est-ce le devoir?
 
Le devoir n’est pas un sentiment
Pourtant il vient d’un sentiment
D’être fait pour un devoir
Celui d’une conscience tranquille.
 
Le devoir c’est le devoir,
De prévoir un avoir,
Pour ne pas être l’avoir,
De sa famille à revoir.
 
L’écolier doit faire ses devoirs,
Il a le devoir de respecter ses parents,
Comme il est de son devoir de revoir,
La question qu’est-ce le devoir.

 
De même les parents ont des devoirs
Leur exemple est un devoir de chaque instant
Aimer ses enfants et le reste de la famille,
C’est le devoir fondamental de l’éducation.

 
Enfin le devoir celui que tous concevoir,
Être l’adepte du devoir électorale,
Notre devoir, réfléchir au bien de tous,
Le devoir s’appelle aussi générosité.

 
Servir son pays revêtit de nombreuses formes,
La guerre c’est l’échec des parlementaires,
C’est être responsable en toute chose.
Le devoir c’est aimer de ce fait être solidaire. 

 
Lorsque notre pays est agressé
Notre devoir c’est d’être :
Non seulement UNI avec notre pays
Mais également réfléchir et actif.
 

 
Recevoir la clémence
 
Se souvenir de bons moments.
Oublier les mauvais garnements.
Nos dilettantes amateurismes.
On se croyait de grands altruismes.

 
Méditer sur certains de nos actes.
Sans chercher à se voiler la face.
Ne pas occulter, la page préface.

En se fixant en coquin un pacte.
Pour se donner bonne conscience.
Nous échafaudions des satyres.
Sur un pauvre un gamin martyr.

Puisque, il est de parfaites différences.
L’inoubliable partage dut regretter,
Passé simplement sous le silence,
Pour ne pas voir notre insolence,
Cacher, les intrigues à le maltraiter.
 
Qu’elle soit digne d’un amour éternel.
Ou d’un bonheur craintif immatériel.
Notre mémoire influence le souvenir.
Entretien confirme, notre devenir.
Quelquefois, elle revient à la charge.

Apporter l’eau pour le partage.
Se chargeant de nos sentiments.
Souvent fébrile à chaque moment.
Ce souvenir de notre enfance,
Nos frasques de l’adolescence,
Nos aventures sentimentales,
Ramènent à cet âge fatal.
 
Oublier la plupart de nos souvenirs.
Ne changera en rien notre avenir.
Se souvenir de nos bons gestes,
Oblige à demeurer bon, modeste.
 
La culpabilité permet la défense,
De ne plus être ce qui fut l’offense.
Notre pardon empêche la démence.
Ainsi, l’esprit reçoit enfin la clémence.
Alumacom
 
Je me croyais ….
 
Ce matin-là, à l’aube,
Le ciel est sombre
Le parapluie à l’épaule
La petite valise roule.
De mon pas cadencé,
Rapide presque paniquée
J’arrive à l’arrêt du bus
C’est le dernier bus nocturne !
Bien sûr trop en avance
Enfin ! Il arrive,
Moi qui me croyais en retard !
 
A la gare d’Austerlitz soulagement
Mon train m’attend
Disons que je suis en avance
Je me croyais  en retard
Je trouve ma place, Ouf je m’assois
Déception ma place côté vitre
Ce n’est pas sur le paysage
Mais sur le couloir, à la place senior !
Je sors mon bloc note de mon sac
Seule dans la cabine
Je croyais avoir l’inspiration !

Page blanche, tête vide
Je me suis endormie
Premier arrêt la cabine se remplie
Plus de sommeil, pas plus de pensées
Pas même pour mon oncle qui nous a quittés
Tout est vide, triste, sans larme.
Enfin une prière monte dans ma tête
Je descends mon cousin m’accueille
Je croyais écrire toute seule
Cette page vierge serait pleine à l'arrivée
Je dû refouler mon désarroi
 
30 juillet 2011

 
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