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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Regard sur la vie : l'été

Aimer le temps d’une saison

 

Le temps d’une saison

On perd la raison

Pour un sourire

Ou pour un soupir.

Un regard langoureux

Un mot sulfureux

Tout nous chavire

Sans nous assouvir.

 

Aimer dans la déraison,

Ne dure qu’une saison,

Le temps de nos rires,

Ou celui d’un délire.

Le geste aventureux

Un baiser savoureux

Se glisse et chavire

Sans pour autant sévir.

 

15 février 2015

 

 

 

Un jour de soleil

 

Ce fut un jour de soleil,

Celui de la récolte.

Il n’y a pas son pareil,

Dans le désinvolte.

Remplir la grande corbeille,

Celui de la révolte.

Des fruits rouges à l’oreille

Sans un faux-colt.

Des fleurs au cou pour pare-soleil,

Celui en giga volt.

Les oiseaux chantent sur la treille,

S’élancent, virevoltent.

Le parfum embaume la corbeille

Celui de nos mégas-volts.

La balle de l’univers est la bouteille,

Elle tourne à l’archivolte.

Mon Dieu, elle est la merveille,

Parmi ces micromètres volts.

 

8 juin 2015

 

 

C’était un été

 

C’était un été,

Un certain amour,

Un certain soleil glamour,

Pour un feu Saint Amour

Ce fut un certain été.

 

C’était un été

Où tout était

Dans la jetée

C’était…

Un curieux été.

 

C’était un été,

La coupe est soufflée

Le four emmitouflé

La pub gonflée,

Se trouve habilité.

 

C’était un été,

Un soleil tireur,

Sans être pleureur,

Ni même rieur,

Pas même en ébriété.

 

C’était un été,

Avec le fameux fantasme,

D’un certain orgasme,

Rêve sans sarcasme,

Ni même contrariété.

 

C’était un été

Comme jadis sur les plages,

Les corps à l’étalage,

Protège aussi leur pelage,

Sans tourment avec gaité.

 

C’était un été

Il n’était qu’un songe,

Sans un mensonge,

Pourtant il éponge

Sans même s’inquiéter.

 

Alumacom

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