Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
Un Monsieur très spécial
Monsieur casse-tout
Monsieur je sais-tout
Monsieur jette-tout
Monsieur gaspille-tout
Monsieur oubli-tout
Monsieur voit-tout
Monsieur supérieur à tout.
Mais Monsieur est bavard
Mais Monsieur est lâche
Mais Monsieur n’est pas méchant
Il n’est seulement :
Un monsieur sans consistance
Un monsieur affectueux
Qui ne sait comment exister.
Il voudrait être ce qu’il n’est pas.
Il voudrait acquérir le pouvoir,
Un statut qu’il ne peut avoir,
Comme tous les faux-jetons.
Ce sont les reproches à voix basse
Ainsi il n’est accusé de rien,
Il passe pour un souffre-douleur !
Quel calamité ce sacré Monsieur.
La France dans ses Tourments
La France est dans un tournant,
Elle glisse comme sur le verglas
La tempête se lève sur le pays.
Le coup d’Etat est proche
Les élections seront reportées
Les adversaires mis en examens.
Les accusés ont les mêmes délits
Que les élus du gouvernement en place
Tout est devenus gris comme le ciel
Ce mois de mars l’ombrageux
Pétarade et divise devant les enjeux
Il casse tous sur son passage en criant.
Des électeurs écœurés tentent un dernier combat
Les candidats rament à droite à toutes les phases.
Les proches du gouvernement suivent dans la mélasse.
Combien de temps les français seront-ils calmes ?
La honte gagne le peuple de France.
La gauche exécutive à réussit à tromper les électeurs.
Ce soir j’ai tout gagné je n’ai plus d’internet
La Stasi s’installe-elle dans notre beau pays ?
Le Régime de Vichy est-il revenu ?
Heureux sont les français restant inconscients
Les dangers les effleurent momentanément
Avant de les faire surgir dans la réalité de la vie.
23 Février 2016
La voix d’un songe
Là-bas, un nuage blanc court,
Au-dessus des stèles il parcourt
La voix de l’univers discoure,
Son appelle est un recours.
La voix est le regard doux,
Le granit lui réagit aigre-doux
Au mirage d’un profond dégout,
Elle coure les allées de son bagout.
L’orgue de l’univers s’élance,
Chante et entre dans cette danse
Sur la plaine fleurie en cadence
Le chant du départ vers l’encense.
La main scintillante vaporeuse
Saisi mon âme amoureuse
Vers la voûte langoureuse…
Soudain, la voix enjôleuse
Sonne impérative le réveil !
Quelle honte ! S’exclame-t-on.!
Quelle honte ! S’exclame-ton.
Les travaux restent déserts,
Le chantier est à l’abandon,
Les passants traversent le geyser,
Le danger est le piège du piéton.
Pas de feu tricolore provisoire.
L’original, est fatigué il rêve,
C’est une pause ostentatoire.
Les passants demandent la trêve,
La peur ne doit pas être ostentatoire.
L’absence des ouvriers est la blessure,
D’un chantier temporairement arrêté,
Les vacances prioritaires sur les cassures
Le danger omniprésent y est marqueté,
Peu importe les avaries des commissures.
Les voitures roulent en trombe sans un regard,
Les motos doublent les véhicules trop lents,
Les utilitaires déboulent sans crier gare
Les camions s’engagent prestement insolent,
Les piétons n’ont droit qu’aux chauffards!
Quelle honte ! S’écrit un badaud révolté.
Sa colère justifiée s’envole dans le vent
La justice n’est pas pour les faibles violés.
Une voix grave tonitruante s’activant,
Crie : Attention ! au cycliste survolté !
À ce moment, le cauchemar prend fin.
Le réveil est brutal néanmoins sécurisant
Ouf ! L’accident n’a eu pas lieu, enfin !
Seule la voix du bien aimé a crié médusant,
Ce fut le bonheur, dans ses bras sans fin.
Lampions multicolores et musiques
L’honneur scintillant et la gloire,
Les mirages désertiques sont authentiques.
L’âme est sur la balançoire
Les flammes basiques.
Enflamment le réservoir
Flottent comme le bavoir
Elles chantent les airs rustiques
Pureté et sincérité du savoir
Sagesse aux voies antiques.
Le vent exalte le désir du pouvoir
L’orgue égraine les notes authentiques.
Hélas ce n’est qu’un rêve,
Le sommeil léger entraîne,
Un réveil engourdit élève
Les images rieuses de la baleine
Pointant le nez vers le glaive
Coupant une madeleine.
Des nuages au-dessus de la grève
Douceur d’un réveil en porcelaine.
Il accorde une la trêve
Héritage d’une châtelaine.