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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

L'espérance indéfectible: Chapitre XXVIII Déçus, pourtant pas découragé

XXVIII

Déçus, pourtant pas découragé

Ils dorment depuis un certain temps. Erhard et Mamadou s’étirent, soudain d’un bond ils se lèvent. Ils regardent autour d’eux. Ils sont les seuls réveillés. Tous dorment à poings fermés. La fatigue a eu raison de leurs résistances. Les deux compères se regardent, la même pensée traverse leur esprit. D’un bond ils se dirigent vers la radio. Hélas ! Erhard s’empêtre dans son sac de couchage…

  • Mer...er…er…

Cri-t-il en colère. Dans un français à faire rire « couper le beurre ! », très ancienne expression française. Une près mauvaise surprise les attend. Leur radio ne fonctionne plus. C’est le retour brutal à la réalité pour Erhard.il a horreur d’être contrarié à son réveil. Dans son énervement il gesticule, cris rageusement, personne ne comprend. Il parle dans sa langue d’origine « le suédois » ! Nul personne n’ont besoin de traduire. Les inflexions vocales, les gestes rageurs n’ont nul besoins d’être traduits. En conséquence une partie est terrifiés, et se pose des questions sur la continuité de leur sortie. Alex est étonné, il n’a pas compris le pourquoi lune partie des jeunes gens soient terrifié, à cause de cette radio en panne. Erhard s’en prend à la tribu, et eux ne comprennent pas ce qu’il leur reproche ! ils sont penauds et tristes. Sarah et Catarina fondent en larme. En voyant les larmes des deux femmes, Erhard est choqué et il réalise qu’il a provoqué la peur parmi les amis. Soudain, il de calme et il est tout penaud, et les poings dans ses poches, il bougonne des excuses.

C’est gagné, il a réveillé tout le monde. C’est le branle-bas de combat, tout le monde est réveillé. Chacun sait, qu’il y a retard imprévu, et décourageants pour quelques-uns. Pour Daniel et Mamadou il n’est pas question de repartir sans une télécommunication avec l’extérieur. Avoir des transmissions avec l’extérieur est primordiales. Mamadou laisse Erhard à sa mauvaise humeur. Il connait les emportements de son ami, il sait que cela ne dure que le temps des cris. Après les cris, son ami tout penaud fera tout pour se faire pardonner.

Mamadou contrôle la radio et fait le bilan des dégâts et il annonce :

  • Ce n’est pas trop grave, il n’y a rien de cassé, ni de fil dénudé. C’est seulement, déchargé, et le branchement de la recharge automatique coupée.

Qui à débranché ce fil et pourquoi ? La réparation n’est pas compliquée. Il suffira de revoir le système téléphonique, et de régler les ondes. Ce qui veut-dire que nous sommes plus proche, de la civilisation extérieure que nous le pension. Macha intervient. Sans cette petite dégradation, nous n’aurions pas su que nous sommes plus proche de la sortie que nous le pensions.

  • Calme toi Erhard, c’est réparable, même moi sans tes connaissances je le vois !
  • Ah bon ! ah bon ?

Répond-t-il désabusé, tout penaud

  • Alors très bien !

Dit-il en se calmant. Souvanna arrive avec le thé et lui dit :

  • Avant de réparer, boit et mange un petit quelque chose

Comme d’habitude ce soupe au lait, s’assied tout penaud en bougonnant et s’excuse d’avoir fait pleurer Catarina et Sarah. Le petit-déjeuner terminé, il se met rapidement au travail. Les responsables de ces méfaits sont tous penauds, consternés et malheureux. Ils ne savaient pas ce qu’ils ont fait. Ils se demandaient à quoi servait cette machine. Ils croyaient que cette « machine » faisait de la lumière, comme en bas ! ce qu’ils ne savaient pas, cette « machine » est l’invention de Mauricio, qu’Erhard entretien et bichonne amoureusement. Les fonctions de cette « machine » est miraculeuse pour tous. Elle est multifonction : elle allume la radio, la télé, règle l’éclairage dès l’installation de Mamadou, recharge les piles des plaques culinaires, du four stérilisateur pour Daniel et Ingrid, les lampes des casques et le plus important à ce jour, c’est la transmission pour Macha, pour obtenir les secours à la sortie.

  • Daniel, qu’allons-nous faire en attendant la réparation de cet appareil ?

Demande Mylène sans laisser paraitre son désarroi.

  • Vous préparez tout, pour être prêt à partir lorsque nous recevrons le signal de Mauricio, d’Erhard, Hans et Macha
  • Et si cela dure longtemps ?

S’inquiète Caterina

  • Lorsque tout est prêt on attend patiemment, on prie et on apprend la chanson de Katia et Mamadou. Elle est belle, elle sera notre chant de ralliement. Et quand nous serons sortis de cette tombe, elle sera notre chant de souvenir et d’amitié.

Pendant ce temps nos techniciens s’activent. Ils réparent les dégâts, seuls les branchements ont été enlevé mais sans être détériorés. C’était l’œuvre de la curiosité. Ce qui les fit rires, même Erhard qui demande amuser.

  • Les lampes des casques sont-elles rechargées ?
  • Oui je les ai branchés et contrôlés avec Ingrid, et toutes les piles également sont en recharges dans le cas où il y aurait nécessité. Ingrid surveille la fin des recharges !

Répond Mamadou. Macha est soulagée

  • Ouf ! cela va nous gagner du temps
  • Ne vous inquiété pas, nous recontrôlera tout avant de partir.

Lance calmement Daniel. Il passe visiter chaque groupe et à tous contrôle leur état de santé, et les rassure. À la fin de sa visite à chacun, il lance à tous.

  • Merci les amis, pour votre compréhension.

Tous les bagages sont prêts à partir, et tous sont prêt à partir, ils attendent patiemment. Assis ou allongés, ils prient et chantent en fermant les yeux comme leur a suggéré Daniel. Car l’attente leur semble longue et soudain…la voix de Mamadou tout excitée leur annonce :

  • Luciano…, Luciano, viens vite nous sommes sauvés !

Il reprend sa respiration et il ajoute

  • Mauricio et Erhard ont réussis ! on nous a répondus !

Hourrah, Hourrah, Hourrah, Hourrah, Hourrah…

S’écrit toute l’assistance joyeuse, se levant d’un bond, comme un seul corps. Pour tous leurs amis techniciens sont leurs sauveurs ; tous veulent les embrasser, les remercier chacun à leurs manières, même les lycaons craintifs, eux ils ont peur du sort qui les attends. Cependant ils font confiance à Hans leur protecteur. Le vieux cheval d’Alex et les cinq ânes sont inquiets. Ils ne connaissent pas la lumière, que feront les hommes pour eux ? les humains seront libres, mais eux que deviendront-ils ?

Une joie euphoriques les animent. Des chants, des danses, pour certains d’entre eux c’est une vraie cacophonie. Le peuple des lépreux les regarde stupéfait interloqués, apeurés. Ils pensent : « ils sont fous, ces jeunes gens. » soudain, une voix inconnue résonne dans la caverne. C’est la joie parmi les jeunes, Luciano répond. Mais les anciens de la caverne, sont surpris et apeurés. « Ils pensent toujours, ils sont fous ses jeunes ! » en balançant la tête de droite à gauche et haussant les épaules. Mylène et Catharina les tranquillise.

  • C’est la machine qui parle, elle a transformé la voix de Mauricio. Il fait des essais pour contacter l’extérieur, et cela a marché.

Effectivement Mauricio et Erhard ont pu localiser radio Vatican, c’est l’heure des vêpres ! ils poursuivent leurs investigations, ils captent enfin : la télévision la RAI. Tous la regardent avec leurs émotions personnelles. Ils sont avides de voir ce qui se passe à l’extérieur. Ce sont les infos de minuit. Maintenant ils connaissent l’heure et le jour de l’année ! malgré la surprise, ils sont rassérénés. Au vue de l’heure extérieure, ils décident de se restaurer et de dormir. Les secouristes ne pourront rien pour eux, tant qu’ils ne pourront pas les localiser. Pourtant, Daniel ne dit rien, l’espérance est la clé de la réussite de ce sauvetage. Il pense : la confiance, permet de retrouver le calme, c’est plus sécuritaire pour finir ce voyage sous terre.

 

 

 

 

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