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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

L'Espace et le temps ( suite)

Le combat de Sybille et des séraphins

Petite fable fantastique

 

Dans la voûte céleste tout près de la lune

Le réveil des sybilles attend le bon roi soleil

Pour faire un point de suture à la corbeille

De la chorale des Séraphins leur commune.

 

Adoration universelle de leur vrai Seigneur

 Sybille prophétise le malheur d’un temps

Elle est la servante des ténèbres de Percutant

Par leurs chants les Séraphins sont ses soigneurs

 

Sybille la première envoute son prince bien aimé

Ce qu’elle ignore il n’avait de beau que son corps

Il est le puissant Percutant et lui consenti un accord

Il l’a charmé ils sont devenus des amants enflammés

 

Sybille lui fit la prophétie de la fin de son monde

La colère de son Prince adoré le transforma

En hideux vautour à six têtes à la bataille de Zama

L’armée de tritons le chasse de son royaume immonde

 

Les Séraphins chantent la victoire du Père de l’Univers

Les faux prophètes sont chassés du royaume Eternel

Les faux anges sont noirs ils n’entendent plus les ritournelles

Les flammes éternelles les lèchent sur leurs calvaires.

 

 Les innocentes victimes trouvent sur leur route sinueuse

Le réconfort et la mansuétude du message des archanges

L’armée des anges gardiens et des anges sont les phalanges

De Celui Qui Est et ils les dirigent sur la promesse fastueuse.

 

 

 

Quand les ballons s’envolent

 

Petit texte pour rire et aider à commencer L’année dans la bonne humeur malgré nos soucis

 

Donnez-moi un ballon de Vouvray

Avant que je monte dans ce foutu ballon.

Dans l’atmosphère j’envoie le ballon du départ.

 

Dans mes manches ballon l’air s’y engouffre

Je vais faire un ballon d’essai dans le paysage

Et découvrir le ballon d’emprunt des créditeurs.

 

Dans l’hémicycle quelques-uns tirent des ballons en ronflant

Les médias s’en font les choux-gras les déposent dans leurs ballons

Quant aux politicards ils s’envoient des ballons d’injures mensonger.

 

Le ballon d’envoie tente les joueurs

Que ce soit pour le ballon ovale d’essai

Ou ce ballon rond du foot qui marque.

 

La bulle s’envole en ballon libertaire

Les gamins eux s’envoient le ballon

Pour ne pas emménager au ballon.

 

Aux paniers le ballon marque les points

À la fête les ballons sont multicolores.

Dans la joie les ballons s’envolent et éclatent.

 

L’eau chaude coule du ballon de la chaudière

Les scientifiques sondent leur ballon-sonde

Dans les bois nous respirons un ballon d’oxygène.

 

Enfin de compte les ballons quel qu’ils soient s’envole

Le ballon de Vouvray les prix s’envolent

Comme tous les ballons s’envolent dans la folie humaine.

 

Rêve doux et fabuleux

 

Allongée sur le sable

Les yeux mi-clos

La licorne s’envole

La fleur de jasmin aux oreilles

Hennissant joyeusement.

 

Les oiseaux s’envolent

Formant une farandole

À l’image du firmament

C’est la nuit des illuminations

Innombrables étoiles s’égarent.

 

Elles peuplent le ciel

Tels les divins anges

Se baignant dans la fontaine

L’eau rieuse qu’elle en miroite

Sa volupté heureuse découvre l’inconnu.

 

Je suis bercée tendrement

Les nuages blancs naviguent

Sous ce vent léger souffle doucement

Un imaginaire constructif dans l’affection

 De ce voir aux côtés de cette splendeur.

 

Cette aquarelle venue…

Du fond de mes songes

M’émerveille, je voudrais la garder

Cette image m’unit loin du monde

Me laissant dans un monde de paix

 

Ce rêve n’est qu’un souvenir

Malheureusement éphémère

Un soupir de bien-être m’échappe

Puisque la réalité est tout autre

Le réveil est une véritable douche froide

 

J’entrouvre mes yeux en hésitant

Ce monde magique silencieux

M’inspire la tendresse de Notre Mère

Je me blottis comme un enfant enroulé

La couverture est la douceur maternelle.

 

 

Rêves fantastiques

 

Sève miraculeuse qui s'abreuve d’espoir.

Du fond de ma souffrance et du désespoir.

Naît ce bonheur guérisseur de cette nuit noire.

Elle ondoie la fleur de rêve la cajoleuse,

Elle tournoie comme la pie voleuse,

De sa volonté enivrante et mystérieuse.

Mon âme roule sur ce doux délice.

Elle s’enrobe d’une tendre malice,

De cette délicieuse fontaine où glisse

Tous ces rêves qui la tapissent.

L’aurore enflamme le ciel

Demain sera fait de miel

Car il n’y a pas son pareil

Dans ce rêve des merveilles.

Tombe, tombe la pluie,

Où souvenir se mêle dans le temps.

Se cachant sous le parapluie

Il eut pu sembler être celui-ci

Des souvenirs mourant d’ennui.

Bien qu’il ne fasse pas nuit,

La belle de nuit s'épanouit

Ainsi va la vie de l’inouïe.

Cette pensée m'amène

Ah ce printemps sans gêne

Me promène dans cet été à Jérusalem

Il a ce feu d’automne pour diadème

L’hiver sous la neige son emblème.

Je rêve, oui je rêve d’une crème

Celle de la crête de Thélème

Que je savoure sans problème.

Les nymphes jouent avec le jour.

Pour que ce soit plus court

La fleur du ciel parcourt

La destinée sans discours.

La nuit je flirte avec la lune

Le nez en l’air humant la brume.

Le maréchal ferrant frappe l’enclume.

Le pêcheur enlève l’écume.

Les étoiles filent et fument

Les souvenirs s’exhument.

C’est de cet amour que je hume

La galaxie des poètes rêvant aux nues

Je l'arpente sans retenue

Pour voir son contenu

Sans y être vue.

Dans ce songe la sève de deux corps

Prends un tournant brûlant d’effort

Où ils y trouvent le réconfort,

Dans cet immense Océan d'or.

Quand je m'abandonne au soleil,

Sur la plage des merveilles

Les yeux fermés s’émerveillent.

Puis à l'aube enfin je m'éveille

Le feu des caresses s’enraye

Les songes sombrent vers le sommeil

Ils disparaissent au réveil.

Au cœur de vagues rêveuses imprégnées

Du guide de cette destinée ensoleillée,

De cet amour unissant l’effeuillé

Au divin plaisir de l’estampillé

Du large infini du fruit de la veillée.

Souvenirs des nuits de l’atelier

Où il en a été l’élu, le domicilié.

Pour ce moment estampillé

D’un court instant chevalier

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