XXIX
Malgré tout ils continuent
Tous se sont reposés pour certains leurs sacs à dos en protection, de quoi…les lycaons aux pied de Hans, ils sont tristes. Ces pauvres bêtes, savent que leurs amis vont parti pour toujours. Pour eux c’est le parcourt des adieux. Pour la liberté est primordiale, se sera un souvenir éternel.
Que peut leur offrir les hommes ? un parc naturel avec des braconniers comme l’ont connus les grands-parents de Roi-Magic ? ou très certainement dans un zoo. Ils attendent la sortie, le passage est nouveau pour eux. Eux ils passaient côté mer, mais les hommes ne pouvaient sortir par ce passage unique. Seul des enfants pouvaient y passer, eux ils y parvenaient en s’étirant, avec leur proie. Pour la caverne c’est la sécurité, même les serpents n’entre pas car l’eau y est trop froide pour eux.
C’est dans ce temps de réflexions qu’ils sursautent. Une voix inconnue résonne dans la caverne. C’est le branle-bas de combats.
Au son de cette voix venue de l’extérieur, des cris de joies explosent. Les lycaon sont apeurés. La petite tribu est étonnée et s’interroge. Tous sont stressés l’aventure est proche de la fin. Leur crainte, de mauvaises surprises possibles. Leur joie s’estompe devant ce qui reste à faire et les incertitudes de ce futur si proche. Pourtant dans pensées silencieuses : « enfin nous sommes sauvés, c’est certains, c’est un vrai miracle » c’est un vrai charivari indescriptible, un remue-ménage indescriptible dans la caverne.
Les secours appellent. Leurs voix est à peine audible, à la suite de la résonnance imprévue. Les chuchoteries nerveuses, inquiètes, s’interrogent
Macha se fâche, elle reprend ses habitudes militaires, fermement elle intime l’ordre :
S’énerve Luciano. Le silence fait place au remue-ménage indescriptible à la suite de ce contact avec l’extérieur. Enfin le premier contact. Luciano explique avec sa fougue méditerranéenne leur situation. Les secouristes avaient un tel tintamarre avant le récit de Luciano, qu’ils croient à une blague de jeunes désœuvrés ! Ils leurs répondent :
Répond Luciano avec l’intonation désespéré que seul les italien ont la spécialité d’exprimer leurs désespoirs
Sur ceux, la standardiste raccroche violemment. C’est la déception ! que vont-ils faire maintenant. Ils se concertent comme d’habitude.
Au standard l’employée énervée raconte l’appel à Sylvana
Ce que fit l’employée. Elle s’écrit :
Voilà que Pietro arrive et dit dans un italien moderne approximatif grâce au cours de Catarina devenu leur professeur d’italiens moderne.
Catarina rejoint Pietro, et ils retrouvent ce peuple anxieux. Elle leur explique la situation, en détaillant tout de « sur la machine qui parle » à la problématique du départ. Elle les encourage, car ils vont continuer à marcher pour sortir. La peur coure dans le groupe à cette annonce. Catarina les rassure en leur expliquant, pourquoi ils sont déçus et heureux à la fois.
elle ajoute :
C’est alors que Brigitte saisi la main de Pietro, qu’elle passe sur la radio. Au touché voilà que celle-ci se met en marche. De vieilles chansons passe en boucle. Ils sont étonnés, émerveillés et craintifs à la fois. Elle leur explique comment cela marche. Elle leur parle comme à des enfants. Ils sont subjugués. Lorsqu’ils s’approchent, Erhard leur prend la main avec douceur et leur montre comment cela fonctionne, pour qu’ils ne dérèglent rien. Ils promettent de ne plus touche à cet « électroïde-multifonction ». Erhard et Mauricio leur explique que c’est grâce à « électroïde-multifonctions « qu’ils pourront-être sauvés, même si les secours tardent. Ils comprennent qu’ils n’ont rien à craindre, cette machine leur fait toujours peur et en même temps, ils la respectent, c’est pour eux un objet précieux comme l’or et les diamants.
Tous se regroupe autour d’une espèce de barre vitaminé confectionné par Souvanna pendant toute cette histoire plutôt burlesque pensent gentiment les jeunes gens. Après avoir bu et pris ce mini repas vitaminé, l’heure du départ est arrivée. Ils respectent le plan d’origine, en suivant le trajet d’Alex. Cette fois ils iront jusqu’au bout avec ou sans secours. Quand ils seront dans la prochaine salle, ils appelleront à nouveau les secours en espérant être pris au sérieux. Ils sont déterminés, coûte que coûte ils continueront d’avancer, rie ne les fera reculer leur détermination ou retarder davantage leur progression vers l’extérieur.