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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Esprit libre en poésie

 

En juillet c’est

Le mois sacré pour les vacances

Les gosses prennent l’indépendance

À la fête nationale ils y dansent

Les défilés couvrent toute la France

Les marches militaires en cadence

Les régiments mènent la prestance

L’uniforme briqué garde la distance

Les engins ronflants sont la résistance

Suivent le porte-drapeau en élégance

Tous en un seul homme en puissance.

 

Ce mois évoque les vacances la trêve

Allongés sur les plages ou les grèves

La randonnée en montagne s’élève

En campagne elle est rarement brève.

Le retour aux sources un vrai rêve

Souvenirs revisités nous relèvent,

Des fatigues et des sourires d’élèves

Des joies d’enfants en sont la sève

Leurs compagnons sont leur fève

Ils découvrent la joie de cette trêve.

 

Le mois de juillet est le calme de Paris

La banlieue historique en est le pari

Les jardins publics aux massifs fleuris

Rivalisent souvent les zoos favoris

Les musées plaident les confréries

En bateau-mouche la trêve tarie,

Découvrir la Seine est le charivari.

La redécouverte de Paris nous souri

Des impasses typiques crient chéri

Les rues des artistes sont bijouteries

Paris en juillet les vacances sourient.

 

 

 

 

Ce n’est pas un poème, seulement un coup de gueule !!!

Les temps d’abandons des lâches

Ces périodes, celles des abandons,

Sont sous des formes nombreuses.

Il peut –être l’abandon dans les arts,

Dans un livre pendant la sieste,

Sous les lunettes de soleil sur le front

Une plage au sable chaud tout blanc

La peau rougie avant d’être dorée

Sont les temps d’abandon naturel,

Le repos des humains normaux

Mais il y a les monstres.

Ceux-là n’ont rien d’humains

Les abandons cruels sans moralité.

Celui de nos compagnons

  • Qu’ils soient à quatre pattes
  • Qu’ils soient ailés
  • Qu’ils soient à nageoires
  • Qu’ils soient rampants

L’important abandon d’animaux

Interpelle sur la maturité

Et l’éducation reçue de ces êtres.

Ce sont également les mêmes lâches,

 Ils rejettent hypocritement,

  • Le bébé dans la voiture,

Sous un soleil de plomb,

Prétexte bien commode,

 L’oublie de son enfant !

  • La personne âgée gênante, elle rappelle le souvenir de la morale.

Puisqu’ils sont libres de leurs actes, pourquoi s’encombrer ?

Avant les vacances,

Pour certains d’entre eux

C’était leur compagnon

En cause ?

Le financement des vacances,

Ou bien ce qui est courant,

La compagne encombrante,

  • La mémère et ses marmots
  • Ou peu appétissante physiquement

Peu importe son intelligence

Peu importe son cœur d’amour.

La cruauté de ses indélicats,

N’a pas de limite.

Les périodes ? Souvent les vacances,

Également les fêtes nationales

Ou pires les fêtes familiales.

  • Que ce soit Noël ou Nouvel an
  • Les vacances d’hiver en montagne
  • Celles de Pâques ou du printemps

Mais les plus spectaculaires ce sont celles d’été.

Ceux qui osent abandonner

Tout ce qui les dérange sont des ;

  •  Cupides,
  • Prétentieux
  • Lâches

Lorsqu’ils ont une conscience,

Ce qui est rare,

Vivent dans la peur du lendemain,

En conclusion ce sont

Des pauvres d’esprits,

Sans consistance

Malgré leurs prestances,

Ils ne sont qu’une apparence

Avec la dépendance

Sans aucune espérance.

 

 

 

L'histoire de miaou, en mi-août…

 

Epouvanté, miaou, miaou

Ce cri vibre à la belle étoile

Une petite boule de poil,

Perdue désemparée sous le voile.

D’une nuit étoilée royale

Les voitures projettent des cailloux.

 

Le soleil se lève, miaou,

Terrorisée sous sa mère elle appelle.

Sa mère est froide pour elle sans elle,

La faim la terrasse près d’elle

Soudain soulevée par une tractopelle,

Ces cris avertissent l’agent Agaou.

 

C’est à la mi-août, que miaou,

Notre chère minouche est arrivée.

Toute la maisonnée s’est activée,

Que ce soit dans le jardin privé,

Ou dans l’appartement l’activité,

Émerge au rythme du biniou.

19 mai 2015

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