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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonjour mes amis enfin le printemps et le soleil

Bonjour mes amis enfin le printemps et le soleil
Bonjour mes amis enfin le printemps et le soleil

Le regret et la nostalgie sont superflus

 

 
Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
Tout cela m’est bien égal.
C’est avec une certaine nostalgie
Ce refrain de mes jeunes années
Tourne, tourne dans ma tête.
 
Pourquoi regretter ces années ?
Elles passent tel un ouragan,
Personne ne peut les arrêter.
Je ne peux regretter la douceur
De mes années virevoltantes,
Près des fleurs et mes arbres.
Pourquoi dois-je regretter
Cet amour juvénile interdit
Il fut d’une telle tendresse.
Cette chanson me poursuit
Dans mes jours de stress,
Je rumine au lieu de méditer.
Le temps Pascal arrive joyeux
Le bonheur devrait être présent,
Mon âme s’appesantie oppressée.
Le vent de l’oublie est absent
Mes pensées restent lugubres
Dans les couloirs de ma vie.
Mon innocence a fini par m’isoler
D’autres jeunes gens m’ont convoité
Rien, non rien ne saurait être regret.
 
Ce chant de mon enfance me berce
Avec sa voix chaude et rocailleuse
Le regret ne peut pas être tenace.
Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
Tout cela m’est bien égal.
Alumacom
31 août 2016

 

 

« Personne ne peut revenir en arrière dans son passé, mais n’oublions point que le passé lui, peut facilement nous rattraper ! »
Alumacom

Alumacom " le temps"

Notre imaginaire
 
 
Notre imaginaire n’a pas de place
Ni ces mots dans ce monde fadasse
Un espace d’idée débridé
À parlementer avec des déridés
Tu t’ingénies, te décarcasse
De mots, tu t’embarrasses.
Goulûment tu veux dévorer
Toutes ces crudités décorées
L’âme dans l’estomac
Allongé dans un hamac
Tu broies dans le noir
Ce plan du désespoir.
Comment supporter les ardeurs
D’impudiques délires sur l’odeur
La force du philosophe
C’est être l’apostrophe
Pour retour à la raison,
L’éloignement de l’oraison.
Pourtant il n’est rien de plus doux
Que l’agréable espace Pompidou.
Ces parfums envoûtant de tendresse
Ces désirs à devenir des martyrs
Devenant des modèles de bon ton
Ronronnant en bienheureux chaton.
Le désir reste toujours en gestation
Pour ne pas tomber sous les protestations.
Quel que soit l’emploi des mots
L’espace n’est qu’une dynamo
Bien sûr, rien n’est plus sûr
Qu’exagère l’éphémère d’un mur.
L’idée de cet espace résiste,
Il en reste la meilleure piste.
 
Alumacom

Le 20 janvier 2018
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