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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

les saints du jour et la prière pour soutenir sa Sainteté notre Pape François

les saints du jour et la prière pour soutenir sa Sainteté notre Pape François
les saints du jour et la prière pour soutenir sa Sainteté notre Pape François
Prière pour le pape

O Jésus, Roi suprême de l’Église, je renouvelle, en ta présence, mon adhésion inconditionnelle à ton Vicaire sur la terre, le Pape. En lui, tu as voulu nous montrer le chemin sûr que nous devons suivre au milieu du désarroi, de l’inquiétude et du découragement. Je crois fermement que par son intermédiaire, tu nous gouvernes, nous enseignes et nous sanctifies, et qu’ainsi derrière lui, nous formons la véritable Église : une, sainte, catholique et apostolique.

Accorde-moi la grâce d’aimer, de vivre et de propager ses enseignements, comme un fils fidèle. Veille sur sa vie, illumine son intelligence, fortifie son esprit et défends-le de la calomnie et de la malveillance. Calme les vents destructeurs de l’infidélité et de la désobéissance et accorde-nous qu’auprès de lui, ton Église reste unie et ferme dans sa foi et ses œuvres, et qu’elle soit ainsi l’instrument de ta Rédemption.


Amen.

Ste Louise de Marillac

Ste Louise de Marillac

veuve et cofondatrice († 1660)

Fête le 15 Mars

Sainte Louise de Marillac

Veuve et cofondatrice des :

« Filles de la Charité »

 

Dans le Calendrier liturgique universel de l’Église, la fête, actuellement, reste au 15 mars.

La célébration de la fête de Sainte Louise de Marillac (15/03), tombe toujours durant le Carême. Ce temps liturgique n’est  pas très favorable à la célébration des solennités. Or, en toute Congrégation, la fête du saint fondateur a rang de solennité. La Congrégation F.D.L.C. (Filles de la  Charité), par Décret du 4 janvier 2016, a fixé au 9 mai, date de sa béatification, la solennité de sa fondatrice.
 

L

ouise de Marillac, naît le 12 août 1591, à Ferrières-en-Brie où elle fut baptisée avant que son père, dont elle était la fille naturelle, ne s'installât à Paris. Après que son père se fut remarié, avec Antoinette La Camus (12 janvier 1595), elle fut mise, en 1602, en pension chez les Dominicaines du monastère royal Saint-Louis de Poissy où Louis de Marillac avait une tante religieuse ; elle fut ensuite confiée à un petit pensionnat, chez une bonne fille dévote, avec d’autres demoiselles, où elle fut initiée aux travaux ménagers et à la peinture.

 

Après la mort de son père (25 juillet 1604), Louise de Marillac avait songé à devenir capucine, mais elle fut refusée par le provincial des Capucins, Honoré de Champigny.

Le 6 février 1613, on lui fit épouser, à la paroisse Saint-Gervais de Paris, un secrétaire des commandements de Marie de Médicis, Antoine Le Gras, écuyer, homme de bonne vie, fort craignant Dieu et exact à se rendre irréprochable, dont, le 18 octobre 1613, lui naîtra un fils, Pierre-Antoine, qu'elle élèvera, à partir de 1619, avec les sept enfants d'une de ses cousines défunte.

 

Mélancolique, inquiète et scrupuleuse, Louise de Marillac était sans cesse agitée par le doute sur elle-même que Jean-Pierre Camus, son directeur spirituel, avait beaucoup de mal à apaiser. Son angoisse grandit encore lorsque son mari tomba malade d’un mal que l’on jugeait incurable et dont elle se croyait la cause pour n’être pas entrée en religion.

Le 4 juin 1623, jour de la Pentecôte, elle était à la messe, à Saint-Nicolas-des-Champs, lorsque, en un instant, elle fut libérée de ses doutes : « Je fus avertie que je devais demeurer avec mon mari et qu’un temps viendrait où je serai en état de faire vœu de pauvreté, chasteté et obéissance, et que ce serait avec des personnes dont quelques-unes feraient le semblable... »

 

Vers la fin de 1624, elle se mit sous la direction de saint Vincent de Paul qui s’était fait longtemps prier pour accepter. Après la mort de son mari, le 21 décembre 1625, elle fit vœu de viduité et mena dans le monde une vie toute religieuse où elle conjuguait, avec un règlement très strict, la prière et le secours des pauvres, sans cesser d'être attentive à l'éducation de son fils. Elle s’installa rue Saint-Victor, tout près du collège des Bons-Enfants que Mme de Gondi venait de donner à Vincent de Paul qui l’employait dans les Charités, ces groupements de dames et de filles pour l’assistance des malades dans les paroisses et les visites à domicile.

 

En 1628, lorsque son fils fut entré au séminaire Saint-Nicolas-du-Chardonnet, elle disposa  davantage de temps pour se consacrer aux œuvres et Vincent de Paul la chargea de surveiller les Charités, de modifier leur règlement et de visiter celles des provinces. Elle n’eut aucun mal à persuader Vincent de Paul que les Dames associées ne pouvaient rendre aux malades les services pénibles qu’exigeait leur état, et qu’il fallait songer à réunir des personnes zélées pour se dévouer entièrement à l’œuvre sans autres devoirs et préoccupations au dehors. C’est ainsi que naquirent les Filles de la Charité.

 

Jusqu'à sa mort (15 mars 1660), elle gouverna les Filles de la Charité pour qui elle rédigea trois règlements successifs.

 

Son corps repose à Paris, au 140 rue du Bac, dans la Chapelle Notre Dame de la Médaille Miraculeuse, où il y a aussi le corps de sainte Catherine Labourée et le cœur de saint Vincent de Paul.

 

Louise de Marillac fut béatifiée le 9 mai 1920 par Benoît XV (Giacomo della Chiesa, 1914-1922) et canonisée le 11 mars 1934 par Pie XI (Ambrogio Damiano Ratti, 1922-1939).

 

Saint Jean XXIII (Angelo Giuseppe Roncalli, 1958-1963) la proclama, en 1960, patronne de tous ceux qui s'adonnent aux œuvres sociales chrétiennes.

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Saint Klemens Maria Hofbauer
Prêtre rédemptoriste
(1751-1820)

K

lemens Maria, dans le siècle Jean Dvorak, Hofbauer naît à Tasswitz, en Moravie, le 26 décembre 1751. Son père meurt, quand il n'a que 7 ans, laissant douze enfants en bas âge. Jean veut être prêtre, mais sa mère est sans ressources : il sera boulanger. Affamé de Dieu, il se fait ermite, dès qu'il le peut, sous le nom de Clément-Marie. Des bienfaitrices lui ouvrent le chemin des études et de la théologie.

Nourri de la spiritualité et des écrits de saint Alfonso Maria de’ Liguori, il entre, le 24 octobre 1784, dans la congrégation, encore modeste, de l’ordre napolitain des rédemptoristes dont il est le premier membre non italien.

Âgé de trente-trois ans, il est ordonné prêtre le 29 mars 1785. Avec son ami, le Père Hübl, il quitte Rome pour Varsovie où il fonde la mission perpétuelle de Saint-Bennon. Chassé par la Révolution, il se réfugie à Vienne en Autriche. Clément est le grand promoteur de l’expansion des Rédemptoristes hors de l’Italie. Il est souvent appelé le second fondateur des Rédemptoristes.

Il est resté pour les Rédemptoristes le symbole de l’espérance, qui fait sa poussée victorieuse, malgré des lendemains qui semblent impossibles; tout cela, en raison de sa foi et de sa grande confiance en Dieu. Tout dans sa vie, dans sa personnalité et dans son activité pastorale jaillit d’une maturité spirituelle, qui en a fait un pilier de l’Église en son temps. Il y a chez Clément-Marie une ténacité exemplaire dans la recherche de sa vocation, dans son activité pastorale à Varsovie, dans ses efforts pour implanter la Congrégation et la garder toute fervente et vivante, selon l’esprit propre des Rédemptoristes.
« La Gloire de Dieu, l’intérêt de l’Église et le salut des âmes, voilà ce qui me tient à cœur ».
Il meurt à Vienne le 15 mars 1820.

Clément-Marie Hofbauer a été béatifié le 29 janvier 1888, par le pape Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903), et canonisé le 20 mai 1909, par saint Pie X (Giuseppe Melchiorre Sarto, 1903-1914).
En 1914 il a été déclaré saint patron de la Moravie et de Vienne.

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