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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux Irène et aux très Saintes âmes du 5 avril

SAINT DU JOUR
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Date 05 avril

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Sainte Irène

Martyre à Thessalonique, avec Agapé et Chiona (✝ 304)

Saintes Irène, Agapé et ChionaCe n'était qu'une jeune fille quand éclata la persécution à Salonique. Comme beaucoup d'autres, elle s'enfuit dans la montagne pour se cacher, mais elle se reprocha cette lâcheté et revint à la maison. C'est là qu'elle fut arrêtée. Le juge lui offrit la vie sauve si elle apostasiait. Elle refusa et fut brûlée vive.
Illustration: Saintes Irène, Agapé et Chiona.
À Thessalonique en Macédoine, l'an 304, sainte Irène, vierge et martyre. Parce qu'elle avait caché les livres saints, malgré l'édit de Dioclétien, et qu'elle refusait de sacrifier aux dieux, le préfet Dulcétius, qui avait déjà fait mourir ses deux sœurs, Agapè et Chionia, donna l'ordre de l'exposer nue au lupanar, puis la fit jeter dans un brasier.

Martyrologe romain

Autres Fêtes du Jour
Saint Albert de Montecorvino  évêque de Montecorvino (✝ 1127)
Bse Catalina de María Rodriguez  fondatrice des Servantes du Sacré-Cœur de Jésus et des Pauvres (✝ 1896)
Sainte Catherine Thomas  Vierge (✝ 1574)
Vénérable Elisabeth Bruyère  religieuse québécoise (✝ 1876)
Saint Georges   Martyr (✝ 1801)
Saint Gérard de Corbie  Confesseur (✝ 1095)
Vénérable Jesús María Echevarría y Aguirre  évêque mexicain (✝ 1954)
Sainte Julienne de Cornillon  religieuse Augustine (✝ 1258)
Bienheureux Mariano de la Mata Prêtre de l'Ordre de Saint Augustin, missionnaire au Brésil (✝ 1983)
Sainte Marie-Crescence  Tertiaire de Saint-François (✝ 1744)
martyrs en Maurétanie  (✝ 459)
martyrs en Perse  cent-vingt martyrs (✝ 344)
Saint Panaghiotis  Martyr (✝ 1820)
Sainte Pherbutha  martyre à Séleucie (✝ v. 342)
Vénérable Rosalie Cadron-Jetté  fondatrice de l'institut de la Miséricorde (✝ 1864)
Saints Théodora et Didyme  Martyrs à Alexandrie en Egypte (✝ 304)
Saintes Théodora et Théopiste  Moniales à Thessalonique (✝ 879)
Saint Vincent Ferrier  Frère dominicain (✝ 1419)
 
 
Saint Vincent Ferrier

Missionnaire
(1357-1418)

Saint Vincent Ferrier
Saint Vincent Ferrier

Vincent naquit à Valence, en Espagne. Sa mère, avant sa naissance, eut révélation de son avenir. Inquiète, elle consulta un saint personnage et en reçut l'assurance que cet enfant prédestiné serait un grand saint, dont l'éloquente parole ferait fuir les loups et ramènerait au bercail les brebis égarées.

Tout petit enfant, il réunissait ses camarades, leur parlait du bon Dieu et de la Sainte Vierge avec tant d'onction et d'amour, qu'ils en étaient touchés.

Après avoir édifié quelques années le couvent des Dominicains de Valence, il fit ses premiers essais dans la prédication, et l'on accourut bientôt de loin pour l'entendre. Il puisait son éloquence dans les plaies sacrées du Sauveur et dans les lumières de l'oraison. Un jour qu'il devait prêcher devant un grand seigneur, il se prépara, contre son ordinaire, plus par l'étude que par la prière; son sermon fut remarquable. Mais le lendemain, prêchant devant le même seigneur, après une longue préparation aux pieds du crucifix, il parla avec beaucoup plus de chaleur et d'onction. Le prince lui en demanda la raison:

"Monseigneur, dit le Saint, c'est Vincent qui a prêché hier, et c'est Jésus-Christ qui a prêché aujourd'hui."

Vincent avait quarante ans quand il entra pleinement dans sa vocation de missionnaire, après avoir été guéri d'une grave maladie par Notre-Seigneur. Un bâton d'une main, un crucifix de l'autre, il parcourut à pied presque toutes les provinces de l'Espagne, de la France et de l'Italie, instruisant, édifiant, convertissant les foules; il alla jusqu'en Angleterre, en Écosse et en Irlande, répandre la semence de la parole divine.

Les églises ne suffisant pas à contenir la foule de ses auditeurs, il prêchait ordinairement sur les places publiques et en pleine campagne. On compte que ce prédicateur tout divin convertit vingt-cinq mille juifs et autant de musulmans, et retira du vice plus de cent mille pécheurs. Dieu renouvela pour lui le miracle des premiers jours de l'Église: Vincent ne prêchait qu'en latin et en espagnol, et tous ses auditeurs, quels qu'ils fussent le comprenaient dans leur langue.

Son triomphe était la prédication des fins dernières; il fut l'apôtre du jugement dernier, et les foules frémissaient de terreur dès qu'il répétait les paroles du prophète:

"Levez-vous, morts, et venez au jugement."

Quand Vincent prêchait en quelque lieu, les marchands de disciplines, de cilices et autres instruments de mortification accouraient et ne pouvaient suffire à satisfaire les acheteurs. Tous les jours, après le sermon, son compagnon sonnait les miracles, et on apportait les malades en foule. Vincent Ferrier mourut à Vannes, en 1418.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Sainte Julienne de Cornillon
Religieuse augustine

 

Sainte Julienne est célébrée liturgiquement le 5 avril, en Belgique, et plus solennellement le 7 août dans le diocèse de Liège. 

 

J

ulienne naît entre 1191 et 1192 près de Liège, en Belgique. Il est important de souligner ce lieu, car à cette époque, le diocèse de Liège était, pour ainsi dire, un véritable « cénacle » eucharistique. Avant Julienne, d'éminents théologiens y avaient illustré la valeur suprême du sacrement de l'Eucharistie et, toujours à Liège, il existait des groupes féminins généreusement consacrés au culte eucharistique et à la communion fervente. Guidées par des prêtres exemplaires, elles vivaient ensemble, se consacrant à la prière et aux œuvres de charité.

 

Devenue orpheline à l'âge de cinq ans, Julienne, avec sa sœur Agnès, fut confiée aux soins des sœurs augustiniennes du couvent-léproserie du Mont-Cornillon. Elle fut éduquée surtout par une religieuse prénommée Sapience, qui suivit sa maturation spirituelle, jusqu'à ce que Julienne elle-même reçoive l'habit religieux et devienne elle aussi moniale augustinienne. Elle acquit une culture considérable, au point de lire les œuvres des Pères de l'Église en latin, en particulier saint Augustin, et saint Bernard. Outre sa vive intelligence, Julienne faisait preuve, dès le début, d'une propension particulière pour la contemplation ; elle possédait un sens profond de la présence du Christ, dont elle faisait l'expérience en vivant de façon particulièrement intense le sacrement de l'Eucharistie et s'arrêtant souvent pour méditer sur les paroles de Jésus :

« Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde » (Mt 28, 20).

 

À l'âge de seize ans, elle eut une première vision, qui se répéta ensuite plusieurs fois dans ses adorations eucharistiques. La vision présentait la lune dans toute sa splendeur, dont le diamètre était traversé par une bande noire. Le Seigneur lui fit comprendre la signification de ce qui lui était apparu. La lune symbolisait la vie de l'Église sur terre, la ligne opaque représentait en revanche l'absence d'une fête liturgique, pour l'institution de laquelle il était demandé à Julienne de se prodiguer de façon efficace: c'est-à-dire une fête dans laquelle les croyants pouvaient adorer l'Eucharistie pour faire croître leur foi, avancer dans la pratique des vertus et réparer les offenses au Très Saint Sacrement.

 

Pendant environ vingt ans, Julienne, qui entre-temps était devenue prieure du couvent, conserva le secret de cette révélation, qui avait rempli son cœur de joie. Puis elle se confia à deux ferventes adoratrices de l'Eucharistie, la bienheureuse Ève, qui menait une vie d'ermite, et Isabelle, qui l'avait rejointe dans le monastère du Mont-Cornillon. Les trois femmes établirent une sorte d' « alliance spirituelle », dans l'intention de glorifier le Très Saint Sacrement. Elles demandèrent également l'aide d'un prêtre très estimé, Jean de Lausanne, chanoine de l'église de Saint-Martin à Liège, le priant d'interpeller les théologiens et les ecclésiastiques au sujet de ce qui leur tenait à cœur. Les réponses furent positives et encourageantes.

 

Ce qui arriva à Julienne de Cornillon se répète fréquemment dans la vie des saints : pour avoir la confirmation qu'une inspiration vient de Dieu, il faut toujours se plonger dans la prière, savoir attendre avec patience, chercher l'amitié et la confrontation avec d'autres bonnes âmes, et tout soumettre au jugement des pasteurs de l'Église. Ce fut précisément l'évêque de Liège, Robert de Thourotte, qui, après avoir hésité au début, accueillit la proposition de Julienne et de ses compagnes, et qui institua, pour la première fois, la solennité du Corpus Domini dans son diocèse. Plus tard, d'autres évêques l'imitèrent, établissant la même fête dans les territoires confiés à leurs soins pastoraux.

 

Le Seigneur demande toutefois souvent aux saints de surmonter des épreuves, pour que leur foi soit accrue. Cela arriva également à Julienne, qui dut subir la dure opposition de certains membres du clergé et du supérieur même dont dépendait son monastère. Alors, de sa volonté, Julienne quitta le couvent de Mont-Cornillon avec quelques compagnes, et pendant dix ans, de 1248 à 1258, elle fut l'hôte de divers monastères de sœurs cisterciennes. Elle édifiait chacun par son humilité, elle ne faisait jamais de reproches ou de critiques à ses adversaires, mais elle continuait à diffuser avec zèle le culte eucharistique.

Elle meurt en 1258 à Fosses-La-Ville, en Belgique. Dans la cellule où elle gisait, le Très Saint-Sacrement fut exposé et, selon les termes de son biographe, Julienne mourut en contemplant avec un dernier élan d'amour Jésus Eucharistie, qu'elle avait toujours aimé, honoré et adoré.

 

Jacques Pantaléon de Troyes, qui avait connu la sainte au cours de son ministère d'archidiacre à Liège, fut lui aussi conquis à la bonne cause de la fête du Corpus Domini. Ce fut précisément lui, devenu Pape sous le nom d'Urbain IV, qui institua en 1264 la solennité du Corpus Domini comme fête de précepte pour l'Église universelle, le jeudi suivant la Pentecôte. (...)

 

En nous souvenant de sainte Julienne de Cornillon renouvelons nous aussi la foi dans la présence réelle du Christ dans l'Eucharistie.

 

Benoît XVI - Audience générale du mercredi 17 novembre 2010

17 novembre 2010, Sainte Julienne de Cornillon
 

Vénérable Elisabeth Bruyère

religieuse québécoise (✝ 1876)

Le Pape reconnaît les vertus héroïques de trois prêtres et cinq religieuses, décret du 14 avril 2018
Parmi eux figure Elisabeth Bruyère (1818-1876), religieuse québécoise qui participât activement à la lutte contre le typhus qui ravage le Québec au milieu du XIXe siècle.

Fondatrice de la communauté 'Les Sœurs de la Charité d'Ottawa' et du premier hôpital d'Ottawa
Née le 19 mars 1818, Élisabeth Bruyère fut une femme chaleureuse de grande compassion. Cette chrétienne profondément dévouée fut attentive aux besoins de son époque, et elle chercha à contribuer à l'amélioration de Bytown (maintenant connu sous le nom d'Ottawa) sur les plans social, moral et spirituel. Sa vie témoigna de son amour pour Dieu et pour les personnes défavorisées.
Elle meurt le 5 avril 1876.
- Soins continus Bruyère, vidéo
- Ancré au cœur de votre collectivité, Bruyère joue un rôle essentiel dans le système de santé depuis plus de 170 ans.
Bruyère, organisme de soins de santé catholique visant l'optimisation de la qualité de vie des gens qui composent la collectivité diversifiée que nous servons, en français et en anglais.
- Notre histoire débute avec une dame remarquable

« Toute mon œuvre a été bénie par Dieu parce que tous mes gestes ont été accomplis conformément à Sa Volonté AB. »

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