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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle.

Évangile de Jésus-Christ selon
saint Matthieu 25,31-46.


En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.
Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs :
il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.
Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.
Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”
Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”
Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : “Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.
Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.”
Alors ils répondront, eux aussi : “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?”
Il leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.”
Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

Syméon le Nouveau Théologien
(v. 949-1022)
moine grec

Hymnes 42, SC 196 (Hymnes III ; trad. J. Paramelle et L. Neyrand, éd du Cerf, 2003 ; p. 37-39. 45-49 ; rev.)


« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire »


Le commencement de la vie, pour moi, c’est le terme, et le terme, pour moi, le commencement. (…) Je nais terre, de la terre, et corps, d’un corps, corruptible ; oui, d’un être corruptible et, mortel que je suis, je passe un peu de temps sur terre à vivre dans la chair et je meurs et, au sortir de cette vie, j’en commence une autre. Je laisse dans la terre mon corps destiné à ressusciter, à vivre une vie sans fin jusque dans les siècles. Maintenant, donc, jette les yeux, Dieu ; maintenant, laisse-toi attendrir, Unique, maintenant, prends-moi en pitié ! (…)

            Je t’en prie, Maître ; je t’en supplie, accorde-moi cette miséricorde, mon Sauveur, que pour moi le jour où mon âme sortira de mon corps, je puisse d’un simple souffle, couvrir de confusion tous ceux qui viendront m’attaquer, moi, ton serviteur ; que je puisse franchir le pas sans dommage, protégé par la lumière de ton Esprit, et me tenir face à ton tribunal, ayant avec moi, Christ, ta grâce divine pour me protéger et m’épargner toute confusion ! Qui donc, en effet, oserait paraître devant toi s’il n’est revêtu de cette grâce, s’il ne la possède au-dedans de lui et n’est illuminé par elle ? (…) Lequel d’entre nous pourra jamais, le moins du monde, par sa propre force ou ses efforts Le voir si Lui-même n’envoie son Esprit divin et ne confère, grâce à Lui, à l’infirmité de notre nature, vigueur, force et puissance, si Lui-même ne rend l’homme capable de contempler sa gloire à Lui, sa gloire divine ? Car, autrement, pas un homme ne verra ou n’aura la force de contempler le Seigneur venant en gloire.

            C’est ainsi que les injustes seront séparés des justes, et que les pécheurs seront séparés des justes, et que les pécheurs seront engloutis par l’obscurité, tous ceux qui dès ici-bas ne posséderont pas en eux la lumière : mais ceux qui dès cette vie lui étaient conjoints, alors aussi ils seront conjoints à Dieu, d’une manière mystérieuse et très réelle ils demeureront inséparablement dans son intimité.

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