21h00 : Plusieurs milliers de "gilets jaunes" - 2 000 selon la
préfecture, dont 800 casseurs selon cette même source - ont manifesté dans le centre de Toulouse, un chiffre en hausse
par rapport à samedi dernier. De nombreux incidents sont à
signaler, donnant lieu à 22 interpellations.
20h55 : Une fois encore, une extrême violence est venue
attaquer la République - ses gardiens, ses représentants,
ses symboles. Ceux qui commettent ces actes oublient le
cœur de notre pacte civique. Justice sera faite. Chacun
doit se ressaisir pour faire advenir le débat et le dialogue.
20h55 : "Justice sera faite", réagit Emmanuel Macron sur
Twitter après l'invasion du ministère de Benjamin
Griveaux.
20h46 : Défendre la justice et le mérite, c’est un noble combat. Mais l’anarchie, la violence et le désordre sont inadmissibles.
Je m’oppose politiquement à @BGriveaux,
mais ce soir, je suis à ses côtés. Je suis toujours du côté de
l’ordre.
20h46 : Le député LR Guillaume Peltier apporte lui aussi son
soutien à Benjamin Griveaux.
20h36 : Christophe Castaner a donné des précisions sur les
incidents lors de son point presse. "Des mairies ont été
attaquées, celles de Rennes, de Rouen, des institutions,
comme le tribunal de grande instance de Perpignan, des gendarmeries ont été elles aussi attaquées, des journalistes
et des journaux ont été malmenés", a-t-il ajouté, précisant
que 56 500 membres des forces de l'ordre avaient été
mobilisés dans le pays.
20h25 : "C'est un acte regrettable, inadmissible, qui ne
correspond absolument pas à l'esprit du mouvement social
des "gilets jaunes". J'espère que les coupables seront jugés correctement par rapport à ces méfaits qui entachent la
légitimité de nos revendications."
Interrogé par franceinfo, Benjamin Cauchy se désolidarise de
l'action des manifestants qui ont forcé la porte du ministère
de Benjamin Griveaux avec un monte-charge. "Ces exactions
, j'en suis certain, ne sont pas le fait de 'gilets jaunes' mais de
personnes qui profitent de ce mouvement social pour casser, pour détruire."
20h22 : Ce soir dans le bâtiment que nous partageons avec @BGriveaux.Voilà sans doute la manière dont
M. Drouet et ses indéfectibles soutiens comptaient
« entrer à l’Elysée ».Voilà le résultat des dérives verbales
et des appels à l’insurrection. Honte aux pyromanes de
la république.
20h22 : Le "colocataire" de Benjamin Griveaux, Marc
Fesneau, ministre des Relations avec le Parlement, publie
des photos de la cour du bâtiment.
20h17 : En annonçant qu’il fallait aller « plus loin dans le
changement » en étant « plus radicaux », @BGriveaux a
provoqué la colère et la violence. Ses propos et l’attaque
de son Ministère sont irresponsables et inadmissibles. Dans quel état est l’État ?
20h17 : En revanche, Gilbert Collard (député RN) dénonce
l'attaque du ministère, mais aussi les propos du ministre
sur les agitateurs.
20h13 : A travers le porte-parole du gouvernement
@BGriveaux c’est la démocratie et la République qui sont visées.Mais derrière les fonctions, il y a aussi un humain,
père de jeunes enfants... où est la fraternité ?L’engagement
politique ne doit pas se faire au prix de ces violences !
20h12 : Attaque contre @BGriveaux et ses équipes, violences contre les forces de l’ordre et la presse, destruction de biens publics...autant d’actes que nous ne pouvons pas tolérer à l’encontre de nos institutions, garantes de notre démocratie. Je leur apporte
tout mon soutien.
20h12 : De nombreux élus soutiennent Benjamin Griveaux après l'envahissement de son ministère.
20h31 : Le boxeur de gendarme a été identifié par la police.
Il s'agit d'un boxeur professionnel, qui évolue en région
parisienne.
19h52 : "50 000, ça fait un peu de plus d'une personne par
commune de France. C'est cela la réalité du mouvement des 'gilets jaunes' aujourd'hui. Donc on voit bien que ce mouvement n'est pas représentatif de la France."
19h51 : Alors @anonyme le jour du 29 décembre, le ministère de l'Intérieur n'avait communiqué jusqu'en milieu d'après-midi, avec ce chiffre partiel. Le chiffre définitif n'a été donné que cette semaine.
19h50 : 32000 ? Pourquoi tout le monde dit 12000 pour le 29 ????
19h49 : Voici les chiffres donnés par le ministère de l'Intérieur pour les précédents samedis :
- 32 000 le 29 décembre
- 36 000 le 22 décembre
- 66 000 le 15 décembre
- 125 000 le 8 décembre
- 75 000 le 1er décembre
- 106 000 le 24 novembre
- 282 000 le 17 novembre
19h42 : La manifestation des gilets jaunes a rassemblé 50 000 personnes en France, indique Christophe Castaner le ministre de l'Intérieur. C'est presque deux fois plus que la semaine dernière.
19h37 : La préfecture de police de Paris fait état de 24 interpellations dans la capitale à l'heure actuelle.
19h35 : Devant l’ambassade de @SuedeenFR et l’ambassade de #Tunisie @ambtunfr des #GiletsJaunes mettant des feux!! Et la #police est où??? Grâce aux voisins solidaires nous avons su éteindre les feux... @mairie7 @datirachida #Acte8@francediplo@SweMFA
19h35 : L'ambassadrice de Suède regrette sur Twitter d'avoir été abandonnée par les forces de l'ordre pour contrôler des feux de véhicules causés par des gilets jaunes devant l'ambassade.
19h28 : Quatre CRS et trois "gilets jaunes" ont été légèrement blessés cet après-midi lors de la manifestation montpelliéraine des gilets jaunes. Cinq personnes y ont été interpellées. "De nombreux dégâts ou perturbations ont été constatés dans le secteur de la gare: terrasses de bistros dévastés, pavés arrachés, socles de parasols brisés pour les envoyer sur les forces de l'ordre, poubelles brûlées, tramway bloqué", décrit la direction départementale de la sécurité publique (DDSP).
19h25 : @vicking53 Vous n'êtes pas obligés, ça aide à trier les messages dans le live et par exemple, les messages avec le # se retrouvent dans le direct consacré à l'acte 8 de la mobilisation. Mais si besoin, je le rajoute. En revanche, je vous préviens que je reçois une douzaine de commentaires chaque minute, donc je ne peux pas passer chacun d'entre vous (et ça serait assez illisible).
19h23 : Un engin de chantier pour détruire la façade de plusieurs banques, image assez surréaliste Rue de Grenelle à Paris.… https://t.co/DzqceYrp0l
19h25 : L'engin de chantier, un chariot élevateur, a ensuite défoncé la devanture de plusieurs banques dans la rue de Grenelle, où se trouvent les bureaux de Benjamin Griveaux.
19h18 : Va t on laisser encore longtemps des élus de la République être insultés, menacés, nos policiers frappés et agressés par ces ennemis de la démocratie ? Il est temps de sévir !
19h17 : Benjamin Griveaux a entièrement raison. C’est inadmissible. J’espere que ces personnes vont etre identifiées et interpellées. Ca suffit cette escalade de violence.
19h14 : "Ceux qui sont rentrés ici aujourd'hui se sont mis hors de la République. J'espère qu'on les retrouvera. (...) Evidemment c'est gravissime. je crois que c'est le fait d'une minorité qu'on invite sur les plateaux télé. ('...) Ceux qui veulent radicaliser le mouvement trouveront toujours face à eux une République qui se tient debout."
19h22 : Benjamin Griveaux parle de trois ou quatre manifestants lors de l'intrusion.
19h12 : "Il n'y a pas eu de contact avec les manifestants. J'étais dans mon bureau en train de travailler. Mon officier de sécurité m'a dit : "monsieur le ministre, il faut partir". On a mis en sécurité, pas que moi, mais mes équipes."
19h11 : "C'est jamais très agréable défoncer à coup d'engin de chantier l'endroit où vous travaillez, mais ce n'est pas moi qui ait été attaqué, c'est la République, c'est nos institutions", déclare Benjamin Griveaux devant son ministère.
19h07 : La circulation a repris sur les Champs-Elysées, avec encore de nombreuses camionnettes de police le long de la chaussée.
19h03 : Les portes du secrétariat d’Etat de @BGriveaux détériorées après une intrusion. Dans l’après-midi, un groupe est entré dans la cour grâce à un engin de chantier. @BFMTV
19h03 : @anonyme Plus d'informations non, mais la photo postée par notre confrère laisse peu de doute sur l'intrusion dans le ministère.
19h02 : Bonsoir. Je viens d’entendre sur un chaîne concurrente que Benjamin Grivaux aurait été évacué de ses bureaux. Avez-vous plus d’infos ? Merci.
18h48 : Gilets jaunes à Bordeaux : violences sur la Place Pey-Berland (Photo : Guillaume Bonnaud) https://t.co/O4tm2Cjhrwhttps://t.co/4TsaWLq27V
18h48 : Situations tendue à Bordeaux où plusieurs voitures ont été incendiées dans le quartier Pey-Berland, situé dans le centre de la ville, indique Sud-Ouest.
18h47 : Les forces de l'ordre organisent l'évacuation des Champs-Elysées, avec une rangée de CRS et un impressionnant déploiement de camions. Des scènes qu'on a déjà vu plusieurs fois ces derniers samedis.
18h39 : Avant dispersion, les #giletsjaunes font une haie d’honneur aux motards qui ont sécurisé la manifestation de Clermont-Ferrand
18h38 : À Clermont, les #giletsjaunes s’assoient, allument des bougies et respectent une minute de silence à la mémoire des onze victimes depuis le début du mouvement
18h39 : Il serait réducteur de ne vous parler que de là où ça chauffe. A Clermont-Ferrand, en Auvergne, les choses se sont très bien passées.
Merci à @anonyme pour m'avoir signalé le tweet dans les commentaires.
18h36 : Je compte au moins six feux en 100 mètres. La fumée du principal est impressionnante #Caen #GiletsJaunes https://t.co/jUY7qsQjLS
18h35 : À Caen les forces de l'ordre chargent, les #GiletsJaunes reculent #ActeVIII https://t.co/FCKbGMSWcl
18h35 : @anonyme Effectivement, comme l'attestent ces images de Liberté Caen, un hebdomadaire local. Selon des journalistes sur place, les forces de l'ordre chargent pour disperser les manifestants.
18h33 : Pas d'infos sur ce qu'il se passe à Caen, la situation est loin d'être stabilisée
18h31 : Soutien absolu aux forces de l’ordre pour ce nouveau samedi de mobilisation et de courage. Tout sera fait pour identifier les agresseurs clairement organisés en meutes haineuses. Insupportable négation du droit absolu de manifester.
18h31 : Les violents opportunistes s’infiltrent dans les rassemblements pour casser, agresser policiers et gendarmes. Ceux qui leur offrent, en toute connaissance de cause désormais, l’occasion de réaliser leur entreprise destructrice doivent aujourd’hui prendre leurs responsabilités.