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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Saintes âmes du 24 mars

SAINT DU JOUR
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Date 24 mars

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

SAINTE CATHERINE DE SUÈDE, FILLE DE SAINTE BRIGITTE, MONIALE À VADSTENA

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Fille de Sainte Brigitte, Catherine de Suède épouse un noble par la volonté de son père, mais conserve sa virginité. Prière et ascèse caractérisent sa vie entremêlée avec celle de sa mère. Première Abbesse du monastère de Vadstena, elle meurt le 24 mars 1381. 

 

Six des 8 enfants de Brigitte de Suède et de Ulf, Catherine naît en Suède en 1331. Elle est éduquée aux usages et préceptes de l’Eglise catholique et instruite à l’amour envers le prochain. Témoin au procès de canonisation de sa mère elle déclarera «Je me rappelle comment maman me prenait avec elle ensemble avec mes sœurs, quand elle allait visiter les hôpitaux qu’elle avait fait construire, et elle y soignait, par ses propres mains, sans répulsion, les plaies et les blessures des malades». C’était, en effet, le désir de Brigitte que ses enfants apprennent à servir le Seigneur dans les pauvres et les malades. Catherine grandit dans ce climat fortement imprégné de l’esprit de l’Evangile. C ’est quand elle était encore enfant que sa mère est appelée à vivre à la Cour de Suède comme gouvernante de la jeune épouse du roi Magnus Eriksson, Blanche de Namur. Puis, Catherine est confiée, ensemble avec sa sœur Ingeborg, au monastère cistercien de Riseberga. Quelque temps après, Brigitte laisse Stockholm, en raison de certains désaccords avec le Palais, et du chagrin à la suite de la mort de son fils Gudmar d’à peine 11 ans. Et parce que voulant approfondir sa foi, elle décide d’ entreprendre des pèlerinages ensemble avec son mari; Catherine est hôte , pour poursuivre ses études, au couvent dominicain de Skenninge avec sa sœur Cécile. Elle souffrira du manque de la vie familiale.

 

De la Suède en Italie

Catherine a 14 ans quand son père, de retour avec sa femme de Saint Jacques de Compostelle, gravement malade, décide de passer les dernières années de sa vie dans le monastère cistercien de Alvastra. Mais il veut voir sa fille mariée et la donne en mariage à Edgar von Kyren. Catherine , quoique contraire à ce mariage, obéit aux parents, mai d’un commun accord avec son époux, elle fait vœu de chasteté. Et ensemble avec lui elle conduit un style de vie monastique, fait de prières, jeûnes et pénitences. Son modèle est celui de sa mère Brigitte qui, après la mort de son mari Ulf se retire elle aussi à Alvastra pour ensuite fonder, quelque temps après, un monastère a Valdstena. Catherine l’aime, l’admire profondément et aspire à la sainteté mais, contrairement à sa mère, elle ne voit pas clairement comment servir l’Eglise. En 1349 Brigitte part pour Rome pour obtenir l’approbation de sa fondation de Vadstena et pour solliciter le retour du Pape d’Avignon à Rome. Catherine est attristée par cet éloignement, mais l’année suivante elle rejoint sa mère à l’occasion de l’Année Sainte, et pour répondre à l’invitation à visiter la tombe de Pierre et les autres grandes basiliques romaines afin d’ obtenir les indulgences.

 

La période de l’inquiétude

Pendant qu’elle se trouve à Rome, son mari Edgar, meurt; alors sa mère lui demande de rester en Italie. Mais elle a la nostalgie de la Suède, souffre la solitude, et fait de la dépression. Brigitte lui interdit de sortir toute seule de la maison car la Ville n’est pas sûre pour une jeune et belle suédoise qui attire les regards malintentionnés. Catherine refuse des propositions de mariage et fuit les différents prétendants. Le cerf accolé souvent à son portrait lui aurait sauvée en distrayant un prétendant repoussé qui voulait l’enlever. Pour tenir éloignés les hommes Catherine va jusqu’à porter des vêtements simples ou usés. Tourmentée par l’inquiétude, elle ne sait vers quel choix de vie s’orienter. Pour comprendre la volonté de Dieu elle prie alors la Vierge qui, dans un songe, l’invite à obéir à sa mère. Elle la suivra dans chacune de ses initiatives en épousant totalement et avec amour ses causes.

En mission avec la mère Brigitte et abbesse à Vadstena

Ensemble avec Brigitte, Catherine se dévoue à la catéchèse auprès des nobles familles romaines, elle se prodigue en œuvres caritatives, défend le projet de Vadstena, fait des pèlerinages. Avec elle, pendant environ vingt ans , elle réside dans une maison aux abord de Campo dei Fiori, en vivant dans l’extrême pauvreté faite quotidiennement d’activités pastorale, prière et ascétisme rigide. Le 23 juillet 1373 Brigitte meurt. Elle avait demandé à sa fille que sa dépouille mortelle soit enterrée au monastère de Vadstena. Après un long voyage, Catherine y parvient le 4 juillet de l’année suivante et décide de se faire moniale. Elle est élue abbesse mais peu de temps après elle retourne à Rome pour demander la canonisation de sa mère et obtenir l’approbation de la règle de l’Ordre qu’elle a fondé. Dans les cinq années suivantes Catherine recueille des témoignages sur sa mère et rencontre d’abord Grégoire XI, puis Urbain VI. Ce dernier approuve la Règle de l’Ordre brigidin par une bulle du 3 décembre 1378, mais laisse de côté la Cause de canonisation de Brigitte. C’est après avoir rassemblé toute la documentation nécessaire, que Catherine rentre à Vadstena où elle meurt le 24 mars 1381.

Autres Fêtes du Jour
Saint Aldemar  Diacre à l'abbaye du mont Cassin (Xe siècle)
Saint Artémon   disciple de saint Paul, évêque de Séleucie de Pisidie en Asie Mineure (Ier siècle.)
Saint Bernulf   martyr (IXe siècle)
Bienheureuse Berthe  (✝ 1163)
Saint Caimin  Abbé irlandais (✝ 653)
Saint Cairlon   archevêque de Cashel en Irlande (VIe siècle)
Bienheureux Didace  prêtre capucin (✝ 1801)
Saint Donard  (✝ 500)
Sainte Hildelite   abbesse bénédictine (✝ v. 720)
Bienheureux Jean de Bâton  prêtre et moine (✝ 1290)
Saint Latin de Brescia  (✝ 115)
Saint Macartin  évêque de Clogher (✝ 505)
Vénérable Maria Teresa Camera  fondatrice des Filles de Notre-Dame de la Miséricorde (✝ 1894)
Bienheureuse Marie Karlowska  fondatrice des religieuses du Bon Pasteur (✝ 1935)
Bienheureuse Marie-Séraphine du Sacré Coeur  fondatrice de l'Institut des Soeurs des Anges (✝ 1911)
Saint Oscar Arnulfo Romero  archevêque de San Salvador (✝ 1980)
Saint Parthenios  (✝ 1657)
Vénérable Scolastica Rivata  première supérieure des Disciples du divin Maître (✝ 1987)
Saint Second  martyr en Maurétanie (date ?)
Saint Sévère  évêque en Sicile (✝ 814)
Saints Timolaus et ses compagnons  martyrs à Césarée de Palestine (✝ 303)
24 Mars
  29 Septembre
Saint Gabriel

Archange

Gabriel appartient aux plus hautes hiérarchies des esprits célestes; il assiste devant la face de Dieu, comme il le dit lui-même à Zacharie. Les missions qui concernent le salut des hommes par l'Incarnation du Verbe lui sont réservées, parce que c'est dans ce mystère, si humble en apparence, qu'éclate principalement la force de Dieu: or le nom de Gabriel signifie Force de Dieu.

Dès l'Ancien Testament, l'Archange a préludé à ce sublime emploi. Nous le voyons se manifester à Daniel, après la vision qu'a eue ce prophète sur les deux empires des Perses et des Grecs; et tel est l'éclat dont il brille que Daniel tombe anéanti à ses pieds. Peu après, Gabriel reparaît encore; et c'est pour annoncer au même prophète le temps précis de la venue du Messie: Dans soixante-dix semaines d'années, lui dit-il, la terre aura vu le Christ-Roi.

Lorsque les temps sont accomplis, et que le Ciel a résolu de faire naître le dernier des prophètes, celui qui, après avoir averti les hommes de la prochaine manifestation du Divin Envoyé, doit Le montrer au peuple comme l'Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde, Gabriel descend du Ciel dans le temple de Jérusalem, et prophétise au prêtre Zacharie la naissance de Jean-Baptiste, prélude de celle de Jésus Lui-même.

Après six mois, le saint Archange reparaît sur la terre, et, cette fois, c'est à Nazareth qu'il se montre. Il apporte du Ciel la grande nouvelle. Sa céleste nature s'incline devant une fille des hommes; il vient proposer à Marie, de la part de Jéhovah, l'honneur de devenir Mère du Verbe éternel. C'est lui qui reçoit le consentement de la Très Sainte Vierge; et quand il quitte la terre, il La laisse en possession de Celui qu'Elle attendait comme la rosée des Cieux.

Mais l'heure est venue où la Mère de l'Emmanuel doit donner aux hommes le fruit béni de Ses chastes entrailles. La naissance de Jésus s'accomplit dans le mystère de la pauvreté; toutefois le Ciel ne veut pas que l'Enfant de la crèche demeure sans adorateurs.

Un ange apparaît aux bergers des campagnes de Bethléem, et les convoque au berceau du Nouveau-né. Il est accompagné d'un nombre immense d'esprits célestes qui font entendre les plus ravissants concerts, et chantent: Gloire à Dieu et paix aux hommes! Quel est cet ange supérieur qui parle seul aux bergers, et dont les autres anges forment comme la cour? De graves docteurs catholiques nous enseignent que cet ange est Gabriel, qui continue son ministère de messager de la bonne nouvelle.

Frères des Écoles Chrétiennes, Vie des Saints, p. 120-121

St Oscar Arnulfo Romero y Galdámez

« La Voix des sans voix »
Évêque et martyr
(† El Salvador 24 mars 1980)

 

Oscar Arnulfo Romero y Galdámez
, naît à Ciudad Barrios, au Salvador, le 15 août 1917. Son père l’a placé en apprentissage chez un menuisier quand il avait 13 ans, mais le jeune Romero a senti sa vocation pour le sacerdoce catholique et a quitté la maison l'année suivante pour entrer au séminaire. Il a étudié au Salvador et à Rome et a été ordonné prêtre le 4 avril 1942.

Romero a passé le premier quart de siècle de sa carrière ministérielle en tant que curé de paroisse et secrétaire diocésain à San Miguel. Le 25 avril 1970, il est devenu évêque auxiliaire de San Salvador et a occupé ce poste jusqu'en 1974, lorsque le Vatican l’a nommé au diocèse de Santiago de María, une pauvre région rurale qui comprenait sa ville natale. En 1977, il est retourné dans la capitale pour succéder à l’archevêque de San Salvador.

L’ascendance de Romero vers les sommets de la hiérarchie catholique a coïncidé avec une période de changements dramatiques au sein de l'Église en Amérique latine. Les évêques de la région, réunis à Medellín (Colombie) en 1968, pour discuter de la mise en œuvre locale des recommandations du Concile Vatican II (1962-1965), avaient décidé d'abandonner le rôle traditionnel de la hiérarchie en tant que défenseur du ‘statu quo’ pour prendre le parti des pauvres du continent dans leur combat pour la justice sociale. Cette rupture radicale a divisé les fidèles et le clergé.

À cette période, Oscar Romero avait la réputation d’un conservateur et plus d'une fois il s'est montré sceptique tant à l’égard des réformes de Vatican II que des prises de position de Medellín. Pour cette raison, sa nomination comme archevêque, le 3 février 1977, n’a pas été populaire auprès du clergé socialement engagé, à qui il est apparu comme un signal de la volonté du Vatican de les réfréner. À leur grande surprise, Romero s’est presque immédiatement révélé comme l’adversaire déclaré de l'injustice et le défenseur des pauvres.

D’après Romero, il a dû son changement d'attitude à son bref mandat comme évêque de Santiago de María, où il a été un témoin direct des souffrances des pauvres sans terre du Salvador. L'augmentation de la violence du gouvernement contre les prêtres et les laïcs socialement engagés a miné sa confiance en la bonne volonté des autorités et l'a amené à craindre que l'Église et la religion soient elles-mêmes l'objet d'attaques. L'assassinat, le 12 mars 1977, de son ami de longue date, le père jésuite Rutilio Grande, a suscité une dénonciation cinglante de Romero, qui a suspendu les messes dans les églises de la capitale le dimanche suivant et exigé la sanction des responsables.

Alors que Romero s’exprimait de plus en plus souvent au cours des mois suivants, il attirait une large audience de plus en plus populaire qui se pressait dans la cathédrale pour l'entendre prêcher ou écouter ses sermons sur YSAX, la station de radio de l'archidiocèse. Dans sa jeunesse, Romero avait été un pionnier de l'évangélisation sur les ondes au Salvador, et il utilisait l’influence de ce média pour dénoncer à la fois la violence de la guerre civile naissante au Salvador et les schémas profondément enracinés de violence et d'injustice qui la cultivaient. Dans un pays dont les dirigeants considéraient la dissidence comme de la subversion, Romero utilisait l'autorité morale de son poste d'archevêque pour parler au nom de ceux qui ne pouvaient pas le faire pour eux-mêmes. Il ne tarda pas à être connu comme la « Voix des sans voix ».

Quand un coup d'État renversa le gouvernement salvadorien, le 15 octobre 1979, Romero  exprima un soutien prudent à la junte réformiste qui l'avait remplacé. Il a cependant vite perdu ses illusions quand la persécution des pauvres et de l'Église n'a pas cessé. En février 1980, il a adressé une lettre ouverte au Président américain Jimmy Carter, dans laquelle il appelait les États-Unis à mettre fin à l'aide militaire au régime. « Nous en avons assez des armes et des balles », a-t-il plaidé.

La campagne de Romero pour les droits de l'homme au Salvador lui a valu de nombreux admirateurs nationaux et internationaux ainsi qu’une nomination au Prix Nobel de la paix. Cependant, il s'est également fait de nombreux ennemis. Le 24 mars 1980, un meurtrier non identifié a tiré de la porte de la chapelle à San Salvador où Romero célébrait la messe et l'a abattu. L'archevêque avait anticipé le danger d'un assassinat et en avait parlé souvent, déclarant sa volonté d'accepter le martyre si son sang pouvait contribuer à la solution des problèmes de la nation. « En tant que chrétien, dit-il à l’une de ces occasions, je ne crois pas à la mort sans résurrection. S'ils me tuent, je me ressusciterai à nouveau dans le peuple salvadorien. »

Hommages et distinctions :

- Le 18 mai 1980 : Oscar Romero est fait docteur ‘honoris causa post mortem de la Universidad de El Salvador.
- En 1985 : Pierre-Michel Gambarelli écrit en 1985 la chanson ‘Le vent des prophètes’ en hommage à Oscar Romero (paroles du chant sur Scoutopedia).
- En 2008, il est désigné comme l'un des quinze « Champions de la démocratie mondiale » par le magazine européen « A Different view ».
- En 2009 : le nouveau président du Salvador, Mauricio Funes (FMLN), visite la tombe d'Oscar Romero juste avant de prendre ses fonctions, en juin 2009.
- Le 24 mars 2010, lors du trentième anniversaire de la mort d'Oscar Romero, le président salvadorien Mauricio Funes a présenté au nom de l'État des excuses officielles pour ce meurtre. En présence de la famille Romero, des représentants de l'Église catholique, des diplomates étrangers et officiels du Gouvernement, le président Funes déclare que « malheureusement ceux qui ont perpétré cet assassinat ont agi avec la protection, la collaboration ou la participation d'agents de l'État ».
- En mars 2014, l’aéroport de San Salvador se nomme désormais « Aéroport International Monseñor Oscar Arnulfo Romero y Galdámez ».

Oscar Arnulfo Romero y Galdámez a été proclamé Bienheureux à San Salvador le 23 mai 2015. Environ 200 000 personnes, parmi lesquelles de nombreux chefs d'État, ont participé à la cérémonie de béatification de l'archevêque martyr, assassiné en haine de la foi le 24 mars 1980, pendant qu'il célébrait l'eucharistie. « Un homme de foi profonde et d'une espérance inébranlable », ainsi l'a défini le cardinal Angelo Amato s.d.b., préfet de la Congrégation pour les Causes des Saints, qui représentait le pape François (Jorge Mario Bergoglio, 2013-) lors de cette cérémonie.

Il a été canonisé le 14 octobre 2018 à Rome par le pape François.

Vénérable Maria Teresa Camera

fondatrice des Filles de Notre-Dame de la Miséricorde (✝ 1894)

Maria Teresa Camera, fondatrice de la Congrégation des Filles de Notre-Dame de la Miséricorde
Née à Ovada en Italie le 8 octobre 1818 où elle est morte le 24 mars 1894.
A 20 ans elle rejoint les Ursulines et se consacre à Dieu.
En compagnie d’autres filles qui veulent mener une vie de prière et de charité, elle rencontre les nécessiteux, aide les malades dans les maisons et les hôpitaux et enseigne le catéchisme aux jeunes...
On l’appelle "l’ange réconfortant d’Ovada".
Les sœurs ont pris le nom de Filles de Notre-Dame de la Miséricorde en 1931 et se consacrent à l’éducation des jeunes et à l’assistance aux malades et aux personnes âgées...
Promulgazione di Decreti della Congregazione delle Cause dei Santi, bolletino du 19.03.2019
décret de vertus héroïques du 19 mars 2019

en italien:
- Congregazione Figlie di Nostra Signora della Pietà, Congrégation des Filles de Notre-Dame de la Miséricorde
- Vita di Maria Teresa Camera, biographie

Bienheureuse Marie-Séraphine du Sacré Coeur

fondatrice de l'Institut des Soeurs des Anges (✝ 1911)

Marie-Séraphine du Sacré CoeurNée en 1849, morte le 24 mars 1911 à Faicchio, Italie, déclarée vénérable le 3 juillet 2009 par le pape Benoît XVI, béatifiée le 28 mai 2011
Marie-Séraphine du Sacré Cœur (au siècle, Clotilde Micheli), religieuse, fondatrice de l'Institut des Sœurs des Anges (1849 - 1911)
Le 2 juin 2011, Benoît XVI a invité les religieuses à 'imiter la nouvelle bienheureuse en répondant avec promptitude à l'appel de Dieu à la sainteté dans les circonstances ordinaires de la vie'.
Le pape a rappelé que la nouvelle bienheureuse était originaire de la région de Trente, dans le Nord-Est de l'Italie, et qu'elle a fondé, dans le Sud, en Campanie, l'Institut des Sœurs de la Charité des Anges, en 1891, après moult péripéties.
(Zenit, le monde vu de Rome)
Beata Maria Serafina del S. Cuore (Clotilde Micheli) - en italien

"Soyez toujours des anges de lumière et de charité, pour conduire les âmes à Dieu sur les deux ailes de la parole et du bon exemple"

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