« Un virus va-t-il mettre en échec la communion des saints ? », interroge le religieux avant de donner lui-même la réponse : « Nous allons aller dans les maisons de retraite, nous allons aller dans les hôpitaux, par la prière ». « Aujourd’hui, en France, une personne meurt toutes les trois minutes dans une chambre d’hôpital. Nous ne pouvons pas les laisser seuls », insiste-t-il, proposant de s’arrêter trois minutes dans sa journée pour dire au fond de son cœur « Mon Dieu, je rejoins cet homme, cette femme qui va mourir dans les trois minutes. Je suis là pour lui tenir la main ». Une façon d’être présent par la prière et de vivre de façon très concrète la communion des saints.