29 Août 2015
Dimanche 30 août 2015
Bonne Fête aux :
Fiacre
Fantin
Fantine : Fantin, Fontine
Pammaque
Saint Fiacre
Dictons :
À la Saint-Fiacre, soleil ardent,
Pour huit jours encore, du beau temps.
De la pluie en août, N'en faut pas du tout.
Brumes en août font tomber les châtaignes. (Limousin)
Patron des:
Bonnetiers, Chauffeurs de Taxi, Jardiniers Maraîchers Potiers d'étain Tuiliers.
Ermite près de Meaux (✝ 670)
Fils d'un roi d'Écosse ou d'Irlande (on s'interroge sur ses origines), il émigra en France à l'époque mérovingienne. Saint Fiacre, église d'Aubigny Il fut ermite dans la forêt de Brie, accueilli par saint Faron, évêque de Meaux. Son ermitage donna naissance à la localité de 77470 Saint Fiacre. On lui prêta beaucoup de vertus guérisseuses après sa mort. Moine défricheur, son ermitage devint un hospice pour les pauvres qu'il nourissait des fruits et des légumes qu'il cultivait pour eux.
C'est pourquoi il est spécialement honoré par les jardiniers et les maraîchers de l'Ile-de- France.
Un hôtel particulier portait son nom à Paris. Et, détail pittoresque, c'est ainsi que les voitures parisiennes prirent le nom de "Fiacre" car elles étaient garées non loin de cet hôtel
Illustration: Saint Fiacre, église d'Aubigny
Il peut y avoir confusion avec un frère Fiacre, lire Notre-Dame de Grâces et la naissance de Louis XIV. Un roi, une reine et toute une nation implorent Dieu de donner un héritier au trône.
À Breuil, au pays de Meaux, vers 670, saint Fiacre, ermite venu d’Irlande qui mena là une vie de solitaire.
2ème version
St-Fiacre
St-Fiacre Jeune noble d’origine irlandaise (selon certains auteurs, il serait même un prince, fils du roi d’Écosse Eugène IV). Émigré en France, il s’installe en un lieu nommé Breuil (en Brie). Saint-Faron, l’évêque de Meaux, lui fait don d’un terrain sur lequel Fiacre s’installe comme ermite, partageant son temps entre la prière et le jardinage. Doué du pouvoir de guérison par l’imposition des mains, il fait bientôt l’objet d’une grande sollicitation et de nombreux malades affluent pour obtenir ses faveurs. Afin de les accommoder, il demande à Saint-Faron de lui octroyer un territoire beaucoup plus grand, sur lequel il fait édifier une abbaye destinée à offrir l’hospitalité à ses fidèles (des hommes seulement, Fiacre n’ayant jamais autorisé aucune femme à franchir les limites de son domaine). Il dote également l’abbaye d’un magnifique jardin, où il cultive légumes et plantes médicinales (+ vers 670) Saint-Fiacre est le patron des jardiniers, des fleuristes, des chauffeurs de taxi et des céramistes. Il est invoqué pour la guérison des hémorroïdes et des maladies transmises sexuellement.
Source de l'image : Catholic Culture
St-Agile (Ayeul)
Fils d’Agnoald et de Deutérie, un couple de nobles de la cour du roi Franc Childebert II. À l’âge de huit ans, il est confié aux soins de l’abbé Saint-Colomban, au monastère de Luxeuil. Quelques années plus tard, il s’acquitte avec succès d’une mission auprès du roi Thierry afin d’obtenir son appui dans le différend qui oppose les moines de Luxeuil à la reine Brunehaut. Il est ensuite envoyé en Bavière en mission d’évangélisation. De retour en France, il est choisi pour être le premier abbé du monastère de Rebais, qui vient d’être fondé par Saint-Ouen près de Meaux (Seine-et-Marne) (580-650)
St-Gaudens
Fils de Quiterie, une femme très pieuse du Nébouzan (Haute-Garonne), au pied des Pyrénées, Gaudens travaille comme berger. À cette époque, la région est sous l’influence des Visigoths Ariens et les Chrétiens sont persécutés. À peine âgé de 13 ans, Gaudens est arrêté puis traduit devant un tribunal qui le condamne à être décapité. Saint-Gaudens fait partie des saints dits « céphalophores », dont le plus connu est Saint-Denis de Paris, et qui, une fois décapités, reprennent leur tête et la portent jusqu’au lieu où ils souhaitent reposer pour l’Éternité. Dans le cas de Gaudens, il aurait porté sa tête jusque dans l’église d’un village nommé Mas-Saint-Pierre (maintenant Saint-Gaudens) (+ 475)
Ste-Jeanne Jugan
Fille d’un pêcheur prénommé Joseph et d’une ouvrière agricole prénommée Marie, elle voit le jour à Cancale (Ille-et-Vilaine). Vers l’âge de 16 ans, elle trouve un emploi de domestique chez une femme pieuse des environs. Très attirée par la vie religieuse, elle refuse de se marier et part à Saint-Servan (près de Saint-Malo) pour s’occuper des malades hospitalisés. Six ans plus tard, elle est épuisée et doit reprendre l’activité moins contraignante de domestique, puis graduellement elle commence à distribuer aux pauvres (particulièrement aux veuves) une part de plus en plus importante de ses revenus, allant jusqu’à faire du porte à porte pour collecter de l’argent. Sa conduite exemplaire attire de nouvelles vocations, pour qui elle fonde Les Petites Sœurs des Pauvres et dont elle devient la supérieure (1792-1879)
St-Pammaque
Sénateur romain d’origine noble et disciple de Saint-Jérôme, avec qui il étudie la rhétorique. En 385, il épouse Paulina qui décède en couches quelques années plus tard. Il consacre alors le reste de sa vie à l’étude et aux œuvres charitables, et plus particulièrement aux pèlerins malades pour qui il fonde un hôpital avec l’aide de Sainte-Fabiola. Il est aussi l’ami de Saint-Paulin de Nôle (340-410)
St-Philonide Évêque de Kourion, Martyr (+ vers 303)
Sacha (Fête au calendrier)