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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Bérenger et aux très Saintes âme du 26 mai

SAINT DU JOUR
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Date 26 mai

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

 

Saint Bérenger

moine de Saint-Papoul (✝ 1093)

 

saint BérengerIl était un bénédictin de l'abbaye de Saint-Papoul dans l'Aude. Il pratiqua toutes les vertus monastiques. Tellement qu'il fut ainsi conduit à la sainteté.
Bérenger naquit à Toulouse vers 1005 de parents appartenant à la noblesse. Précocement vertueux, il prit l'habit dès l'adolescence à l'abbaye de Saint-Papoul.
Il y mena la vie d'ascète que suppose la stricte observance de la règle de Saint Benoît.
Modèle pour ses congénères, il fut nommé maître des novices puis aumônier.
Ses reliques furent conservées à l'abbaye et suscitèrent de nombreux miracles.
(d'après 'le Pays Cathare')
- Abbaye de Saint-Papoul, Aude, Pays cathare
- Site de l'abbaye, histoire
- Vidéo: Village et abbaye de Saint-Papoul

"Au XIe siècle, l'abbaye, régie par la Règle de saint Benoît, connaît une période prospère grâce au moine Bérenger. Modèle de vertus, des miracles se seraient accomplis de son vivant et sur sa tombe entraînant un pèlerinage." (commune de Saint-Papoul)
Au monastère de Saint-Papoul, en 1093, saint Bérenger, moine.

 

Martyrologe romain

Saint Philippe de Néri

Fondateur de l'Oratoire
(1515-1595)

Saint Philippe de Néri
Saint Philippe de Néri

Philippe naquit à Florence le 22 juillet 1515. Dès son enfance, on l'appelait le bon petit Philippe, tant il était bon, doux et aimable. Vers l'âge de dix-huit ans, il renonça à la fortune d'un de ses oncles pour aller à Rome étudier les sciences ecclésiastiques. Rien de plus édifiant que sa vie d'étudiant: pauvreté, mortification, prière, travail, silence, vie cachée, habitaient sa modeste cellule.

Après plusieurs années d'étude opiniâtre dans les universités, il travailla seul, quelques années encore, dans le silence et la solitude, et quand, devenu prêtre par obéissance, il commença à se livrer au ministère des âmes, son esprit facile et profond avait acquis une science fort remarquable. Son angélique pureté eut à subir les plus rudes assauts; mais il sortit toujours vainqueur de tous les pièges, et reçut comme récompense la grâce de ne jamais ressentir, le reste de sa vie, aucun mouvement, même involontaire, de la concupiscence charnelle.

Un jour, Philippe fut tellement embrasé de l'amour de Dieu, que deux de ses côtes se rompirent pour donner plus de liberté à ses élans séraphiques. Souvent ses entretiens avec Notre-Seigneur étaient si suaves, qu'il n'y pouvait tenir et se mourait de joie, ce qui lui faisait pousser ce cri: "Assez, Seigneur, assez!"

Philippe visitait les hôpitaux, soignait les malades, assistait et instruisait les pauvres, passait de longues nuits dans la prière, aux catacombes, sur les tombeaux des martyrs. Partout et à toute occasion, il cherchait à gagner des âmes à Dieu. Il aimait surtout les jeunes gens; il les attendait à la sortie des écoles, se mêlait à leurs rangs et conversait avec eux; il les abordait sur les places publiques, les cherchait jusque dans les ateliers et les magasins, en confessait une multitude, en retirait un grand nombre du vice. "Amusez-vous bien, leur disait-il souvent; mais n'offensez pas le bon Dieu!" Aussi Philippe exerçait-il sur l'enfance et la jeunesse un ascendant irrésistible, et nul mieux que lui ne mérite d'être regardé comme le Patron des Oeuvres de jeunesse. Le Saint fonda la Société des Prêtres de l'Oratoire.

Philippe jouait pour ainsi dire avec les miracles, et les résurrections de morts ne coûtaient rien à cet homme extraordinaire. Il se regardait, malgré tout, comme le plus grand des pécheurs, et disait souvent à Dieu: "Seigneur, défiez-Vous de moi, car j'ai peur de Vous trahir!" Philippe mourut à l'âge de quatre-vingt ans, le 26 mai 1595.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Sainte Marie-Anne de Jésus de Parédès
Vierge

Marie-Anne de Parédès née à Quito (Équateur) le 31 octobre 1618, manifesta une grande piété dès son enfance et, à l'âge de dix ans, se lia par les trois vœux de religion. D'abord dirigée par un Jésuite qui l'initia aux Exercices de saint Ignace, elle entra ensuite dans le Tiers Ordre franciscain. À l'intérieur même de sa maison familiale, elle se ménagea une sorte d'ermitage dont elle ne sortait que pour aller à la messe ou pour apporter une aide matérielle et spirituelle aux pauvres, surtout aux Indiens.

Lorsqu'en 1645 la région fut victime de calamités (tremblements de terre, éruptions volcaniques, épidémie de peste), elle offrit sa vie pour le salut de la population ; les calamités s'arrêtèrent aussitôt. C'était le 25 mars. Le lendemain Marie-Anne tomba malade et mourut le 26 mai suivant.

Marie-Anne de Jésus de Parédès a été béatifiée le 10 novembre 1853 par le Bx Pie IX (Giovanni Maria Mastai Ferretti, 1846-1878) et canonisée le 09 juillet 1950 par le Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958).

Georges Darboy

Prêtre, archevêque de Paris de 1863 à 1871 (✝ 1871)

Georges Darboy (1863-1871)Né le 16 janvier 1813 à Faÿt-Billot (Haute-Marne), ordonné prêtre le 17 décembre 1836, évêque de Nancy-Toul de 1859 à 1863 puis archevêque de Paris de 1863 à 1871.
Fusillé le 24 mai 1871, à Paris, son corps fut retrouvé le 28 mai dans la fosse commune du Père-Lachaise. Il fut inhumé à Notre Dame de Paris.
Prélat actif, pieux et régulier, il était apprécié de Napoléon III, dont il fut le grand aumônier.
De tendance gallicane au 1er concile du Vatican, il fit partie de la minorité opposée à l'infaillibilité pontificale, mais il se soumit avec loyauté le 2 mars 1871.
Il demeura dans son diocèse pendant l'avancée des troupes allemandes, puis il vécut la Commune et le siège de Paris au milieu de ses diocésains. Arrêté par ordre de la Commune, détenu en otage à la prison de Mazas, il fut fusillé à la Roquette.
(source: 
diocèse de Paris - Georges Darboy 1863-1871)

Vénérable Marie-Thérèse Dupouy Bordes,
religieuse, malgré sa famille

La cause de béatification d’une religieuse française, morte en Espagne, franchit une étape décisive.

La religieuse française Mère Marie-Thérèse Dupouy Bordes (1873-1953) pourrait être béatifiée, moyennant la reconnaissance d’un miracle.

Le pape François a en effet reçu en audience jeudi soir, le cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des saints, et il a autorisé le dicastère à publier 8 décrets concernant la reconnaissance des “vertus héroïques”, selon l’expression technique, de 8 serviteurs et servantes de Dieu.

Cela signifie en quelque sorte la reconnaissance de la sainteté de leur vie. Pour leur béatification, il faudra l’authentification d’un miracle attribué à leur intercession, comme confirmation de leur sainteté. Et pour l’éventuelle canonisation, un second miracle survenu après la béatification.

Le collège de la vocation

Parmi eux, une religieuse française, Marie-Thérèse Dupouy Bordes (au siècle : Marie-Charlotte), religieuse du Sacré-Coeur, fondatrice des Missionnaires des Sacrés-Coeurs de Jésus et Marie, née à  Saint Pierre d’Irube (France) le 6 mai 1873, et morte à Saint-Sébastien (Espagne) le 26 mai 1953.

Marie Joséphine Charlotte est née dans la maison “Etchechuri” de Saint-Pierre d’Irube, village situé à quelques kilomètres de Bayonne, où sa mère Catherine habite avec sa famille alors que le père, August Edouard Dupouy, vit à San Sebastian (Saint-Sébastien, en Espagne), où il est propriétaire du très élégant “Hôtel de Londres”.

Ses parents la baptisent deux fois : elle est ondoyée immédiatement après sa naissance parce qu’ils croyaient qu’elle allait mourir, puis le 15 juin a lieu le baptême solennel dans l’église paroissiale de Saint-Martin.

Au moment de sa confirmation, le 19 juin 1884, elle prend sainte Thérèse de Jésus (d’Avila) pour patronne et ajoute son nom au sien : elle s’appellera désormais Marie-Thérèse (Maria Teresa).

La plus grande partie de son enfance se déroule à San Sebastian, où la petite famille se trouve insérée dans la vie de la haute société durant les mois d’été.

Trop gâtée par tous, Marie-Thérèse est confiée à un collège, fondé par la Congrégation des Servantes de Marie – du Père Cestac – en 1882, qui lui réussit bien.

Un rêve décisif

Elle y fait rêve qu’elle raconte dans son autobiographie : “A 9 ans, (…) je vous écrivis une lettre ô Marie demandant de vous montrer à moi car je désirais bien vous connaître. En effet je vous vis en rêve mais de façon à ne jamais vous oublier, oh ! que vous étiez belle mais surtout bonne …vous m’entouriez de votre manteau me pressant sur votre cœur quand tout à coup je vis quantité d’enfants que des animaux féroces dévoraient. Je voulus m’élancer pour les sauver, mais vous souriant m’avez dit : « Tu es trop petite maintenant, quand tu seras grande ».”

C’est alors qu’elle entend l’appel de Jésus à le suivre dans la vie religieuse: pendant douze ans, elle se heurte à l’opposition de ses parents, car elle était fille unique et le jour où elle révèle sa vocation à ses parents sa mère tombe gravement malade. Son père va jusqu’à l’accuser de tuer sa mère avec ses “idées extravagantes”. Mais la maman se rétablit.

Pour détourner Marie-Thérèse de la vie religieuse, ses parents la retire du collège, l’introduise dans la société mondaine, l’emmènent au théâtre, en voyage … Elle écrit ceci de cette épreuve douloureuse : “M’étais-je trompée sur ma vocation? Est-ce que j’allais être la cause de la mort de maman? Le démon faisait rage… C’était l’heure de la puissance des ténèbres… Mais Notre Seigneur soutint ma faiblesse… Je savais qu’Il ne pouvait pas me tromper. « In te, Domine, speravi » … Le « Scio cui credidi » fit ma force en cette nuit de Gethsémani.”

C’est ainsi que sa vocation mûrit et, en 1898, à 25 ans, le 16 juin 1898, avant l’aube, Marie-Thérèse s’enfuit de la maison paternelle pour entrer dans la Société des Religieuses du Sacré-Cœur de Jésus.

Elle passe la plupart de ses années de formation en France, puis quand la Congrégation fonde son collège à San Sebastian, c’est là qu’elle est envoyée – ce qui lui permettra de tisser une nouvelle relation avec ses parents.

Le catéchisme et les pré-séminaires

En 1914, comme sacristine, elle se rend compte de l’ignorance religieuse de ses deux enfants de chœur et elle commence à leur faire le catéchisme.

Un jour, un garçon de 10 ans les rejoint : il refusait de continuer à travailler dans le salon de coiffure où il avait été placé parce que, disait-il, il entendait « dire des péchés » et qu’il voulait être missionnaire comme son oncle.

Elle raconte : « Les enfants de chœur amenèrent au catéchisme un frère, un ami, ce fut la boule de neige, trop nombreux pour les réunir à la sacristie. Ma Mère Supérieure m’engagea à les prendre dans une salle vide de l’école ; ils furent 25 puis 50 ! »

A la mort de Mère Marie-Thérèse Dupouy, le 26 mai 1953, elle avait fondé des communautés et des pré-séminaires en Espagne, en France (Dax), en Asie, et dans deux pays d’Amérique latine. 

Autres Fêtes du Jour
Saint Alexandre  Martyr à Smyrne (✝ 1794)
Bienheureux André Franchi  évêque dominicain (✝ 1401)
Saint André Kogwa  martyr en Ouganda (✝ 1886)
Saint Eleuthère  Pape (13e) de 175 à 189 (✝ 189)
Sainte Félicissime  martyre à Todi, Ombrie, en Italie (✝ 303)
Bienheureux François Patrizi  prêtre de l'Ordre des Servites de Marie (✝ 1328)
Georges Darboy  Prêtre, archevêque de Paris de 1863 à 1871 (✝ 1871)
Saint Gondon  Neveu de Saint Wandrille (✝ v. 690)
Saints Jean Doan Trinh Hoan et Matthieu Nguyen Van Phuong  martyrs au Vietnam (✝ 1861)
Saint Joseph Chang Song-jib  Martyr à Séoul en Corée (✝ 1839)
Saint Lambert de Vence  Evêque de Vence (✝ 1154)
Vénérable Marguerite du Saint-Sacrement  religieuse carmélite de Beaune (✝ 1648)
Sainte Marie-Anne de Paredes tertiaire franciscaine en Equateur (✝ 1645)
Vénérable Marie-Thérèse Dupouy Bordes fondatrice des Missionnaires des Sacrés Coeurs de Jésus et Marie (✝ 1953)
Saint Pierre Sanz y Jorda  dominicain espagnol martyr en Chine (✝ 1747)
Saint Pontien Ngondwe martyr en Ouganda (✝ 1886)
Saint Prisque et ses compagnons  martyrs à Auxerre (IIIe siècle)
Saint Simètre  martyr à Rome (date ?)
Saint Zacharie  évêque et martyr (✝ v. 106)
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