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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

X- La découverte

la surpriseCatarina se réveille la première. Elle s’étire dans son lit. Un pneumatique de camping simplement posé sur la pierre. Le sommeil ne veut pas la lâcher. Depuis combien de temps dort-elle avec son mari ? Le réflexe machinal lui fait regarder la montre, dans son médaillon, qu’elle n’enlève jamais, même pour la douche. Elle s’interroge. Est-ce le matin ou le soir ? Elle ne sait pas. Elle consulte une nouvelle fois sa montre dans le médaillon suspendu à son cou. Elle indique, quinze juillet, vingt-deux heures ! Elle ne l’a pas mise en commun, car c’est le dernier cadeau de sa mère. Elle a déposé en commun, sa montre bracelet en diamant, beaucoup plus précieuse financièrement.. Mais, celle du médaillon, l'est davantage à ces yeux. Elle comporte une photo de ses parents décédé dans un accident. En plus, elle juge qu'elle est très utile dans leur situation. Cette montre est conçue pour la pêche sous-marine.

Elle réveille ses compagnons.

- Debout cela fait trop longtemps que nous dormons !

Ils se lèvent tout courbaturés, complètement déboussolés. Ils ont pris comme les bébés, le jour pour la nuit. Tout au moins c’est ce qu’ils croient. Alors ils retournent sur leur lit et se rendorment. À six heures, le seize juillet, ils se réveillent. Catarina est toujours la première réveillée. Elle allume la lampe et voit son mari, dormir comme un loir. Les autres des dortoirs voisins sont toujours endormis, d’après ce qu’elle peu distinguée. Alors elle se faufile sans bruit, et va à la cuisine. Ils vont se réveiller quand lorsque l’odeur du café va chatouiller  leurs narines. Pense-t-elle.

La fatigue de ces derniers jours et les émotions ont eu raison d’eux. Un concert de trompettes,  ne les réveilleraient même pas ! Se dit-elle

Elle décide de faire une surprise à ses amis. Elle va préparer le petit déjeuner. Elle avait occulté les évènements d’avant-hier, ce qui fait qu’elle est prête pour une nouvelle journée.

Pendant que l’eau pour le thé et le café chauffe, elle installe les grandes tasses et bols sur la table, que Luciano a taillée dans la roche. Elle dépose les biscottes, le reste du pain qu’elle vient de faire grillé, car il trop rassit. Elle a reconstitué le lait, tout est prêt. Elle lève la tête, pour appeler ces amis, quand brusquement elle voit… deux yeux phosphorescents pointés sur elle. Ils l’observent silencieusement depuis combien de temps ? Terrorisée elle crie

-      Luciano, Luciano, luciaaaaaaanooooooo !

C’est le branle-bas de combat! Le réveil en sursaut de tous. D’un bond, tout le monde est debout

-      Qu’as-tu ?

Demande son mari

-      Là, là ààààààààààà ! En pointant l’index vers le fond de la salle.

-      Vous ne voyez pas ? Là-bas ? Elle insiste tremblante

Tous suivirent du regard le doigt de Catarina. Une masse sombre s’enfuyait, aussi apeuré qu’eux semble –t-il. Cette ombre fuit avec un cri inconnu des jeunes gens, et disparait. La surprise passée

-      C’est un chien !

Fait Luciano stupéfait.

-      Il semble énorme

Constate Daniel

-      Que fait-il ici ?

Demande Brigitte

-      En tout cas il n’est pas dangereux, il a eu aussi peur que nous !

Remarque Hans. L’observation de Hans les fait réfléchir

-      En tout cas il connait bien les lieux ! Réalise Souvanna. Puis il y a un fait inconstatable, qui les rend pensif

-      Il n’a rien touché, il n’est donc pas affamé ! Affirme Marie.

-- Il n’en a pas eu le temps affirme Ingrid

Catarina blottie dans les bras de son mari est obligé de reconnaitre :

-      Effectivement, il a eu aussi peur que moi. Il m’observait, il devait être aussi surpris que moi. Que je suis bête !

-      Non ! parce qu’il aurait pu être dangereux

-      C’est peut-être son territoire ?

-      En tout cas, il doit être intelligent. !

-      Comment peux-tu dire ça ?

-      Parce que nous sommes son garde-manger !

-      Ca ne va pas ta tête !

-      Dans nos bagages, il y a des aliments qu’il aime !

-      Certainement, nous ! Nous sommes de la viande fraiche

-      Alors pourquoi n’a-t-il pas attaqué ?

-      Nous sommes trop nombreux pour lui

-      Il n’est peut-être pas tout seul ?

-      Il aurait une famille ?

-      Peut – être, mais les chiens sauvages vivent en meute.

- es-ce un chien ? On ne le pas vu ! C’est peut-être un renard, ou un loup

La crainte les gagne.

-      s’il y a une meute affamé, il reviendra accompagné. Mais il ne semble pas affamé

-      Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

-      Il ne nous a pas menacé, ni appeler ses acolytes, s’il y en a !

Le silence tombe, il est lourd, après toute cette effervescence. Seul Mamadou est resté silencieux pendant tous ces verbiages ! Il frappe sur le tam-tam qu’il avait fabriqué, pour la prophétie.

-      Peut –être qu’ainsi cet animal ne viendra plus ?

Daniel exprime la pensée de tous.

Il y a un passage suffisamment grand que nous n’avons pas encore trouvé. Cet animal semble énorme, même s’il est souple, en sautant il nous a montré le chemin.

Comment! ….On ne va pas le suivre ?...Tout de même !

Interroge indignée Ingrid puis c’est le  dialogue avec Daniel

-      Si, car si lui peut passer, nous aussi.

-      Mais c’est dangereux !

-      Vous préférez mourir, sans rien faire ?

-      Car c’est ce qu’il adviendra de nous si nous ne faisons rien !

-      On sait que tu as raison, mais il faut comprendre notre point de vue !

Fait Erhard conciliant. Mamadou réplique

-      Et puis, il y a peut-être un autre passage, que celui de l’animal, cela ne coûte rien de vérifier !

Après une courte pose il ajoute

-      Nous n’avons pas fini d’explorer la salle.

La fébrilité gagne l’assemblée. Ils reprennent courage. Et enfin, une explosion de joie, car Daniel a convenu que Mamadou avait raison.

Daniel avait oublié la découverte, faite avant l’émission télévisée. Et celle, lors de sa ronde avant de dormir ! Alors il leur donne le compte rendu de tout ce qui avait été découvert. Puis il explique que cette histoire d’animale, permet de penser, qu’il y a une issue à l’extérieur. Il suffit de la trouver. Il faudra donc la chercher. Enfin, Macha rappelle :

- Nous n’avons pas encore déjeuné et avec tout ça, ce qu’a préparé Catarina est froid

-      Oh ! Tant pis !

Répond Hans le gourmand avant d’ajouter

-      Cette nouvelle est tellement importante. Bon pour l’eau, il suffit de la faire réchauffer

- Merci  Catarina, tu as eu le bon réflexe !

S’écrient-ils tous en chœur.

Pendant ce repas léger, qu’ils mâchent et avalent lentement pour tromper la faim, Daniel « le vieux » le « Doc » du groupe prend la parole. Il est écouté en silence, non pas parce qu’il est l’ancien, le Doc, mais aussi parce qu’il est calme en toute circonstance. Il les sécurise. Son autorité naturelle est également paternelle. Tous l’aime et l’écouté. Ils ont confiance en lui, car lui seul peut les sauver par son organisation, et ses connaissances en cas d’accident. Ces moments durs, transforment  les esprits légers, irresponsables, en des êtres sérieux et sages. Il n’y a donc pas de contestations, quand Daniel ordonne :

-        Mamadou, Macha, Erhard resteront ici, pour tenter l’impossible. Il faut signaler notre présence et lancer des appels pour recevoir des secours de l’extérieur, et en même temps garder notre alimentation. S’il y a des animaux, cela pourrait les tenter.

Macha tu peux organiser çà ?

-      Oui évidemment Daniel !

Mamadou fait la moue, il aurait voulu être avec les autres, mais il reconnait qu’il n’y a qu’eux trois pour cette mission, et puis avec son tam-tam il pourra avertir tout le monde où qu’il soit.

-      D’accord, mais il faut sacrifier deux portables, pour faire une radio télé puissante à cause de la roche

Répond Erhard

-      cela ne sera pas trop long j’espère ?

- le temps de vous organiser suffira je pense. Répond –t-il

-  Le principal est que vous réussissiez à trouver un passage.

-      Ok, Daniel !

Daniel continue :

-      Pendant ce temps, nous allons chercher le ou les passages. Nous nous allons scinder en deux groupes l’un sera conduit par Hans, l’autre par moi.

Après une pause, Daniel continue :

-      Hans tu chercheras le chemin de cet animal, en prenant les précautions nécessaire, tu choisis ton équipe. Je pense que cinq d’entre nous seront suffisant

-      Oui, je crois.

Hans appelle :

-      Brigitte, Ingrid, Luciano, Robert, Catarina vous êtes d’accord pour venir avec moi ?

-      Oui !

Disent –ils tous ensembles.

Daniel, se tourne vers les autres et il dit à son équipe

 c’est un chemin sportif dès le départ. Il faudra grimper en gouttière, puis arriver en haut ce sera l’aventure.

Il fait un demi-tour sur lui, pour parler aux deux équipes :

-      Il y a certainement une rivière souterraine. En effet les hommes de la préhistoire s’installaient, dans les endroits où il y avait de l’eau, et du gibier ! Les spéléologues ont toujours trouvé une rivière souterraine dans leur recherche. Dans les grottes qu’ils ont explorées, ayant les traces d’hommes préhistoriques. Ils ont découvert qu’elles servaient également pour les rituels. Il y a donc plusieurs galeries. Il y avait également des issus de secours pour échapper aux mammouths et autres animaux carnivores, ou tribus adverses. Ces issues étaient étroites, juste ce qu’il faut pour le passage d’un homme de cette époque.

Daniel, bu une gorgée d’eau et après une pause il reprit :

-      Hans, cet animal doit avoir la taille d’un homme d’après l’ombre. Il ne vit pas sans eau. Et en plus, il n’est pas affamé, sinon il serait revenu, malgré le danger. C’est la preuve qu’il trouve de quoi se nourrir ! Il en a la certitude, il y a une sortie à taille humaine.

Après une nouvelle pause Daniel reprend :

-      Hans partage le matériel de soins pour les secours en trois, en cas d’accident. N’oubliez rien, le matériel d’escalade, de secours et les en cas pour prévenir le manque de sucre.

-      S’ils nous arrivent quelque chose, comment Mamadou, Macha et Erhard viendront-ils à notre secours ?

Intervînt Souvanna.

Mylène répond:

-      Plaçons à chaque équipe les SOS lumineux. Le son strident bien particulier résonnera dans toutes les galeries. La lumière verte dirigera l’équipe de secours vers l’équipe en danger. C’est dommage que nous n’en ayons pas pour tous. Que huit pour les deux équipes, c'est-à-dire quatre par équipes. Et puis Katia à son harmonica !

Daniel commande

- chaque équipe emmène un seul SOS, nous ne savons pas combien de temps nous serons dans ce rocher.

Daniel revient à la charge, en intervenant une nouvelle fois.

-      C’est pour l’une de ces raisons qu’il est vital pour tous, que le chef d’équipe est au cou la radio-télé qu’Erhard vous prépare.

-      Ah j’oubliais, ajoute-t-il après un temps de silence

-  par précaution et par économie nous ferons une croix blanche pour l’équipe Hans et jaune pour mon équipe à l’emplacement des mousquetons, pour les escalades  et sur le sentier que vous trouverez. Ainsi si nous pourrons trouver notre chemin de retour. Ou bien porter secours plus rapidement. Nous pourrons également voir si l’on se croise.

- Ok, Daniel vous pouvez compter sur nous, nous ferons tout notre possible pour réussir.

Une heure plus tard, Daniel

Allez les amis, partons, courage ont va trouver la sortie à tout à l’heure.

 

 

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F
<br /> ils ont bon espoir de sortir<br />
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M
<br /> <br /> Heureusement, sinon, pour quelle raison continueraient-ils à chercher la sortie. Merci filipperine.<br /> <br /> <br /> <br />