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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

ça s'est passé un... 20 juillet

Henru 1er

Henru 1er

20 juillet 1031 : Henri 1er règne seul

Robert II étant mort le 20 juillet 1031, à Melun, à l'âge de 60 ans, son fils Henri 1er, mis au monde 23 ans plus tôt par Constance d'Arles, règne désormais seul sur la France. Il fait appel au duc de Normandie Robert le Diable pour contrecarrer son frère puîné Robert qui tente de le détrôner. En échange de son aide, le duc reçoit le Vexin français (petite province à l'ouest de Paris). Le roi, de son côté, devient le parrain de son fils Guillaume, le futur conquérant de l'Angleterre...

20 juillet 1397 : Union de Kalmar

Le 20 juillet 1397, à Kalmar, un port suédois au sud de Stockholm, est proclamée l'Union des trois royaumes scandinaves de Norvège, Suède et Danemark (l'actuelle Finlande fait à cette époque partie de la Suède).

L'initiative revient à Marguerite, veuve du roi de Norvège Haakon VI et fille du roi de Danemark Valdemar IV. Elle donne la couronne commune à Éric de Poméranie avec l'objectif de préserver les intérêts scandinaves face aux visées des entreprenants marchands allemands de la ligue hanséatique.

L'union de Kalmar prend fin le 6 juin 1523, quand le prince Gustave Vasa est élu roi de Suède et chasse les Danois de Stockholm.

Le Danemark et la Norvège restent quant à eux soudés jusqu'en 1814. Par le traité de Kiel du 14 janvier 1814, le prince Bernadotte, régent de Suède, impose à la Norvège une union personnelle avec la Suède. Elle va durer jusqu'à l'indépendance complète de la Norvège, le 25 novembre 1905.

20 juillet 1858 : Entrevue secrète de Plombières

Suite à l'attentat de Felice Orsini, l'empereur Napoléon III invite secrètement à Plombières, station thermale des Vosges, Camilo Cavour, Premier ministre du roi de Piémont-Sardaigne Victor-Emmanuel II. Lors de cette entrevue secrète, les 20 et 21 juillet 1858, les deux hommes conviennent d'une intervention militaire conjointe contre l'Autriche en vue de l'unification de l'Italie.

20 juillet 1920 : Les Espagnols défaits par Abdelkrim à Anoual

Le général espagnol Silvestre lève une puissante armée pour en finir avec les Beni Ouriaghel et leur chef Abdelkrim, dans le Rif (Maroc espagnol). Mais il essuie une dramatique défaite à Anoual le 20 juillet 1921.

14.000 soldats espagnols sont tués, blessés ou portés disparus dans la bataille, soit la presque totalité de ses troupes. Le général lui-même se suicide. C'est le début de la guerre du Rif...

20 juillet 1969 : On a marché sur la Lune

Dans la nuit du 20 au 21 juillet 1969, le module lunaire Eagles de la mission Apollo XI se pose sur la Lune, dans la « mer de la Tranquillité ».

L'astronaute Neil Armstrong annonce : « Houston, ici la base de la Tranquillité. L'Aigle a atterri »... Il débarque, suivi d'Edwin « Buzz » Aldrin. Le troisième cosmonaute de l'équipage, Michaël Collins, poursuit le tour de la Lune dans la capsule Apollo. Le lancement de la fusée Saturn a eu lieu le 16 juillet de la base de Cap Kennedy (aujourd'hui Cap Canaveral)

Cet exploit marque l'apogée des États-Unis. Vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale, ils dominent l'économie mondiale et démontrent avec Apollo XI leur supériorité technologique. Mais dans le même temps, au Vietnam, ils connaissent leurs premières déconvenues, comme un parfum d'automne

Le défi soviétique

Les Soviétiques ont inauguré la course à l'espace à la fin des années 1950, au plus fort de la guerre froide. En octobre 1957, ils surprennent le monde entier en mettant en orbite le premier satellite artificiel, Spoutnik 1. En avril 1961, ils consolident leur avance en envoyant le premier homme dans l'espace, Iouri Gagarine.

Le président américain John Fitzgerald Kennedy décide alors de mettre un terme aux déboires des États-Unis. Le 25 mai 1961, il prend l'engagement devant le Congrès que les États-Unis enverront un homme sur la Lune avant la fin des années soixante. La NASA  (National Aeronautics and Space Agency), qui a été fondée le 1er octobre 1958, va tenir le pari en mobilisant près de 400.000 personnes et 25 milliards de dollars (4,4% du budget gouvernemental).

L'exploit américain

 La fusée Saturn V transportant la capsule Apollo et le module lunaire Eagle (LEM) a été lancée le 16 juillet de la base de Cap Kennedy (aujourd'hui Cap Canaveral), en Floride.

Après sa mise en orbite terrestre à 190 km de la Terre, le vaisseau spatial (capsule et LEM) se détache du troisième étage de la fusée. Il se dirige vers la Lune avec les trois hommes de l'équipage à la vitesse de 39.030 km/h.

Quatre jours plus tard, une fois en orbite lunaire, le LEM se détache de la capsule et s'approche en douceur de la «mer de la Tranquillité».

Voyant que le pilote automatique se dirige vers une zone instable, le commandant Neil Armstrong, avec un sang-froid exceptionnel, repasse en manuel et cherche un endroit plus sûr où se poser. Il ne lui reste alors que quelques secondes de carburant avant la panne sèche.

Buzz Aldrin photographié par Neil Armstrong  au pied du module lunaire Eagle (LEM) d'Apollo XI (DR) À 3h56, dans la nuit du 20 au 21 juillet, Neil Armstrong met le pied (gauche) sur la Lune. Un milliard d'êtres humains suivent l'exploit en temps réel ou presque sur leurs écrans de télévision.

À leur attention, Neil Armstrong (38 ans) lâche une phrase vouée à l'Histoire : «Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité». Précisons qu'il avait préparé cette phrase avant son départ et l'avait soumise à ses supérieurs de la NASA.

L'astronaute est rejoint un quart d'heure plus tard par Edwin «Buzz» Aldrin et avec lui plante la bannière étoilée sur la Lune.

Dans le ciel, la capsule Apollo poursuit le tour de la Lune avec à son bord le troisième homme de l'équipage, Michaël Collins. Neil Armstrong avait été désigné pour être le premier à marcher sur la Lune car il était un civil et non un militaire comme ses deux compagnons.

Le séjour sur le sol lunaire est bref, deux heures et demie à peine, le temps de prendre quelques photos souvenir et de ramasser quelques cailloux. De retour sur la Terre après un peu plus de 8 jours d'absence, les astronautes rapportent 20 kg d'échantillons de minéraux lunaires.

Cette onzième mission du programme Apollo rehausse le prestige des États-Unis qu'avaient terni la guerre froide, l'engagement au Viêt-nam et la lutte des Noirs contre la ségrégation raciale. Elle puise son origine dans la rivalité entre Américains et Soviétiques.

L'équipage d'Apollo XI (1969) : de gauche à droite, Neil Armstrong, Michaël Collins et Edwin Aldrin (DR)

Cinq missions Apollo vont succéder à la mission d'Armstrong et Aldrin jusqu'au 14 décembre 1972. Depuis lors, personne n'est revenu sur la Lune et marcher sur les traces laissées ce jour-là par le cosmonaute Eugen «Gene» Cernan.

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