Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

L’INFINI DES NUITS DE RÊVES

L’INFINI DES NUITS DE RÊVES

La sève miraculeuse s'abreuve d’espoir.

Du fond de la souffrance et du désespoir.

Naît ce bonheur guérisseur d’une nuit noire.

Elle ondoie la fleur du rêve, la cajoleuse,

Elle tournoie comme la pie voleuse,

Du mystère vibrant de la frileuse.

Mon âme roule sur ce doux délice

Elle s’enveloppe d’une tendre malice,

S’activant devant un feu d’artifice.

Une délicieuse fontaine en réglisse

Tous ces rêves la tapissent.

Sans pour autant y avoir vice

L’aurore enflamme le ciel

Ce jour sera fait miel

Car il n’y a pas son pareil

Dans le rêve des merveilles.

De trouver au réveil

Ce met délicieux des abeilles

Tombe, tombe la pluie,

Le sol goudronné reluit

En se cachant sous le parapluie.

Les souvenirs meurent d’ennui.

Bien qu’il ne fasse pas nuit,

Le ciel sombre glisse sans bruit.

La belle de nuit s'épanoui

Elle ondule, au gré du vent

Ainsi elle évite le cambouis.

D’une voiture vrombissante

Sans savoir vivre la tonitruante

De surcroît est puante

Avec son air de fille inouïe

Elle se délecte pour un oui

Qui ne fait pas une ouïe,

Mais banalement en jouit.

Seule son odeur se réjouit

Ainsi va la vie de cette inouïe.

Ce rêve me promène

Du printemps sans gêne

A l’été délicat de Jérusalem

Puis l’automne et son diadème

Enfin l’hiver et ses emblèmes

De ma jeunesse sans problème

Je rêve, oui je rêve d’une crème glacée

De fraise et de vanille émincée

Couchée sur un lit froncé

De macarons rose et café glacé

Ce n’est pourtant pas la panacée

Je la savoure, la délecte sans problème.

La dentelle de l’abat-jour

Renvoie à ce doux rêve d’un jour

La rosée s’efface avec le jour

Pour que ce soit plus court

La fleur du ciel parcourt

La destinée sans discours.

La nuit flirte avec la lune

Le nez en l’air humant la brume.

Le maréchal ferrant frappe l’enclume.

Le pêcheur enlève l’écume.

Les étoiles filent et fument

Les souvenirs s’exhument.

De cet amour né l’histoire du nu,

La galaxie des poètes rêve aux nues,

Elle entraîne son armée d’ingénue,

Notre regard s’y promène sans retenue,

Cherchant infatigablement son contenu,

Sans y être vue, ni reconnue.

Dans ce songe la sève de deux corps

Prend un tournant brûlant d’effort

Ils y trouvent le grand confort,

Dans ces nuages moelleux blanc et or

Ils ont la récompense du réconfort

Dans cet immense océan d'or.

Je m'abandonne au soleil,

Sur la plage des merveilles

Les yeux fermés s’émerveillent.

Puis à l'aube enfin je m'éveille

Le feu des caresses s’enraye

Dans les songes du sommeil

Au réveil tout disparaît, je suis endeuillé.

De ces vagues rêveuses imprégnées

Du guide de la destinée ensoleillée,

De cet amour unissant l’effeuillé

Au divin plaisir de l’estampillé

Du large infini du fruit de la veillée.

Monique Macalou

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article