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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Poèmes divers

Poèmes divers
Poèmes divers

Tombe la pluie

 

Tristesse quand tombe la pluie,

Le sol goudronné reluit

En se cachant sous le parapluie.

Les souvenirs meurent d’ennui.

Bien qu’il ne fasse pas nuit,

Le ciel sombre glisse sans bruit.

 

La belle de nuit s'épanoui

Elle ondule, au gré du vent

Ainsi elle évite le cambouis.

D’une voiture vrombissante

Sans savoir-vivre tonitruante

De surcroît elle est puante

 

Avec son air de fille inouïe

Elle se délecte pour un oui

Qui ne fait pas une ouïe,

Mais banalement en jouit.

Seule son odeur se réjouit

De la vie de cette inouïe.

 

froide, et sombre cette pluie

Elle lave c’est gratuit

Le ciel gris triste conduit

La nuit arrive elle ne s’enfuit

Elle n’a pas de sauf-conduit

La fraîcheur ferme son circuit.

 

Alumacom

18 décembre 2017

 

 

 

Un rêve curieux et sublime

 

Ce rêve me promène

Du printemps sans gêne

A l’été délicat de Jérusalem

Puis l’automne et son diadème

Enfin l’hiver et ses emblèmes

De ma jeunesse sans problème

 

Je rêve, oui je rêve d’une crème glacée

De fraise et de vanille émincée

Couchée sur un lit froncé

De macarons rose et café glacé

Ce n’est pourtant pas la panacée

Je la savoure, la délecte sans problème.

 

La dentelle de l’abat-jour

Renvoie à ce doux rêve d’un jour

La rosée s’efface avec le jour

Pour que ce soit plus court

La fleur du ciel parcourt

La destinée sans discours.

 

 

La nuit flirte avec la lune

Le nez en l’air humant la brume.

Le maréchal ferrant frappe l’enclume.

Le pêcheur enlève l’écume.

Les étoiles filent et fument

Les souvenirs s’exhument.

 

De cet amour né l’histoire du nu,

La galaxie des poètes rêve aux nues,

Elle entraîne son armée d’ingénue,

Notre regard s’y promène sans retenue,

Cherchant infatigablement son contenu,

Sans y être vue, ni reconnue.

 

Dans ce songe la sève de deux corps

Prend un tournant brûlant d’effort

Ils y trouvent le grand confort,

Dans ces nuages moelleux blanc et or

Ils ont la récompense du réconfort

Dans cet immense océan d'or.

 

Je m'abandonne au soleil,

Sur la plage des merveilles

Les yeux fermés s’émerveillent.

Puis à l'aube enfin je m'éveille

Le feu des caresses s’enraye

Dans les songes du sommeil

 

Au réveil tout disparaît, je suis endeuillé.

De ces vagues rêveuses imprégnées

Du guide de la destinée ensoleillée,

De cet amour unissant l’effeuiller

Au divin plaisir de l’estampillé

Du large infini du fruit de la veillée.

 

Monique Isope Macalou

Juin 2009

115

 

Un jour fût l’envie

 

Dès le premier jour fut l’envie,

Où, la première fois je devis,

 Par la grâce la vie j’entrevis.

 

Prudence aurait dû être mon nom,

Prudence fut ma ligne du non,

Prudente d’une imprudence sans nom.

 

Cette aube prétentieuse,

Se voulait précieuse

D’une éternité précautionneuse.

 

Ce premier jour fut Noël

La prudence eût été rédactionnelle

Seulement rien n’était fonctionnelle.

 

Hé oui ! ce fameux jour de Noël

L’exceptionnelle n’est pas exceptionnel

Puisque chaque année il y a Noël.

 

Alumacom

25 décembre 2015

Pire que l’ennui

Pire que ma propre mort

À m’en faire mille et un soucis

C‘est attendre.

 

Attendre quoi, qui, où, comment ?

Cette question lancinante

Cruelle, puisqu’elle est l’obsession,

De ce que serait notre vie sans cette question.

La cruauté de ce que nous voudrions être

Et ce que nous sommes.

Également ce que nous rejetons

Ce bonheur n’est pas ce qui est visible

Mais l’ombre de notre Moi.

 

Enfin il y a cette question D.ieu.

Qui est-il ?

Cette force invisible qui nous mène,

Où nous mène-t-il ?

Il est si puissant, qu’il nous emmène :

Là où il veut que nous allions.

Si nous allons là où il veut,

Nous ne sommes pas libres alors ?

Et pourtant, se laisser guider,

C’est découvrir son amour pour nous.

Cette force qui nous pousse à vouloir le découvrir.

Comment s’appelle-t-il ? C’est un minimum.

Là aussi c’est compliqué.

On nous dit il y a un seul D.ieu.

Seulement il y a une multitude de Nom.

Il y a ceux qui m’interpellent, pourquoi ?

Je ne sais ils m’attirent sans savoir pourquoi,

Je n’ai aucune raison particulière,

Et pourtant, ils m’interpellent.

Jésus, Adonaï, Shaddaï, Elohim, Marie, Père Eternel,

Dans le Ciel, pourquoi suis-je sûre que le Ciel,

C’est le Monde de D.ieu

Pourquoi cette certitude, Il est tout l’Univers

Avec ces Anges, Archanges,

 Les chanteurs et les musiciens,

Ils accompagnent dans le charme

 Ce D.ieu unique aux noms multiples.

La crainte et adoration sans explication de Shaddaï,

Une adoration indicible sans explication possible pour Adonaï

Cette adoration pour Jésus, qui nous montre ce qu’est le véritable amour.

Enfin, il y a Elohim, si raisonnable et si affectueux avec moi !

 

Attendre oui attendre toutes ces explications,

Quel supplice, pour l’impétueuse que je suis.

Cette attente douce et pourtant implacable.

J’adore cette force sans concession,

Là, dans notre monde, je refuserai.

Et pourtant, j’aurai plaisir à obéir !

Tout est incroyable, cette attente est si prenante.

Incroyable mais vrai.

 

Le Seigneur des Seigneurs est si puissant !

Je l’aime tellement,

Je suis prête à tout lui donner,

Pourtant au moment des faits,

Lui donnerai-je ma vie ?

 Comme Jésus l’a fait pour nous ?

Facile à dire, pas facile à faire !

Ô mon Seigneur, c’est si difficile en Vérité.

Pourtant, je vous adore, comme je n’ai jamais aimé auparavant.

 

Monique Macalou (Alumacom)

27 décembre 2017

 

Vivre intensément

 

Vivre intensément en trombe,

Avant que le rideau ne tombe.

L’œuvre s’achève sans bombe,

Puisque la voûte céleste surplombe,

Ce silence assourdissant de l’ombre.

 

Ceci-dit l’œuvre est dans l’éphémère

De toute cette foutue stratosphère,

Il est dit souvent que l’atmosphère

Se dit courage lorsqu’elle énumère

Tous ces belligérants qu’on défèrent.

 

La vie ne serait-ce qu’un instant,

N’imagine pas prendre le temps

D’un spoliateur se prétendant

Etre le roi des représentants

D’une dynastie des combattants.

 

 

122

LE VISAGE

 

Le visage voilé

De longs cheveux blonds

Cache le regard

Mais aussi le visage.

 

Le visage voilé,

Un foulard brodé le cache,

Seul le regard rieur,

Est actif, expressif.

 

Le visage se dévoile,

Une note de curiosité

L’éveille il s’interroge

De son regard moqueur.

 

Le nez trousse l’ambiance

Les lèvres  se retroussent

Les oreilles battent pavillons

Le menton donne le ton

 

Le visage miroir de l’âme,

Refléter la dignité,

La tristesse de la faiblesse.

Il est parlant, il ne fait face.

 

Alumacom

19/1/12

 

 

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B
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