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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fêtes aux Saintes âmes du 15 mars

SAINT DU JOUR
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Date 15 mars

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint Siège

SAINT ZACHARIE, PAPE

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Dernier pape grec, Zacharie monte sur le trône en 741. La situation de l’époque était orageuse, tensions avec l’Empire d’Orient et invasions de l’Italie par les Lombards. Zacharie se distingue par sa capacité de médiation. Il consacre roi Pépin le Bref, première investiture de la part d’un Pape.  

Sainte Louise de Marillac

Patronne:
Travailleurs sociaux chrétiens
Fondatrice des filles de la Charité (✝ 1660)

Louise est la nièce du chancelier royal Michel de Marillac et du maréchal Louis de Marillac, arrêtés tous deux et condamnés à mort par Richelieu après la "Journée des Dupes" du 10 novembre 1630. Fille naturelle d'un grand seigneur, elle est élevée par les religieuses dominicaines de Poissy. En 1613, mariée à un simple bourgeois, elle devient Mademoiselle Le Gras. Son fils Michel lui donnera beaucoup de soucis. A 34 ans, elle se retrouve veuve. C'est alors qu'elle rencontre saint Vincent de Paul. Sainte Louise de Marillac - Filles de la CharitéSubjuguée par la charité contagieuse du prêtre, elle devient rapidement sa collaboratrice dans toutes ses actions charitables. En 1633, ils fondent ensemble la "Compagnie des Filles de la Charité", appelée communément Sœurs de Saint Vincent de Paul. Louise, supérieure de la nouvelle communauté, oriente les sœurs vers tous les exclus de son temps : elle crée des petites écoles pour les fillettes pauvres; elle organise l'accueil et l'éducation des enfants trouvés; elle développe la visite à domicile pour les malades pauvres; elle envoie des sœurs auprès des galériens... Une passion l'habite: l'amour de l'homme créé à l'image de Dieu et racheté par le sang de son Fils unique. Comme Monsieur Vincent, elle mourra à la tâche. Son corps repose à Paris au 140 rue du Bac.
Elle a été béatifiée en 1920, canonisée par Pie XI en 1934; en 1960, Jean XXIII la déclare patronne de tous les travailleurs sociaux chrétiens.
Vidéo chronique des saints sur la webTV de la CEF.
- Rendant hommage à sainte Louise de Marillac, 'à qui Monsieur Vincent confia l'animation et la coordination des Charités', le Pape appelle à redécouvrir 'cette finesse et cette délicatesse de la miséricorde qui ne blesse jamais ni n'humilie personne mais qui relève, redonne courage et espérance'. (le 15 mars 2017, Le Pape encourage une 'culture de la miséricorde' à la suite de saint Vincent de Paul)

- Louise de Marillac (1591-1660)
Durant de longues années, Louise de Marillac est une femme habitée par l'anxiété, la culpabilité. Du fait de sa naissance illégitime, hors mariage, elle est rejetée par sa famille, placée dans des institutions...
Figures de sainteté - site de l'Eglise catholique en France

Sainte Louise de Marillac - diocèse de Paris
À Paris, en 1660, sainte Louise de Marillac, veuve, qui sans négliger l'éducation de son fils, fonda les Filles de la Charité, sous la direction de saint Vincent de Paul, et forma par son exemple ses compagnes au soin des malades, à l'instruction religieuse des enfants pauvres, mais surtout à la prière et à la confiance dans le Seigneur.

Martyrologe romain

SAINT CLÉMENT-MARIE HOFBAUER
PRÊTRE RÉDEMPTORISTE EN AUTRICHE

 

Prêtre rédemptoriste en Autriche (✝ 1820)

Jean Dvorak Hofbauer est né en Moravie. Son père meurt quand il n'a que 7 ans, laissant douze enfants en bas âge. Jean veut être prêtre, mais sa mère est sans ressources : il sera boulanger. Affamé de Dieu, il se fait ermite, dès qu'il le peut, sous le nom de Clément-Marie. Des bienfaitrices lui ouvrent le chemin des études et de la théologie. Il s'y nourrit des livres de saint Alphonse de Liguori. Avec son ami Thaddée Hübl, il se rend à pied à Rome et entre chez les Rédemptoristes. Il a 33 ans. Devenu prêtre, il crée et anime une mission perpétuelle à Varsovie durant vingt ans et suscite de nombreux postulants. Il choisissait les meilleurs orateurs et les meilleurs musiciens. En 1806, Napoléon le fait expulser et disperse sa congrégation. De son petit appartement de Vienne, il sera, jusqu'à sa mort, le guide spirituel des romantiques, des intellectuels, des artistes et des étudiants, car il avait repris à Vienne ce qu'il avait fait dans son église de Varsovie. Sur les instances du pape Pie VII, l'empereur François II signe, le 19 avril 1820, le décret autorisant la congrégation du P. Hofbauer. Saint Clément-Marie était mort le 15 mars précédent. Une nuée de jeunes entre alors dans son institut. Il est le patron de Vienne. Il a été canonisé en 1909.
À Vienne en Autriche, l'an 1820, saint Clément-Marie Hofbauer, prêtre de la Congrégation du Très Saint Rédempteur, qui travailla de manière admirable à la propagation de la foi dans des contrées lointaines, et à faire revivre l'esprit religieux chez les prêtres. Célèbre par son intelligence comme par ses vertus, il poussa un certain nombre d'hommes distingués dans les sciences et les arts à revenir à l'Église.

Martyrologe romain

Bonne Fêtes aux Saintes âmes du 15 mars
Bx Antoine de Milan  Missionnaire franciscain en Arménie (✝ 1286)
Saint Aristobule  un des soixante-douze disciples (Ier siècle.)
Bx Artémide Zatti  Religieux salésien italien (✝ 1951)
Saint Bodian  (VIe siècle)
Saint Clément-Marie Hofbauer  Prêtre rédemptoriste en Autriche (✝ 1820)
Vble Jan Tyranowski  laïc polonais (✝ 1947)
Bx Jean-Adalbert Balicki  prêtre (✝ 1948)
Saint Longin  Centurion romain (Ier siècle.)
Sainte Lucrèce  martyre à Cordoue (✝ 859)
Bse Malcodia  (✝ 1090)
Saint Manuel le Crétois  Martyr à Chios en Grèce (✝ 1792)
Saint Ménigne  Martyr sur les bords de la Mer Noire (IIIe siècle)
Saint Nicandre  Martyr en Egypte (IVe siècle)
Saint Sisebut  abbé de Cardegna (✝ 1082)
Saint Spécieux   (✝ 555)
Saint Tranquille  abbé à Dijon (✝ 540)
Bx William Hart  Martyr en Angleterre (✝ 1583)
Saint Ysile  évêque de Vienne (✝ v. 490)
Saint Zacharie  Pape (91e) de 741 à 752 (✝ 752)

Bx Artemide Zatti
Religieux s.d.b. († 1951) 

A

 rtemide Zatti naît à Boretto en Emilie-Romagne (Italie) le 12 octobre 1880. Les Zatti émigrèrent en 1897 en Argentine. Il trouva dans le prêtre salésien dom Carlo Cavalli un directeur spirituel qui l'orienta vers sa communauté.

Il entra à 20 ans au séminaire de Bernal (Province de Buenos Aires). Mais en soignant un jeune prêtre, il contracta la tuberculose. Dom Cavalli l'envoya dans la Maison salésienne de Viedma (Province de Rio Negro), pourvue d'un hôpital missionnaire.

Le père Garrone, infirmier salésien, lui conseilla de prier Marie Auxiliatrice, avec cette promesse: « Si Elle te guérit, tu consacreras toute ta vie à ces malades ». Il crut, il promit, il guérit. Sa voie était désormais tracée. Renoncer au sacerdoce était pour lui un vrai sacrifice, mais il l'accepta avec enthousiasme. 

Il fut admis le 11 janvier 1908 comme frère laïc, et émit sa profession perpétuelle le 8 février 1911. Il se consacra totalement à l'hôpital.
En 1913, il assuma la responsabilité de l'hôpital, dont il devint vice-directeur, administrateur et infirmier-en-chef. Sa réputation se répandit rapidement, et des malades, qu'il soignait toujours gratuitement, arrivèrent de toute la Patagonie. Il voyait Jésus souffrant dans chaque malade, lui consacrant toujours toute son attention.

Les seuls cinq jours de repos qu'il ait eu furent ceux passés en prison, parce qu'il fut soupçonné de complicité avec un évadé pour l'avoir accueilli dans son hôpital. Ce fut un homme humble, affable et infatigable. Un homme de Dieu.

Il meurt le 15 mars 1951, entouré par l'affection de toute une population.

Artemide Zatti a été béatifié le 14 avril 2002, à Rome, par Saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005), avec 5 autres Serviteurs de Dieu: Gaetano Errico, Lodovico Pavoni e Luigi Variara, presbiteri; María del Tránsito de Iesús Sacramentado, vergine; María Romero Meneses, vergine.

Bx Jan Adalbert Balicki

Prêtre en Pologne

 

Dans le Martyrologe Romain la date de la mémoire est celle de la naissance au ciel (dies natalis) : le 15 mars.

En Pologne et localement : « Jego wspomnienie liturgiczne obchodzone jest 24 października » (sa fête liturgique est célébrée le 24 octobre).

 

J

an Adalbert Balicki naît le 25 janvier 1869 à Staromiescie, dans le quartier de Rzeszów. Il grandit dans une atmosphère familiale très religieuse et décida de se consacrer à Dieu.

 

Après le baccalauréat, il entra au séminaire diocésain de Przemysl. Une fois ordonné prêtre, il accomplit son service pastoral dans la paroisse de Polna et il fut ensuite envoyé à Rome pour approfondir sa formation, qu'il conclut par une maîtrise en théologie à l'Université pontificale grégorienne.

 

Dès son retour dans son diocèse, il fut nommé professeur de théologie dogmatique au séminaire diocésain. Sa mission de professeur fut animée par une foi profonde et par l'amour de la vérité. C'est avant tout dans la prière qu'il trouva la sagesse et la lumière de l'Esprit Saint.

Dans les années 1928-1934, il remplit la fonction de Recteur du séminaire.

Il mourut à Przemysl, le 15 mars 1948, en odeur de sainteté.

 

Dom Jan Balicki consacra à Dieu et aux hommes les années de sa vie de prêtre, comme professeur et formateur des nouveaux prêtres, comme prédicateur estimé par un très grand nombre de personnes, comme confesseur charismatique et comme pasteur à la recherche des brebis qui, pour différentes raisons, s'étaient éloignées du troupeau du Christ.

Dom Balicki, humble prêtre du diocèse de Przemysl, est un exemple lumineux pour tous les fidèles à notre époque, et en particulier pour les prêtres. Il enseigne comment unir la vie contemplative à l'apostolat, comment aider son prochain dans ses besoins matériels et spirituels, comment conquérir la sainteté en évangélisant le monde.

 

Jan Adalbert Balicki a été beatifié, avec Mgr Zygmunt Szczesny Felinski, Père Jan Beyzym, Soeur Sancja Szymkowiak, le 18 août 2002, à Cracovie, par Saint Jean-Paul II qui, au cours de l’homélie a dit :  

 

« La vie du bienheureux Jan Balicki fut marquée par le service de la miséricorde. Comme prêtre, il a toujours eu un cœur ouvert aux personnes dans le besoin. Son ministère de miséricorde, outre l'aide aux malades et aux pauvres, s'est exprimé avec une énergie particulière à travers le ministère du confessionnal, plein de patience et d'humilité, toujours prêt à rapprocher le pécheur repenti du trône de la grâce divine.

En faisant mémoire de lui, je voudrais dire aux prêtres et aux séminaristes: je vous en prie mes frères, n'oubliez pas que, en tant que dispensateurs de la Divine Miséricorde, vous avez une grande responsabilité; rappelez-vous également que le Christ lui-même vous réconforte par la promesse laissée à travers sainte Faustyna : “Dis à mes prêtres que les pécheurs endurcis s'attendriront à leurs paroles, lorsqu'ils parleront de ma Miséricorde infinie et de la compassion que j'ai pour eux dans mon Cœur” (Journal, 1521 - ed. it. 2001, p. 504). »

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