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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Georges; et aux Saintes âmes du 23 avril

SAINT DU JOUR
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Date 23 avril

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

SAINT GEORGES, MARTYR

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Peu de Saints peuvent se vanter d'un culte aussi répandu et d'une telle vénération populaire comme Saint Georges, chevalier, martyr du Christ entre les IIIème et IVème siècles. En témoignent les innombrables églises qui lui sont dédiées.  

Saint Georges
Tribun militaire, martyr
(† v. 303)

Georges naquit en Cappadoce de mère chrétienne ; son éducation fut toute chrétienne. Jeune encore, il est réputé avoir combattu le paganisme et brisé des idoles dans les temples païens. C'est probablement cela qui donna naissance à la légende tardive transmise par Jacques de Voragine du combat contre le dragon.

Georges suivit la carrière des armes comme son père, et devint tribun militaire dans la garde impériale. Dioclétien ayant rallumé la persécution contre les chrétiens, tous ses sujets furent instamment invités à offrir des sacrifices aux dieux de l'empire. Cet ordre fut tout spécialement appliqué aux militaires : ce geste marquerait leur fidélité aux ordres impériaux.

Georges, alors à Lydda (aujourd’hui Lod en Israël), refusa. Sa noble audace lui mérita le reproche d'ingratitude et des menaces de mort. La légende raconte que Georges profita de ses derniers jours de liberté pour distribuer ses biens aux pauvres et affranchir ses esclaves. Ainsi préparé aux combats du Christ, le tribun aborde l'empereur lui-même et plaide devant lui la cause des chrétiens.

- « Jeune homme, lui répond Dioclétien, songe à ton avenir ! »
- « Je suis chrétien, dit Georges, je n'ambitionne ni ne regrette rien dans ce monde ; rien ne saurait ébranler ma foi. » Il est alors battu de verges, puis il subit l'affreux supplice de la roue, après lequel un ange descend du Ciel pour guérir ses blessures.

Quelques jours après, le martyr reparaît plein de vie en présence de l'empereur, qui le croyait mort ; il lui reproche de nouveau sa cruauté et l'engage à reconnaître le vrai Dieu. Trois jours il est abandonné sur un lit de chaux vive ; on lui met ensuite des chaussures de fer rougies au feu, on lui fait avaler un poison très violent.

Georges, par la grâce de Dieu, subit toutes ces épreuves sans n’en ressentir aucun mal ; plusieurs païens même se convertissent à la vue de tant de merveilles. Reconduit de nouveau dans sa prison, l'athlète invincible de la foi vit en songe Jésus-Christ descendre vers lui :
- « Georges, lui dit-il en lui présentant une couronne de pierres précieuses, voilà la récompense que je te réserve au Ciel ; ne crains rien, je combattrai avec toi demain, et tu remporteras sur le démon une victoire définitive. »

Le jour suivant, Dioclétien tâcha d'ébranler le martyr par des flatteries : « Conduisez-moi devant vos dieux » dit Georges. On l'y conduit, croyant qu'il va enfin sacrifier. Parvenu devant la statue d'Apollon, il fait le signe de la Croix et dit : « Veux-tu que je te fasse des sacrifices comme à Dieu ? » La voix du démon répond : « Je ne suis pas Dieu ; il n'y a de Dieu que celui que tu prêches. » Et en même temps la statue tombe en poussière. Le peuple s'enfuit épouvanté, et l'empereur vaincu, humilié et furieux, fait trancher la tête au martyr.

Saint Georges est le saint patron des Cavaliers (arme blindée - cavalerie) et le saint protecteur des Scouts.

Autres Fêtes du Jour
Saint Adalbert de Prague  Evêque de Prague, martyr (✝ 997)
Saint Euloge  Evêque d'Edesse en Syrie (✝ 387)
Saints Félix, Fortunat et Achillée  martyrs de Valence (✝ v. 212)
Saint Georges de Ptolémaïs  Martyr (✝ 1752)
Saint Gérard de Toul  évêque (✝ 994)
Bienheureux Gilles Un des six premiers compagnons de saint François d'Assise (✝ 1262)
Vénérable Gregorio Tommaso Suárez Fernández  prêtre espagnol. (✝ 1949)
Bienheureuse Hélène Valentini  tertiaire augustine (✝ 1458)
Saint Ibar  Missionnaire en Irlande (Ve siècle)
Saint Lazare le Bulgare  Martyr (✝ 1802)
Vénérable María Soledad Sanjurjo Santosreligieuse de la Congrégation des Servantes de Marie (✝ 1973)
Bienheureuse Marie-Gabrielle Sagheddu  religieuse au monastère de Grottaferrata (✝ 1939)
Saint Marole  évêque de Milan (✝ 423)
Sainte Pusinne  moniale (Ve siècle)
Bienheureuse Thérèse-Marie de la Croix  fondatrice de la Congrégation des Carmélites de Sainte-Thérèse (✝ 1910)

SAINT ADALBERT ÉVÊQUE DE PRAGUE, MARTYR

Premier évêque slave de Prague, Adalbert a étudié à Magdebourg et tente d’y évangéliser, mais la tâche est difficile et il est seul; il se rend alors à Rome et se fait moine bénédictin. Il fut missionnaire ensuite dans le Nord, parmi les Prussiens. En 997, il mourut martyr sur la côte baltique. 

 

Martyrologe Romain : Mémoire de saint Adalbert (Vojtech), évêque de Prague et martyr. Il souffrit beaucoup dans cette Église, entreprit plusieurs voyages pour le Christ, travailla activement à extirper les habitudes païennes, mais, constatant qu’il n’obtenait que peu de résultat, il s’en alla à Rome et s’y fit moine sur l’Aventin. Enfin, il alla en Pologne et, comme il avait l’intention d’attirer à la foi les Borusses voisins, il fut assailli, en 997, par les païens à Tenkitten, près de Gdansk, un lieu sacré pour eux, qui le percèrent de leurs lances.

 

Bse Marie-Gabrielle Sagheddu

Religieuse trappistine

 

M

aria Gabriella naît à Dorgali (Sardaigne) le 17 mars 1914 de Marcantonio Sagheddu et Caterina Cucca, cinquième de huit enfants d’une famille de bergers modeste.

 

Autour d'elle, tous furent frappés de la voir se transformer vers l'âge de dix-huit ans. Peu à peu, elle s'adoucit, ses accès de colère disparurent, elle devint méditative, austère, patiente et réservée.
 

À 21 ans, en 1935, fut admise à la Trappe de Grottaferrata (Rome), ayant aujourd'hui son siège à Vitorchiano. Durant son noviciat, elle vécut avec la crainte qu'on ne la renvoie, mais après la profession elle vint à bout de cette crainte et connut un abandon paisible et confiant.

A partir de ce moment, elle vécut avec le désir de s'offrir totalement: « Maintenant, c'est à Toi d'agir », disait-elle simplement.

 

Sa courte vie monastique (trois ans et demi) se consomma comme une eucharistie, avec cette simple préoccupation de renoncer totalement à elle-même chaque jour pour suivre le Christ dans son obéissance au Père jusqu'à la mort. Sœur Maria Gabriella avait humblement offert sa vie afin que les Chrétiens désunis soient Un dans le Christ.

 

La tuberculose s'empara du corps de la jeune sœur, qui avait joui jusqu'à ce moment d'une parfaite santé, dès le soir même de son offrande : elle devait la conduire à la mort après quinze mois de souffrance.

 

Au soir du 23 avril 1939, Maria Gabriella termina sa longue agonie, dans l'abandon total à la volonté de Dieu. Les cloches sonnaient à toute volée, à la fin des vêpres du dimanche du Bon Pasteur, ce dimanche où l'évangile proclamait: « Il n'y aura qu'un seul bercail et un seul pasteur ».
Son corps, retrouvé intact lors de la reconnaissance de 1957, repose actuellement dans une chapelle contigüe au monastère de Vitorchiano.

 

Sœur Maria Gabriella a été béatifiée le 25 janvier 1983, par Saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005), 44 ans après sa mort, dans la basilique de Saint Paul hors les murs.

La Prière de Sœur Maria-Gabriella Sagheddu 
« Ô Jésus, fais que je puisse demeurer toujours fidèle à mes promesses » :

« Dans la simplicité de mon cœur, je T'offre tout avec joie, ô Seigneur. Tu as daigné m'appeler à Toi, et je viens à Tes pieds. En ce jour de Ta fête royale, Tu veux faire de moi, créature misérable, la reine. Je Te remercie avec toute l'effusion de l'âme, et en prononçant les saints vœux, je m'abandonne entièrement à Toi. Ô Jésus, fais que je puisse demeurer toujours fidèle à mes promesses, et que je ne reprenne jamais ce que je Te donne en ce jour. Viens et règne dans mon âme, tel un Roi d'amour. Amen. »

 

Bienheureuse Thérèse-Marie de la Croix

fondatrice de la Congrégation des Carmélites de Sainte-Thérèse (✝ 1910)

Née à Campo Bisenzio en Toscane, Teresa Manetti fonde à Florence la Congrégation des Carmélites de Sainte-Thérèse, carmélites contemplatives ayant une action apostolique: prière, adoration, éducation de la jeunesse. Elle prend le nom de religieuse de Thérèse-Marie de la Croix.
Béatifiée le 19 octobre 1986 à Florence (Italie) par Jean-Paul II.
À Campo Bisenzio en Toscane, l'an 1910, la bienheureuse Thérèse-Marie de la Croix (Thérèse Manetti), vierge, fondatrice de la Congrégation des Carmélites de Sainte-Thérèse.

Martyrologe romain

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