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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Martinien et aux très Saintes âmes du 2 juillet

Saint Martinien


Martyrisé au Ier siècle (Ier siècle)
Il aurait été le geôlier de saint Pierre. Avec son compagnon Processus, il n'hésita pas à donner sa vie au Christ qu'il avait découvert grâce à son prisonnier. C'est pourquoi le pape Pascal 1er fit transporter leurs cendres dans la basilique Saint Pierre de Rome où elles sont toujours.
Un tableau de Jean Valentin dit aussi Valentin de Boulogne représentant le Martyre de Saint Procès et Saint Martinien, 1629, se trouve à la Pinacothèque, salle XII, musée du Vatican.
À Rome au cimetière de Damase, au second mille de la voie Aurélienne, les saints Procès et Martinien, martyrs.

Martyrologe Romain

Patron:
Surveillants de prison

Saint François Jérôme

(de Geronimo ou de Girolamo)
Prêtre s.j.

Dans le Martyrologe romain la date de la mémoire est celle de la naissance au ciel (dies natalis) : le 11 mai. Pour la Congrégation, et au niveau local, le jour de la mémoire est le 2 juillet.

Francesco de Geronimo, aîné de onze enfants, naît à Grottaglie (en Pouilles, Italie) le 17 décembre 1642.
Son enfance fut remarquable par une compassion innée pour les misères d'autrui. Un jour, il prenait un pain pour les pauvres, sans la permission de ses parents. Sa mère lui en adressa d'amers reproches : « Croyez-vous que l'aumône appauvrisse ? dit-il à sa mère ; regardez le buffet ! » La mère regarda : aucun pain ne manquait.

Entré jeune encore dans la Compagnie de Jésus, il s'y montra dès l'abord saint religieux dans la force du terme. Ce qu'il convient avant tout de remarquer en lui, c'est l'apôtre. Il demande un jour à ses supérieurs d'aller évangéliser les Indes et le Japon : « Les Indes et le Japon, lui est-il répondu, sont pour vous à Naples. Quant au martyre, les épines du ministère apostolique suffiront. » C'était vrai.

Qu'il est beau de le voir chaque mois, la sonnette à la main, appeler Naples à la Sainte Communion, bravant toutes les intempéries des saisons et réussissant à amener jusqu'à vingt mille communiants, le même jour, à la Table sainte ! Souvent l'église ne suffisait pas à ses prédications ; une éminence en plein air lui servait de chaire, et l'on voyait les multitudes saisies d'émotion sous sa parole puissante.

Avant d'aller prêcher, le missionnaire passait des heures en prière et ne paraissait devant la foule que le cœur débordant des flammes de la charité qu'il avait puisée aux pieds du crucifix. Un jour, une personne scandaleuse qui l'avait interrompu dans un sermon vint à mourir ; le Saint alla près de son lit funèbre et lui cria : « Où es-tu ? à ces mots, les lèvres du cadavre s'agitent et répondent : “En enfer !” ». Dieu, par une foule de miracles, centuplait la puissance apostolique de son serviteur.

Plusieurs fois l'on put constater sa présence en deux endroits simultanément ; ses prophéties étaient de chaque jour, sa foi rendit la vie à un enfant mort, et sa parole ressuscita une multitude d'âmes à la vie de la grâce.

Il meurt, comme il l’avait prédit, le 11 mai 1716, à Naples.

Béatifié le 2 mai 1806 par le pape Pie VII (Barnaba Chiaramonti, 1800-1823), il fut canonisé le 26 mai 1839 par le pape Grégoire XVI (Bartolomeo Cappellari, 1831-1846).

Saint Pierre de Luxembourg

Cardinal évêque de Metz
(1369-1387)

Pierre de Luxembourg vint au monde le 20 juillet 1369 à Ligny-en-Barrois (Meuse, France), d'une famille illustre parmi les plus illustres de l'Europe entière. Ses mœurs intègres, son humilité, sa modestie, attirèrent sur lui l'admiration de tout le monde ; sa dévotion savait s'allier avec les exigences extérieures, et il se faisait remarquer, en même temps que par sa gravité, par une aisance et une amabilité charmante.
À six ans, il voua à Dieu sa virginité, et poussa au même vœu sa sœur Jeanne, âgée de douze ans. Ayant appris que la charité était une vertu traditionnelle dans sa famille, il l'exerça dès son enfance avec le plus grand soin.

Chanoine à quinze ans, il dut, à seize ans, accepter l'évêché de Metz, sans toutefois avoir reçu encore les ordres sacrés, et il gouverna ce diocèse, ayant pour coadjuteur un évêque choisi dans l'Ordre de Saint-Dominique. L'épiscopat était au-dessus de l'âge de Pierre, mais non au-dessus de ses mérites. Il fit son entrée à Metz pieds nus et monté sur un âne : il bannit de son palais et de son entourage tout luxe et tout éclat ; il ne fut magnifique qu'à l'égard des pauvres et pour la construction de nouveaux temples au Seigneur.

Il avait une extrême délicatesse de conscience et tenait son corps dans une grande servitude. Il vécut dans une grande pureté de cœur.

Plein de Dieu, il ne le perdait jamais de vue, et sa vie fut une oraison continuelle ; la prière, l'étude, le soin de son diocèse, occupaient tout son temps : « Puisqu'on a voulu me faire évêque, disait-il, il n'est plus de saison d'être un jeune homme. » Plus d'une fois on le vit tomber en extase, environné de lumière.

En 1386, il est nommé cardinal d’Avignon et meurt dix mois plus tard, le 2 juillet 1387 à Villeneuve-lès-Avignon. Il est enterré au cimetière Saint-Michel d’Avignon.

Il fut question de le canoniser pendant le Concile de Bâle (1431-1449), mais cela n'aboutit pas.

Il fut béatifié le 9 avril 1527 par le pape Clément VII (Giulio de' Medici, 1523-1534). Il est fêté le 2 juillet à Châteauneuf du Pape dont il est le saint patron. Une chapelle lui est dédiée dans ce village depuis le XVIIIe siècle.

Bienheureuse Eugénie Joubert

Religieuse de la Sainte-Famille du Sacré-Cœur (? 1904)

 

Eugénie Joubert est née à Yssingeaux le 11 Février 1876, 4ème enfant d’une famille dont la maman était profondément Chrétienne.
Elle est pensionnaire dans divers établissements tenus par des religieuses à Monistrol, Yssingeaux et au Puy.
Elle apprend à aimer Le Seigneur, ses camarades et les pauvres.
Une nouvelle Congrégation est fondée au Puy : « la Sainte Famille du Sacré-Cœur » dont le but sera le catéchisme, surtout aux plus pauvres et aux plus déshérités. Marie, une sœur plus âgée d’Eugénie, entre dans cette Congrégation.

A partir de Juillet 1893, les sœurs vont se reposer à Coubon dans une maison à La Darne.
Le 2 Juillet 1895, Eugénie se rend à La Darne.
Le Père Rabussier y anime une retraite. Eugénie se confie à lui, lui fait part de ses projets, écoute ses conseils.

Après cet entretien, plus de doute, plus d’hésitation. Elle sera Religieuse de la Sainte Famille du Sacré- Cœur. Elle a 19 ans.
Dès les premiers jours chez les Religieuses, Eugénie se veut fidèle et généreuse.
Le 8 Septembre 1897, elle prononce ses vœux à Saint-Denis…

En 1897, le noviciat quitte Le Puy pour aller s’installer à Saint-Denis. Eugénie y prononce ses vœux le 8 Septembre de la même année.
Elle est envoyée dans la Communauté d’Aubervilliers. Elle rayonne par sa Charité toute simple. Elle fait le Catéchisme. Elle sait calmer et même captiver les enfants turbulents. On lui confie les plus difficiles.

Très vite, sa santé se dégrade…
En 1902, sa santé se dégrade, elle doit se reposer à Liège dans un Monastère. Dès lors, sa vie sera faite de souffrance et d’inaction. Elle fera encore un séjour à Rome, mais la maladie reprend de plus belle. Elle revient à Liège.
Elle se tourne avec confiance vers la Vierge Marie et vers Jésus pour y puiser lumière et courage.
On la sent continuellement en Prière. « Je prierai pour vous tous dans le Ciel ». Le 2 juillet 1904, elle reçoit le Sacrement des malades et la Communion. Elle meurt en prononçant plusieurs fois le Nom de Jésus, les lèvres sur un Crucifix. Elle a 28 ans.

Elle est proclamée "Bienheureuse" le 20 Novembre 1994…
Sœur Eugénie Joubert est un modèle d’union à Dieu dans les petites choses.
Elle nous apprend à vivre la sainteté au quotidien en nous rappelant que telle est notre vocation.
Elle est un exemple pour tout catéchiste.
A Rome, le 20 Novembre 1994, le Pape Saint Jean Paul II la proclame « Bienheureuse », en même temps que Mère Agnès de Langeac.
Sa Fête est célébrée le 2 Juillet.

Autres Fêtes du Jour


Vénérable Ángel Riesco Carbajo évêque espagnol, fondateur (✝ 1972)
Saint Bernardin Realino prêtre jésuite (✝ 1616)
Saint Colomban abbé de Luxeuil et de Bobbio (✝ 615)
Bienheureux Jean et Pierre Becchetti prêtres de l'Ordre des Ermites de Saint-Augustin (XVe siècle)
Saint Jean Maximovitch archevêque de l'Église orthodoxe à Shanghai, Bruxelles puis San Francisco (✝ 1966)
Saint Jéroche  (VIIe siècle)
Saint Libérat Abbé martyr avec six moines de son monastère (✝ 484)
Saint Lidan abbé dans le Latium en Italie (✝ 1118)
Sainte Monégonde ermite recluse (✝ 570)
Saint Oudocée Évêque de Llandaff (Glamorgan) (✝ v. 615)
Bienheureux Pierre de Luxembourg cardinal, évêque de Metz (✝ 1387)
Saint Swithin évêque de Winchester (✝ 862)

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