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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Simon et Jude également aux autres Saintees âmes du 28 octobre

Saints Simon le Cananéen et Jude Thaddée
Apôtres et martyrs (Ier siècle)

Ces deux Apôtres ont leur fête le même jour parce qu'ils ont travaillé ensemble à la conversion des Gentils. Simon, qui était originaire de Cana, où Jésus changea l'eau en vin, reçut le surnom de Cananéen, pour le distinguer de Simon-Pierre, chef des Apôtres. Jude était frère de saint Jacques le Mineur et de saint Siméon, évêque de Jérusalem, et comme eux cousin du Sauveur. Avant son élévation au ministère évangélique, il était agriculteur.

Simon prêcha d'abord en Égypte, en Mauritanie, en Libye ; saint Jude, après avoir prêché en Afrique avec beaucoup de succès, revint en Orient et annonça l'Évangile dans la Judée, la Samarie, la Syrie et la Mésopotamie. Simon et Jude se rejoignirent en Perse, et là ils combattirent et moururent ensemble.

Les choses extraordinaires que Dieu opéra par leurs mains les firent traiter avec respect par le roi de ce pays, qui leur laissa la liberté de prêcher leur doctrine si sainte et si nouvelle. Un fait vint ajouter à leur prestige : deux tigres, échappés de leur cage, étaient la terreur du pays. Au nom de Jésus-Christ, les Apôtres commandèrent à ces bêtes féroces de les suivre, et ils les emmenèrent dans leur maison. Le roi, toute sa cour et plus de soixante mille Perses se firent chrétiens. Des églises s'élevèrent sur les ruines des temples des idoles ; le triomphe du Christ était complet.

Mais l'ennemi des âmes déchaîna toute sa fureur pour arrêter les progrès de l'Évangile. Simon et Jude étant allés annoncer Jésus-Christ en d'autres villes, les païens voulurent les contraindre à sacrifier au soleil, qu'ils adoraient comme un dieu :

« Mon frère, dit alors Jude à Simon, je vois le Seigneur qui nous appelle.

“Et moi, reprit Simon, j'ai vu aussi Jésus-Christ entouré de ses Anges, et un des Anges m'a dit : ‘Je vous ferai sortir du temple et je ferai crouler sur eux tout l'édifice.’

Qu'il n'en soit pas ainsi ! ai-je répondu, peut-être quelques-uns se convertiront-ils !” »

Et voici qu'en ce moment un Ange leur dit à tous les deux : « Que choisissez-vous, ou la mort pour vous, ou l'extermination de ce peuple impie ? “Miséricorde pour ce peuple ! crièrent les deux Apôtres. Que le martyre soit notre partage !”»

Cependant les prêtres des dieux les exhortaient à sacrifier : « Le soleil, dit Simon, n'est que le serviteur de Dieu ; ce sont les démons qui résident en vos idoles ; je leur ordonne de sortir. » Et les démons, sous une forme horrible, sortirent des statues brisées. Alors le peuple se jeta sur les deux Apôtres et les massacra, pendant qu'ils bénissaient Dieu et priaient pour leurs bourreaux.

Saints Vincent, Sabine et Christète
Martyrs († v. 305)

Dacien, ce cruel exécuteur de la rage des empereurs Dioclétien et Maximien, étant venu en Espagne, plutôt pour persécuter les Chrétiens que pour en gouverner les provinces, fit arrêter Vincent qu'on lui dénonça comme un des plus zélés défenseurs du culte de Jésus-Christ.

Pour tâcher de corrompre sa foi, il lui démontra que c'était une folie de s'exposer à perdre la vie à la fleur de son âge par de cruels supplices, pour défendre l'honneur d'un homme que l'on avait crucifié, et qu'il ferait beaucoup mieux d'obéir aux ordres des empereurs qui commandaient de sacrifier aux divinités païennes. Puis, voyant que le saint martyr, bien loin de se rendre à ses désirs, confessait généreusement la divinité de Jésus-Christ, et déclamait contre Jupiter, se moquant de cette idole incestueuse et adultère, il commanda qu'on le menât devant la statue de l'idole, et que s'il ne lui offrait de l'encens, il fût à l'heure même torturé, déchiré, rompu de coups, et enfin mis à mort par le dernier supplice.

Les bourreaux se saisirent aussitôt de lui et l'entraînèrent au lieu désigné par le président; mais, par un grand miracle, ayant mis le pied sur une pierre dure, Vincent y imprima son vestige, de même que si c'eût été de la cire molle; les bourreaux en furent tellement touchés, que, pour avoir le temps de se faire instruire des mystères de la foi chrétienne, ils retournèrent à Dacien; et feignant que Vincent demandait trois jours pour délibérer, ils obtinrent de lui ce sursis.

Pendant ce temps, ils l'amenèrent chez eux : Sabine et Christète, sœurs de notre invincible martyr, vinrent le voir; et, se jetant à ses pieds, elles le prièrent et le conjurèrent en pleurant, de prendre la fuite avec elles pour leur servir de père et de mère et être leur soutien dans la rigueur de cette persécution. Vincent eut bien de la peine à le faire ; mais, enfin, considérant la jeunesse de ces vierges, et s'imaginant qu'elles pourraient succomber à la cruauté des supplices si elles n'étaient soutenues par ses exhortations et par son exemple, il usa de la liberté que lui donnèrent ceux qui le retenaient, et se retira avec ses sœurs à Avila. Le président en fut bientôt averti, et il envoya en même temps des cavaliers pour les suivre. Ils les atteignirent en cette ville ; et, comme ils avaient ordre de les tourmenter et de les faire mourir, ils exercèrent contre ces innocentes victimes toutes les cruautés dont l'impiété est capable. Enfin, après avoir disloqué tous leurs membres sur le chevalet et leur avoir déchiré le corps à coups de fouet, ils leur mirent la tête sur des pierres et la leur écrasèrent avec des cailloux et des leviers.

Leurs dépouilles sacrées demeurèrent ensuite exposées à la voirie pour être dévorées par les animaux; mais, ô conduite admirable de la divine Providence ! un serpent d'une grosseur prodigieuse, qui causait de grands maux dans le pays, sortit des rochers voisins de la ville pour les garder. Un Juif s'étant donc approché pour les insulter, il fut saisi par ce monstre et n'échappa à sa cruauté que par la promesse qu'il fit de se convertir au Christ et de donner honorable sépulture aux saints martyrs, et de faire bâtir une église en leur honneur. Il accomplit depuis lors ce qu'il avait promis.

On trouve l'office de saint Vincent et de ses sœurs dans les anciens bréviaires et missels mozarabes.

 

Saint Rastislav

saint orthodoxe (✝ 870)

ou saint Rostislav, prince de Grande-Moravie (royaume slave)
Converti au christianisme, il rencontre les saints Cyrille et Méthode qui aident à l'évangélisation des peuples grâce aux Saintes Ecritures traduites et écrites dans l'ancien alphabet slave.

Détrôné, condamné, il meurt en Bavière dans un monastère en 870.
Canonisé en 1994 (fête le 28 octobre) pour l'Eglise orthodoxe de Tchéquie et de Slovaquie.

 Contexte d'arrivée au pouvoir
Rastislav naît, probablement dans la décennie 820, dans une famille princière, dans un territoire encore peu christianisé, où la population parle la langue slavonne et suit les rites et croyances de la religion slave. Il serait le neveu du prince Mojmir1 qui unit, dans les années 830, la principauté de Nitra et celle de Morava pour créer la Grande-Moravie. Cette union se passe dans un contexte de tension avec les Francs, dont l'influence se ressent militairement et culturellement. En 828, l'archevêque de Salzbourg, Adalram représentant du clergé de la Francie orientale, consacre par exemple une église à Nitra.


Les principautés de Morava et de Nitra, qui constituent, ensemble, l'essentiel de la Grande-Moravie créée par Mojmir

La création de la Grande-Moravie se situe donc dans un contexte de résistance à l'influence franque, par l'union des différentes principautés slaves qui sont apparues depuis le début des années 800. L'émergence d'un pouvoir politique slave uni, avec des velléités d'indépendance vis-à-vis des Francs, engendre une réaction forte de la part du roi de Francie orientale, Louis le Germanique : il envahit la Grande-Moravie en août 846 et dépose Mojmir, vaincu. Pour diriger la Grande-Moravie, les Francs installent Rastislav, dans une logique de clientélisme. On trouve une trace de cette campagne dans les annales de Fulda :

Un manuscrit ouvert, la graphie est composée de minuscules carolines
Un exemplaire des Annales de Fulda, conservé à la bibliothèque humaniste de Sélestat
[Louis le Germanique] s'en alla au milieu du mois d'août avec son armée, pour combattre les Slaves Moraviens qui prévoyaient de faire défection. Là, il a arrangé et réglé les affaires comme il l'entendait, et a installé Rastisav, un neveu de Mojmir, en tant que leur dux

Les Annales de Fulda, an 8462

On peut supposer que le choix de Rastislav par Louis le Germanique est poussé par le fait que celui-ci ait été otage à la cour du souverain franc. Dans le Haut Moyen-Âge, il est en effet coutume d'envoyer des enfants de la famille dirigeante d'un État vassal dans la cour de son suzerain. Et si Mojmir manifeste, au cours de son règne, une certaine volonté d'indépendance, la principauté de Morava rendait un tribut au pouvoir franc depuis 822, et il paraît donc tout à fait possible que le neveu de Mojmir ait été élevé à Francfort, à la cour de Louis.

Règne de Rastislav
Rastislav est donc installé par le pouvoir franc, mais son règne va marquer une véritable continuation de la résistance à Louis le Germanique entamée par son oncle. Pour cela, il s'appuie à la fois sur les dissensions du royaume de Francie orientale, l'action militaire mais aussi sur le processus de christianisation. Les historiens du XIXe siècle racontent qu'il se convertit au christianisme dès son ascension sur le trône, mais ne travaille que peu à la christianisation de la Grande-Moravie dans les premiers temps de son règne. Sa conversion est logique au regard d'un pouvoir installé par les Francs, donc chrétien.

Dès 861, Rastislav s'adresse au pape Nicolas Ier afin d'obtenir l'envoi de missionnaires qui maîtrisent la langue slave, afin d'accélérer la christianisation du territoire sans que celle-ci soit le fait de missionnaires issus de la Germanie proche, ce qui renforcerait l'influence franque, mais sa lettre reste sans réponse.

Alors que l'absence de conflits dans les premières années laisse supposer que Rastislav remplit le rôle que le pouvoir franc lui a assigné, on trouve assez rapidement des signes d'activité du nouveau souverain. Le prince de Francie orientale, Carloman, chargé de la surveillance de la frontière avec la Grande-Moravie, s'associe à Rastislav en 862, et entre en rébellion contre son père Louis le Germanique. La révolte échoue quand Carloman est vaincu par les armées de son père.


Statue des missionnaires Constantin et Méthode en Bulgarie
Après cet échec, Rastislav continue ses efforts de christianisation de la Grande-Moravie, et s'adresse, en 8635, à une autre haute autorité temporelle et spirituelle de l'époque : l'empereur byzantin, Michel III. Cette fois-ci, il demande non seulement des missionnaires, mais l'envoi d'un évêque qui puisse s'installer sur le territoire. L'instauration d'un diocèse slave conforterait l'autonomie du territoire, qu'on pouvait considérer, à cette époque, sous l'autorité de l'archidiocèse franc de Salzbourg. En réponse à cette missive, Michel III envoie deux missionnaires grecs, Constantin (qui prendra plus tard le nom de Cyrille) et Méthode. Les deux frères, pour répandre la doctrine chrétienne, vont créer l'alphabet glagolitique, pour transcrire la langue slave, qui est jusque-là orale. A l'aide de cette invention, ils traduisent la liturgie et les Saintes Écritures en slavon, ce qui permet de s'adresser directement à la population, sans passer par le latin, qui est la langue liturgique utilisée par le clergé franc. Leur mission d'évangélisation est considérée comme un succès, et, en 869, le pape Adrien II élève Méthode au rang d'archevêque de Sirmium, avec autorité, notamment, sur le territoire de Rastislav6. Cela consolide la position d'une autorité religieuse slave qui se fait sans la domination franque.

Fin du règne
Cependant, la libération progressive de l'influence franque dérange Louis le Germanique, qui va s'employer à rétablir une domination sur la Grande-Moravie. En 865, le souverain se réconcilie avec son fils Carloman, à la suite de la révolte de ce dernier. Alors que Rastislav avait profité des disputes dans la famille royale pour étendre son territoire, il doit maintenant faire face à un ennemi uni, qui cherche à restaurer son autorité à la frontière est de son territoire.

En 868, le souverain franc charge Carloman d'entreprendre des expéditions contre Rastislav, soldées par deux défaites des Moraves et des pillages effectués par l'armée franque. On en trouve une trace dans les Annales de Fulda :

"Les [Slaves] que l'on appelle [bohèmes] infestaient par leurs fréquentes incursions les frontières des [Bavarois], brûlant les villages & enlevant les femmes [...]. [Carloman] attaqua deux fois [Rastislav], et fut toujours vainqueur & il fit là beaucoup de butin ainsi qu'il en convient lui-même dans ses lettres à son père. " Annales de Fulda, an 870

Alors qu'une troisième expédition est prévue en Grande-Moravie, Louis tombe malade, et les campagnes suivantes sont menées par Carloman et son frère Charles (dit "le Gros"). Face à ces menaces, il semble que Rastislav réorganise les domaines de Grande-Moravie, et attribue un fief proche de la frontière à son neveu Svatopluk. Mais cette réorganisation se retourne contre le souverain : alors que les Francs envahissent une troisième fois, Svatopluk entre en négociations avec Carloman8, et reconnaît le prince franc comme son suzerain. Selon les Annales de Fulda, en apprenant cela, Rastislav prévoit de faire assassiner son neveu8 durant un banquet, mais celui-ci aurait été prévenu, et aurait prétendu être parti à la chasse. Rastislav part donc à la poursuite son neveu, mais tombe dans une embuscade tendue par celui-ci. Svatopluk livre donc son oncle à Carloman, qui l'emprisonne pour le remettre à Louis le Germanique au retour de son expédition :

"[Svatopluk] se rendit maître de sa personne, le fit lier & le présenta à [Carloman]. Celui-ci l'envoya en Bavière & en attendant qu'il pût être conduit devant le Roi, il fut renfermé dans une prison. Alors [Carloman] entra dans son royaume sans résistance, s'empara des villes & des châteaux & après y avoir mis ses tiens, il retourna chez lui avec de riches trésors." Annales de Fulda, an 870

Carloman livre enfin le souverain de la Grande-Moravie à son père Louis le Germanique. Ce dernier organisa son jugement le jour où ses vassaux bavarois, slaves et francs venaient lui porter tribut dans la ville de Ratisbonne, en Bavière. En présence de ceux-ci, Rastislav est condamné à mort, mais le roi franc commue cette peine. Il est donc condamné à l'emprisonnement et l'aveuglement6. De ce fait, le souverain franc met fin au règne de Rastislav, et met en scène le retour de la main franque sur la Grande-Moravie.

Si les sources ne donnent pas plus de détails concernant sa fin, il est probable que Rastislav meure peu de temps après l'exécution de son aveuglement, possiblement dans un monastère bavarois (l'emprisonnement dans les monastères ou abbayes de souverains déchus et déposés est une pratique courante durant le Haut Moyen-Âge).

Postérité
Rastislav est à l'origine de la mission d'évangélisation de Cyrille et Méthode, et, en tant que membre de la dynastie des Mojmirides, fait partie d'un ensemble de figures qui ont été remises en actualité au cours du xixe siècle dans le mouvement panslave. On trouve par exemple un tableau d'Anselm Wisiak, daté de 1863, qui représente Rastislav aux côtés des deux évangélistes.

Un personnage couronné, chevelu et barbu, avec une cape rouge, debout, reçoit un bloc de pierre sculpté de la main de deux personnages en habits ecclésiastiques, également barbus et chevelus, l'un des deux (Méthode) portant la crosse d'un évêque. Ils sont situés devant une église
Le roi Rastislav recevant les Saintes Écritures traduites par Cyrille et Méthode
Il fait donc partie du discours nationaliste slave, permettant de justifier l'existence d'une nation slave depuis le Haut Moyen-Âge, résistant à l'oppression des voisins francs. Il convient de prendre de la distance par rapport à ce discours : il est par exemple très complexe de borner précisément le territoire sur lequel a régné Rastislav, ou la forme qu'a prise son règne. L'appellation "royaume", "empire" ou "duché", concernant la Grande-Moravie, se retrouvent dans les différentes sources.

Sa canonisation
Depuis 1994, Rastislav fait également partie des saints de l'Église orthodoxe de Tchéquie et de Slovaquie, à la suite de sa canonisation. Il est fêté le 28 octobre

Autres Fêtes du Jour
 

Saint Angelis de Crête martyr crétois (✝ 1825)
Saint Arsène de Pecs en Hongrie (✝ 1266)
Saint Athanase Moine du Mont-Athos et patriarche de Constantinople (XIIIe siècle)
Saint Cyriaque de Jérusalem évêque martyr (IVe siècle)
Sainte Cyrille Martyre à Rome sous le règne de l'empereur Claude (✝ 258)
Saint Dimitri de Rostov Higoumène en Ukraine puis métropolite de Rostov (✝ 1709)
Saint Etienne le Sabaïte ermite en Palestine (✝ 794)
Saint Faron Evêque de Meaux (✝ 669)
Saint Ferruce martyr à Mayence (IVe siècle)
Saint Fidèle martyr en Italie (✝ 304)
Saint Firmilien de Césarée Evêque de Césarée et de Cappadoce (✝ 268)
Saint François Serrano et ses compagnons, martyrs en Chine (✝ 1748)
Saint Genès martyr en Auvergne (IIIe siècle)
Saint Germain de Montfort Prêtre à Talloires, sur le lac d'Annecy (✝ 1018)
Saint Jean Dat Martyr au Tonkin (✝ 1798)
Saint Jean de Chozeba (VIe siècle)
Saint Job de Potchaiev higoumène (✝ 1651)
Saint Leudard (IXe siècle)
Saint Malchion (✝ 270)
Bses Maria Colón Gullón Yturriaga et ses 2 compagnes infirmières martyrisées lors de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Saint Néophyte (✝ 660)
Saint Rastislav saint orthodoxe (✝ 870)
Saint Rémi de Lyon Archevêque de Lyon (✝ 875)
Saint Rodrigue Aguilar Aleman prêtre et martyr au Mexique (✝ 1927)
Saint Saire (VIe siècle)
Saint Saulve évêque d'Amiens (✝ 615)
Bx Sauveur-Damien Enguis Garès & Joseph Ruiz Bruixola martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Saint Sigolin Abbé de Stavelot-Malmédy (VIIe siècle)
Saints Vincent, Sabine et Christète martyrs (✝ v. 305)

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