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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Gisèle et aux très Saintes eâs mdu 7 mai

SAINT DU JOUR
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Date 07 mai

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint Siège

 

  •  Bienheureuse Gisèle de Bavière (. 985 - 1060), 
  • bienheureuse catholique, épouse de saint Étienne Ier de Hongrie et mère de saint Émeric ; 
  • Épouse du roi saint Etienne de Hongrie, un prince d'une grande bonté et qui, dit-on, était toujours d'humeur joyeuse. Elle participa avec lui à l'évangélisation de son pays.
    C'est de leur fils cadet saint Émeric qu'il nous est parvenu le plus d'informations.
    A la mort du roi, elle fut chassée du royaume et se retira au monastère de Niederburg dont elle devint l'abbesse.
    Béatifiée en 1975

Gisèle et son époux Étienne Ier de Hongrie Illustration: miniature - Gisèle et son époux Étienne Ier de Hongrie et l'église Saint Pierre Saint Paul.
Au monastère de Niderburg en Bavière, l'an 1060, la bienheureuse Gisèle. Mariée à saint Étienne, roi de Hongrie, elle l'aida à propager la foi et, après sa mort, dépouillée de tous ses biens et exilée du royaume, elle se retira dans ce monastère, dont, par la suite, elle devint abbesse.

Autres Fêtes du Jour
Saint Agostino Roscelli fondateur de la communauté des religieuses de l'Immaculée (✝ 1902)
Bienheureux Albert de Bergame ou de Villa d'Ogna  tertiaire dominicain (✝ 1279)
Saint Antoine de Kiev  Moine reclus de la Laure des Grottes de Kiev (✝ 1073)
Saint Céneré  moine ermite dans le pays manceau (✝ v. 669)
Saint Codrat  (IIIe siècle)
Saint Domitien de Maastricht  Evêque (✝ 560)
Sainte Flavia Domitilla  Martyre romaine (✝ v. 95)
Saints Flavius et ses frères  martyrs de Nicomédie en Bithynie (✝ v. 300)
Bienheureux Francesco Paleari  prêtre italien de l'Institut Cottolengo (✝ 1939)
Sainte Fulvia  martyre à Rome (date ?)
Saint Jean d'York  Evêque et archevêque d'York (✝ 721)
Saint Jean le Psychaïte  higoumène du monastère de Psycha (✝ 825)
Saint Jean Zedaznelli  moine (Ve siècle)
Bienheureuse Marie-Louise Trichet  religieuse française (✝ 1759)
Sainte Mâthie ou Mastidia  martyre à Troyes (Ier siècle.)
Sainte Mesme  martyre (IVe siècle)
Saint Nil de La Sora  moine (✝ 1508)
Saint Pachome d'Oussaki (✝ 1730)
Sainte Rose Venerini  vierge de Viterbe (✝ 1728)
Saint Sérenic  (VIIe siècle)
Saint Thomas Becket  archevêque de Cantorbéry, martyr (✝ 1170)
Saint Villanus  évêque de Gubbio (✝ v. 1237)

SAINTE ROSE VENERINI

Rose Venerini, de famille aisée de Viterbe, naît en 1656. En priant chez elle avec certaines femmes, elle s’aperçoit de leur manque de formation; elle fonde alors la première école «pour libérer de l’ignorance et du mal». Aujourd’hui les Maestre Pie Venerini sont dans le monde entier.  

R

osa Venerini naît le 9 février 1656 à Viterbe (Latium, Italie). Ses parents, Goffredo Venerini et Marzia Zampechetti ont eu trois autres enfants, Domenico, Maria Maddalena et Orazio. Son père était médecin, originaire de Castelleone di Suasa dans la Province d’Ancône ; il exerça à Viterbe.

 

Petite fille, elle était déjà douée d’une grande sensibilité et d’une fine intelligence ; son éducation chrétienne développa en elle de grandes qualités de cœur et de fermes principes religieux. À l’âge de 7 ans, elle fit vœu de se consacrer à Dieu.

 

Durant son adolescence, elle fut en proie à de nombreux conflits intérieurs, entre les attractions du monde et sa promesse, mais elle dépassa ses crises par la prière et les mortifications.

 

Arrivée à l’âge de 20 ans, Rosa s’interrogeait : pour les femmes, à cette époque, il n’y avait que le mariage ou le couvent. Elle se sentait appelée au service de l’Église, mais ne parvenait pas encore clairement à déterminer sa vocation.

 

À la fin de 1676, en accord avec ses parents, elle rejoignit le monastère dominicain de Sainte-Catherine à Viterbe où elle espérait prononcer ses vœux. Mais la mort prématurée de son père l’obligea à retourner chez elle pour rester auprès de sa mère dont la santé était fragile. Après le décès prématuré de son frère Dominique, la mort de sa mère, et le mariage de sa sœur, en mai 1684 elle a commencé à rassembler des enfants et leurs mamans dans sa maison pour la récitation du Rosaire. C’est à cette époque qu’elle réalisa la pauvreté culturelle, morale et spirituelle des femmes de son temps, et qu’elle envisagea la création d’écoles qui offriraient une formation chrétienne satisfaisante à toutes ces personnes.

 

Le 30 août 1685, avec l’approbation de l’évêque de Viterbe, le card. Urbano Sacchetti, et avec la collaboration de deux compagnes, Gerolama Coluzzelli et Porzia Bacci, Rosa laissa la maison paternelle pour fonder une première école, projetée selon le plan original qu’elle avait mûri dans la prière et dans la recherche de la volonté de Dieu.

 

Sans grandes prétentions, Rosa avait ouvert la « première école publique féminine en Italie ». Les débuts étaient modestes et humbles, mais la portée était prophétique : la promotion humaine et l’élévation spirituelle des femmes étaient une réalité qui ne devait pas tarder à avoir l’approbation des Autorités religieuses et civiles.

 

Le cardinal Marc Antoine Barbarigo, évêque de Montefiascone, comprit le caractère génial du projet de Viterbe et appela Rose dans son Diocèse. La fondatrice, toujours prête à se sacrifier pour la gloire de Dieu, répondit positivement à l’invitation : de 1692 à 1694, elle ouvrit une dizaine d’écoles à Montefiascone et dans les zones qui sont aux alentours du lac de Bolsena.

Après l’ouverture des écoles de Viterbe et de Montefiascone, d’autres écoles furent créées dans la province du Latium.

 

Le 8 décembre 1713, avec l’aide de l’Abbé Degli Atti, grand ami de la famille Venerini, Rosa ouvrit une école au centre de Rome.

Le 24 octobre 1716, elle eut la visite du pape Clément XI (Giovanni Francesco Albani, 1700-1721) qui, accompagné par huit cardinaux, voulut assister aux leçons. Émerveillé et satisfait, il s’adressa en fin de matinée à la fondatrice : « Madame Rosa, vous faites ce que nous n’arrivons pas à faire, nous vous remercions, car avec ces écoles, vous sanctifierez Rome ».

 

Au soir du 7 mai 1728, Rosa Venerini mourut saintement dans la maison de Saint-Marc à Rome. Elle avait ouvert plus de 40 écoles.

 

Rosa Venerini a été béatifiée le 4 mai 1952 par le Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958) et canonisée, le 15 octobre 2006, par le pape Benoît XVI (Joseph Ratzinger, 2005-2013).

 

 

 

SAINTE FLAVIA DOMITILLA, MARTYRE ROMAINE

Ayant vécu entre le I et le II siècle, Flavie Domitille est la nièce de Vespasien et femme du consul romain Flavio Clémente, dont elle a sept enfants. Convertie au christianisme, elle est accusée «d’athéisme», selon l’usage de l’époque, et déportée sur l’île de Ponza où elle subit un long martyre. 

Martyrologe Romain : À Rome, commémoraison de sainte Domitille, martyre. Nièce de l’empereur Domitien et épouse du consul Flavius Clemens, elle fut accusée d’athéisme comme son mari, en réalité parce qu’ils étaient devenus disciples du Christ. Déportée avec d’autres dans l’île de Ponza, elle y mena un long martyre jusque vers l’an 95.

Bienheureuse Marie-Louise Trichet

religieuse française (✝ 1759)

 

Elle était née dans une famille chrétienne de Poitiers et fonda un nouvel institut religieux au service des pauvres, des aveugles et des estropiés. Elle se mit sous la direction de saint Louis Marie de Montfort et, à l'époque de "la philosophie des Lumières", elle comprit l'importance de la véritable sagesse, le Christ, Sagesse éternelle incarnée. C'est pourquoi elle donna ce nom aux religieuses de sa congrégation : les Filles de la Sagesse.
Ses reliques reposent à Saint-Laurent sur Sèvre, en Vendée, où le pape Jean-Paul II vint les vénérer lors de son pèlerinage en 1996.
La fête de Marie-Louise Trichet est célébrée le 7 Mai (jour de sa naissance). Elle est décédée le 28 avril, mais pour éviter la confusion avec la fête de saint Louis-Marie de Montfort qui est décédé lui aussi le 28 avril, Rome a décidé de placer sa fête le jour de sa naissance sur terre... et non celui de sa naissance 'au ciel' selon la tradition.
"Elle a été béatifiée en 1993. Il subsiste à l'hôpital de La Rochelle, au chevet de la chapelle tout contre son petit clocher carré, la 'chambre de la fondatrice' qui est l'humble réduit où l'on présume que Marie-Louise logeait lors de son séjour rochelais." (calendrier diocésain de La Rochelle Saintes)
À Saint-Laurent-sur-Sèvre, en 1759, la bienheureuse Marie-Louise Trichet, vierge, qui fut attirée à la vie religieuse par saint Louis-Marie Grignion et devint à Poitiers la première recrue de la Congrégation des Filles de la Sagesse, qu'elle dirigea avec prudence.

 

Martyrologe romain

Sainte Mâthie ou Mastidia

Martyre à Troyes (Ier siècle.)

D'après l'histoire locale, Mâthie ou Mastidia était la fille d'un riche Troyen au Ier siècle. Sa famille aurait accueilli deux missionnaires venus de Sens, Potentien et Sérotin, pour évangéliser la petite cité des Tricasses encore païenne. Le gouverneur romain d'alors, Montanus, persécuta les premiers convertis, et c'est peut-être de cette façon que Mâthie, gagnée à la nouvelle religion, fut sacrifiée. Ce récit ne s'appuie sur aucune vérité historique, et n'est peut-être que le témoin d'une mythologie locale...

Les écrits décrivant le culte de cette Sainte remontent semble-t-il au IXe siècle. Au Xe siècle, lors de la construction de la Cathédrale de Milon, ce dernier créa une chapelle dédiée à la Sainte, à l'emplacement de l'actuelle chapelle du Sacré Cœur. En 1606, on fit ouvrir le tombeau de la Sainte et l'on trouva son corps "intact" (!?), la tête séparée du tronc, ce qui confirmerait la thèse de la persécution Romaine ; Mâthie, jeune vierge convertie, aurait été décapitée par le gouverneur. Cette découverte fut confirmée à la Révolution, lors du saccage des reliques par les révolutionnaires, qui brûlèrent ces restes à l'exception d'un

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