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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Gilbert et aux autres Saintes âmes du jour

SAINT DU JOUR
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Date 07 juin

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint Gilbert

religieux prémontré (✝ 1152)

 

Il avait pris part à la deuxième croisade (1147-1149). A son retour, il se fait religieux prémontré à Neuffontaines dans l'Allier en fondant lui-même un monastère. Il en construisit un deuxième à Aubeterre pour sa femme sainte Péronelle, et sa fille, la bienheureuse Poncie. Sainte Péronelle en fut la première abbesse et la bienheureuse Poncie lui succéda.
Gilbert, chevalier, appartenait à la haute noblesse d'Auvergne. Sur les conseils d'Ornifiers, abbé prémontré de Dilo, il s'engagea dans la deuxième croisade (1147-1149) prêchée par saint Bernard à Vézelay, et conduite par le roi de France Louis VII. Gilbert, militaire et saint, maison diocésaine Saint-Paul, à MoulinsLa croisade se transforma en désastre militaire. Rescapé de cette périlleuse entreprise, Gilbert résolut, de concert avec son épouse Pétronille et sa fille Poncia, de se consacrer à Dieu dans la vie religieuse. Il donna une partie de son immense fortune aux pauvres et construisit un monastère de moniales dans lequel entrèrent sa femme et sa fille. Après avoir lui-même pris l'habit prémontré à Dilo, Gilbert construisit l'abbaye de Neuffontaines et en devint le premier abbé en 1150. Fidèle au charisme de saint Norbert, il construisit un hôpital qui devint rapidement célèbre par les miracles que Gilbert y accomplissait.
Pénitent et charitable, il attira une foule de malades et de pécheurs, désireux de soulager leurs maux physiques et spirituels. On lui amenait de tous côtés des enfants gravement malades. Il leur imposait les mains et les rendait guéris à leurs parents. Epuisé par la pénitence et le labeur, il mourut le 5 juin 1152. Selon ses vœux, on l'enterra dans le cimetière des pauvres de l'abbaye. Comme saint Gilbert bénéficiait d'une grande dévotion populaire et à la suite de nombreux miracles, Jean Lepaige, procureur de l'Ordre, encouragea la recherche des restes mortels du fondateur. Les ossements furent retrouvés le 26 octobre 1645. La fête de saint Gilbert rappelle la date de cette translation. En 1791, pendant le tumulte de la Révolution française, les reliques furent transférées dans l'église Saint-Didier, pour les mettre à l'abri. On ne les a jamais retrouvées. Le pape Benoît XIII reconnut son culte le 22 janvier/8 mars 1728.
Vie des Saints et Bienheureux - Postulator Generalis Ordinis Praemonstratensis
A lire aussi: Gilbert, militaire et saint - La sainteté est parfois une véritable histoire de famille. (Maison diocésaine Saint-Paul - diocèse de Moulins)
Un internaute nous signale: Il est nommé Gilbert de Neuffonts par JC.Souliac (in Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, 1933, ISSN 1153-2599) qui écrit "brillant homme du Moyen Age, il fut appelé à la cour de France sous Louis VI le Gros, puis Louis VII le Jeune, avec qui il fit la deuxième croisade. A l'issue de celle-ci, il décida de vendre ses biens et de se consacrer à Dieu et aux soins des lépreux. Dans ce but, il fonda en 1151 l'abbaye de Neuffonts (...)"
En Auvergne, l'an 1152, saint Gilbert, abbé de l'Ordre des Prémontrés, qui vécut d'abord en ermite, puis construisit à Neuffontaines un monastère et un hôpital.

 

Martyrologe romain

Saint Antoine-Marie Gianelli
Évêque et fondateur des :
« Filles de Sainte-Marie dell’Orto »
 

Antonio Maria Gianelli naît à Cerreta, près de Chiavari, archidiocèse de Gênes (en Ligurie), le 12 avril 1789, jour de Pâques ; il est baptisé le 19 avril.

À l’âge de 19 ans il entre au séminaire et, quatre ans après, le mois de mai 1812, il est ordonné prêtre à Gênes.

Professeur du petit séminaire, il fonde en 1829 les « Filles de Sainte-Marie dell’Orto » (du Jardin), « Gianellines », pour l’éducation de la jeunesse, le soin des malades et des vieillards. Puis après avoir été curé d’une grosse paroisse, il est sacré évêque de Bobbio en 1838. Homme d’action qui puise ses ressources dans la contemplation, il mène une vie très mortifiée, à laquelle s’ajoutent bien des croix, notamment la défection d’un proche collaborateur qu’il convertira par ses prières et ses larmes. « Son zèle courageux et infatigable le fait appeler “un homme de fer” » et dans son apostolat, il agit « avec force et douceur ».

Après une vie comblée de fruits spirituels, ce fidèle intendant rend son âme à Dieu à 57 ans, le 7 juin 1846, à Plaisance.

Antonio Maria Gianelli a été béatifié le 19 avril 1925 par Pie XI (Ambrogio Damiano Ratti, 1922-1939), à Rome, et canonisé le 21 octobre 1951 par le vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958) toujours à Rome.

Le 04 juin de l’année 2000, il a été nommé saint patron de Bobbio.

 

Bse Marie-Thérèse de Soubiran la Louvière
 

 Vierge et fondatrice :
« 
Congrégation de Marie Auxiliatrice » 

M

 arie-Thérèse de Soubiran La Louvière naît le 16 mai 1834 à Castelnaudary. Elle est issue d'une ancienne famille du Midi de la France. Élevée par des parents profondément chrétiens, elle désire très jeune répondre à l'appel de Dieu et lui consacrer sa vie.

À 20 ans, elle essaie une vie religieuse dans un béguinage de Gand en Belgique, mais cette expérience ne dure qu'un an et elle revient en France, où elle voudrait l'adapter. En 1854, avec quelques compagnes, elle ébauche une première forme de vie religieuse. Pendant plusieurs années, les sœurs partagent une vie de pauvreté dans la prière et le travail. Elles construisent une maison pour accueillir les fillettes pauvres, mais, à peine achevée, la maison est détruite par un incendie.

Afin de mieux discerner le dessein de Dieu, Marie-Thérèse part à Toulouse en 1864 pour faire une retraite de trente jours. Dans la prière, elle comprend que Dieu lui demande de continuer la fondation ébauchée, mais en lui donnant une autre base, et qu'elle doit y demeurer pour en assurer la croissance. Elle consacre alors la jeune congrégation à Marie, dont désormais toutes les Sœurs porteront le nom.

La « Congrégation de Marie Auxiliatrice » est née. Les Sœurs adopteront la spiritualité ignatienne et trouveront Dieu aussi bien dans la prière que dans l'action apostolique. La maison mère de Toulouse essaime bientôt dans toute la France et même, après la guerre de 1870, en Angleterre.

Mère Marie-Thérèse constate l'exode rural des jeunes vers la ville où l'industrialisation commence à se développer. Le projet apostolique de la Congrégation sera donc de « Soutenir les jeunes filles de l'âge de quatorze ans à vingt-cinq ans environ. Très spécialement cette partie de la jeunesse qui, sans famille, réside dans les grandes villes, fréquente l'atelier et les fabriques. » 
Pour mieux se mettre entre les mains de Dieu, « pour ne faire fond que sur Lui », Marie-Thérèse renonce à tous ses biens personnels par un vœu de pauvreté radical : Dieu lui donne une tâche à accomplir, elle compte uniquement sur Lui pour la réaliser. « Celui qui met sa confiance en Dieu est fort de la force même de Dieu ».

Mais une sœur la supplante à la tête de la congrégation et la chasse. En 1874, elle échoue à Paris où elle est recueillie par les sœurs de Notre-Dame de Charité. Elle mène alors une vie très effacée jusqu'à sa mort le 7 juin 1889.
Un an plus tard, une nouvelle supérieure est élue à la tête de la Congrégation de Marie-Auxiliatrice et Mère Marie-Thérèse est réhabilitée.

Marie-Thérèse de Soubiran est proclamée bienheureuse le 20 octobre 1946 par le Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958).

Autres Fêtes du Jour
Vénérable Anna del Salvatore Orsi  religieuse des filles de Sainte Anne (✝ 1885)
Bienheureuse Anne de Saint-Barthélemy  religieuse carmélite (✝ 1626)
Saint Antoine-Marie Gianelli  évêque de Bobbio, fondateur des religieuses de Sainte-Marie du Jardin (✝ 1846)
Saint Colman  évêque et abbé en Irlande (VIe siècle)
Saint Daniel de Scété  ✝ 420)
Sainte Hunne  veuve (✝ 679)
Bienheureux Landolfo da Variglia  évêque d'Asti (✝ v. 1134)
Saint Marcellin  évêque du Puy (VIe siècle)
Bse Marie-Thérèse Soubiran  Fondatrice de la congrégation de Marie-Auxiliatrice (✝ 1889)
Vénérable Matt Talbot  laïc irlandais (✝ 1925)
Saint Mériadec  évêque de Vannes (VIIe siècle)
Saint Panaghis  (✝ 1888)
Saint Paul de Constantinople  Archevêque de Constantinople (✝ v. 350)
Saints Pierre, Wallabon et leurs compagnons  Martyrs à Cordoue (✝ v. 854)
Saint Robert  abbé en Grande Bretagne (✝ 1159)
Saint Wulphy  ermite près d'Abbeville (✝ v. 643)
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